there's nothing left to say ((achilles))

ne tente jamais de se rassurer avec quelqu'un, noue des relations assez superficielles en vérité. tente la plupart du temps de ne pas rentrer en conflit avec sa famille, arrondit les angles en s'en mordant les doigts avec ses frère et sœurs, jusqu'à ce que ça claque, assez brutalement, toujours violemment. les limites qui sont établies tant qu'il reste calme, et puis plus rien en dehors des rails sur lesquels il se force quand il y est contraint, n'a jamais levé la main, parfois aimerait, il en finirait plus vite, obtiendrait ce qu'il voudrait. trop calme en vérité, et du coup on l'oublie souvent, typique de l'enfant du milieu, ne se satisfait plus de memes un peu tristes sur la question, brasse pour récupérer sa place, virer ceux qui s'y sont mis, au moins le temps d'une minute, rien de si définitif, juste de quoi connaître son père, ses motivations, ses pensées. s'il est fier de ce qu'il fait, s'il sait la moitié de ses activités, même s'il n'est pas prêt pour les réponses, souvent. fantasme des gens parfaits en se haïssant de ne pas assez leur ressembler, se met des standards inatteignables pour pouvoir s'en vouloir de ne pas les atteindre à la fin de l'année. souvent premier, déteste être second, jamais autre chose s'il y a une hiérarchie. connu de partout, du parti de son père, de l'administration de la fac, du conservatoire des plus jeunes, aimable et serviable, avide de commandes et responsabilités, s'immisce là où il n'aurait aucune place en se servant d'argent, de mots savants, au bureau d'administration de domaines qui l'intéressent même pas forcément en vérité, juste que ça paraît important, et utile pour plus tard, aussi. quand il sera enfin quelqu'un, qu'il pourra tenir un regard sans la moindre hésitation, qu'il aura perdu du poids, parce que ça a forcément un lien, quand il se sera fait aimer de toutes les personnes les plus inaccessibles d'exeter, parce que si eux le soutiennent, alors la ville entière aussi, et il serait pour l'instant s'en contenter. un jour, ce sera toute l'angleterre, quand il sera prêt. avide de contrôle, mais ce n'est jamais le cas dans les autres, dans ses fréquentations, alors c'est chez lui qu'il le cherche. dans ses notes, toujours excellentes, à se détester pour un b, à trouver des façons de se punir, plus que les parents ne le font pas, jamais. il aurait tellement aimé, parfois, avoir leur avis, réel, brute, savoir ce qu'il peut faire de mal, pour pouvoir se rectifier. dans les nombres en général, dans les graphiques qu'il se fait, violent, dans les cahiers aux mille courbes, choses renseignées, tout ce qu'il fait, tout ce qu'il mange, les personnes qu'il a vu, à qui il a parlé. parce qu'il n'y a personne pour l'entendre, et qu'au moins c'est exprimé, même si c'est seulement couché sur du papier. ils ne sont même plus vraiment cachés, à ce stade de relations familiales, tout le monde s'en ficherait. c'est si dur, d'être affamé de relations, certainement pire que ce que son estomac doit ressentir en ce moment. pas sportif le moins du monde la plupart du temps, s'intéresse à l'équitation surtout pour des raisons de concours gagnés plus que par véritable passion. a son propre cheval, berlioz, depuis ses quinze ans. aucun talent pour la musique, en toute honnêteté. se range au conseil d'administration du conservatoire parce qu'une place est libre, mais fait grincer les appareils à cordes pincées comme c'est inhumain de l'entendre, et face au talent des autres, abandon rapide, on ne peut pas gagner sur tous les sujets. quelque chose à faire de sa voix, mais pas du tout dans un registre classique, et pas quelque chose qu'il utilise souvent, ça a l'air beaucoup plus vulnérable que des discours appris par cœur en prenant les mots du père, alors il n'en fait rien. ça n'aiderait pas sa réputation là où il est, tout le monde s'en ficherait.

depuis petit, compétition dont il n’a jamais pu se passer. pour l’attention de ses parents, pour celle des professeurs d’écoles privées, pour être reconnu, jaugé, considéré, même pas forcément admiré en vérité. ne pas tomber dans l’oubli trop rapidement, l’enfant qui déteste être dans l’ombre d’une sœur qui prend beaucoup de temps. j’ai fait ça, aussi, tu vois, continuellement, et on se lasse, assez rapidement. alors il faut être plus subtile, après, sélectionner les moments, rester silencieux jusqu’au bon moment, bondir, coincer la personne à dire un mot, et grâce à ça engager une conversation || ce n’est pas que ses parents s’en fichent, c’est que contrairement à beaucoup, ils ont des occupations qui peuvent changer la face du royaume-uni, et qu’avec de telles responsabilités on n’a pas le temps de faire avec les bêtises d’enfant. il attendra patiemment son tour, et il ne les décevra pas. c’est une chance infinie de lire dans une famille au tel héritage, le déshonneur serait total de ne pas marcher dans les pas d’un père qui s’est battu et rebellé pour aller vers un chemin plus droit. farouchement loyal, certain de ses convictions, prêt à tout parier sur son authenticité || sauf que l’attention ne vient pas, jamais, même en grandissant. même en évoluant tout près du brasier, à offrir ses beaux yeux bleus pour toutes les campagnes depuis qu’il est entré dans le secondaire, à ravir les vieilles dames avec son niveau de langues et les juristes avec ses connaissances en mathématiques ou en philosophie, les artistes avec un peu moins de réjouissance aussi, tout le monde qui y trouve son compte, au final, sauf lui. s’investit de plus en plus, s’enfouit sous les responsabilités, réussit à attirer quelques regards de son père de loin, quelques mots qui feraient presque penser à de la fierté, et achilles qui se convainc que c’est le bon choix, pour ne pas trop y penser || il y a des preuves que ça ne marche pas, pourtant. qu’il lui faut plus, que son besoin d’attention gargantuesque n’est pas satisfait. blâme sa sœur, les autres aussi, qui demandent tant d’attention, alors que lui se retrouve toujours facilement oublié, enfant bien plus facile à vivre et ange sur terre d’après les professeurs, puis se reprend. il n’est pas censé en avoir autant besoin, son propre père a fait sans amour parental depuis un long moment. se blâme personnellement, en vient à se détester parfois, se punit, de plus en plus souvent, pour ça. s’empêche de manger, pour des raisons stupides, au départ, puis ça apaise, assez rapidement. pas envie de manquer les repas familiaux, jamais, juste de plus petites prises dans les plats, pas que quelqu’un remarquerait, et puis progressivement plus rien autour de ces moments sacrés, souvent volés par un des plus jeunes, et il essaye de ne pas leur en vouloir, mais c’est difficile, et il a de plus en plus de mal à s’en empêcher || puis c’est hyacinthe qui lance le coup de grâce, au bout d’un moment, mais ferme ta gueule répondu à la place du père, en plein dans le salon, parce qu’il n’en peut plus de l’entendre encore et encore se braquer et brailler sur tout, alors qu’il a déjà tant, qu’il est en train de tout envoyer en l’air avec ses idées. que c’est déjà suffisamment dur d’avoir du temps avec son sang, qu’il est en train de tout ruiner. leofstan n’apprécie pas, naturellement. il ne lui en veut pas, ce n’est jamais le cas. c’est toujours le ciel, la météo, la reine d’angleterre, la mère, le grand-père, mais ce n’est jamais lui, jamais.

ton pseudo sur la toile. a écrit:

A tes méchantes blessures. bonsoir, bah c’est toujours noah, il est actuellement 2h du matin, j’ai cours de quantification à 7h50 donc c’est à dire littéralement tout à l’heure hein, j’ai rien de plus intéressant à rajouter sur ma vie en général depuis afsaneh, si mon chien est en train de ronfler/aboyer en dormant et je me demande comment sont ses rêves, mais je crois qu’il ne cauchemarde jamais et ça me fait grave fondre et tout en vrai.
pré-lien du roi @leofstan sterling  

Code:

[b]achilles sterling [/b] : étudiant en sciences politiques
[size=10][u]113[/u][i] achilles sterling, leofstan sterling, lily sterling[/i] [b]manoir des sterling.[/b][/size]

(je vais voir avec le clan)

Hé oui, te voilà validé.e !  
Pour débuter ton aventure ici, je te conseille d'ores et déjà de passer dans les fiches de lien pour y déposer la tienne, afin de tisser ta toile sociale. Si tu as des envies de lien, n'hésite pas aussi à faire un tour dans le répertoire, faceclaim des membres du forum, certains te taperont sans doute dans l'œil.
La plume te démange, je le sais, je le vois.  Nous avons mis à ta disposition une loterie des rps si tu souhaites confier ton destin au big brother farceur (si t'as le cœur bien accroché, tu vas t'éclater).
N'hésite pas à passer du côté du marché noir afin d'en apprendre plus sur ce système, grappiller quelques points mais aussi les dépenser à ta guise.
Pour ce qui est du reste, le flood, les jeux, nous te laissons vagabonder dans le forum, partir à sa découverte, sur des territoires inconnus, qui sait. Tu peux aussi passer du côté des mini-floods afin de voir ce qu'il s'y passe en ce moment.
Pour finir, un serveur discord est disponible.  

deux activités te sont proposées dès le départ.
D'abord, big brother en appelle à toi et à ton arrivée ici pour donner de l'eau au moulin de son site internet nauséabond, big brother.org
Et afin de mettre un peu de piment dans la vie de ton personnage et participer à l'évolution du forum, tu peux t'inscrire à la prochaine intrigue et découvrir ce que big brother aux habitant.es de la ville.
Bon jeu.