things we lost in the fire ((seth&lou))

cw ; décès d'un proche mentionné

st bernard

we sat and made a list of all the things that we have. down the backs of table tops, ticket stubs and your diaries i read them all one day. when loneliness came and you were away, oh they told me nothing new, but i love to read the words you used. these are the things, the things we lost in the fire

la question qui lui trotte dans la tête depuis deux semaines maintenant, sans qu'il n'ait la réponse vraiment. ça aurait pu être n'importe quoi, et c'est assez inquiétant. ça lui fait penser à peter qui n'a plus donné de nouvelles d'un jour à l'autre, tout ça pour que la bande apprenne une catastrophe après. rien de bon à voir des gens qui s'absentent de sa vie, lou qui fait tout pour les retenir de le faire, impression de contrôle sur sa vie quand celle des autres n'est pas complètement hors de portée, étrangement. tout le monde souffre plus et disparaît rapidement, à exeter, la ville entière qui est plutôt malade en ce moment ; même les danseurs dont on penserait qu'ils ne soufreraient de rien, à rigoler légèrement autour d'un buffet où ils ne mangeront rien ont de drôles de combats en ce moment. petit espoir pour les bourgeois, puis rappel de la situation de ses amis d'école élémentaire, quand sa mère avait cru l'élever socialement par le mensonge en trahissant ce qu'ils étaient, qui sont maintenant perdus dans leurs propres travers. en soi, rien ne dit qu'il ne refera pas surface, mais quelque chose dans son esprit qui supplie de voir le problème dans la situation. deuxième cigarette allumée alors qu'il n'est même pas censé être là, rendez-vous terminé sur une nouvelle prescription de béquilles, conséquence d'avoir menti sur les raisons de ne pas en avoir maintenant. il est hors de question qu'on le croise avec, et elle se fait un malin plaisir à l'obliger, il le sent.

seth finit par sortir lui aussi, signe que lou n'a pas plus longtemps que ça à attendre dans le froid que le recherché vienne, le bâtiment ne va pas tarder à fermer. tu sais ce qu'il lui est arrivé? comme salutations, pas le temps de trop s'attarder sur des introductions ; les deux mentiraient en disant que ça va par convenance et par fierté, et n'apprendraient rien de plus sur l'autre en vérité. c'est toujours entre les lignes que lou découvre l'altérité. sait qu'il a quinze ans de plus, plus ou moins, comme si les années donnaient une certaine légitimité dans la conversation, lou qui jure avoir vu des gosses plus sages que les adultes, tout en ayant un peu de mal à décrire comment. fureur de la jeunesse qui peine à disparaître malgré la toute nouvelle majorité. pas hyper grand, blanc, des boucles brunes et les yeux bleus, un nom de bourgeois, mais l'était pas du tout en vérité? il a oublié son nom, un peu déçu de lui même en ce moment. pas envie d'entendre que c'est la faute aux médicaments. il avait une veste en jean bleue. il venait super souvent, et maintenant plus jamais.

la vérité c'est que le concerné n'avait parlé à lou que par la force des choses, téléphone volé devant l'entrée, et qu'il n'y aurait pas de raison que seth le connaisse si quelqu'un de son âge n'avait pas réussi à le faire autrement par par un concours de circonstances qu'il se serait bien évité. il avait probablement détesté chaque seconde à devoir parler au danseur, pas sujet à renouveler l'expérience avec toutes les âmes égarées du lieu. ou alors ce qu'il avait se guérissait et il ne l'a juste jamais dit, peu amer, tant pis. c'est quoi le nom de ton médecin? j'ai l'impression qu'à chaque fois que le mien me fait une ordonnance il la prend directement de son salaire, c'est chiant. lou lui a dit mille fois, que ce n'était pas le moment de baisser. ce n'est jamais le moment de baisser.

codage par aqua, pic par thestral

Métro boulot bobo. La routine imprégnée par une injonction de Woods sur mon état de santé. J'vais lea canner un jour, à s'inquiéter de mon sort. Merde. C'est plus l'heure de rattraper le boulot foutu de darons démissionnaires, j'ai passé l'âge qu'on me taloche derrière l'oreille parce que j'ai failli mordre la main de mon doc'.
…
L'avait une sale gueule de vieux libidineux, aussi.

Mais c'te kiné là, ça va. Woods m'a pas dégoté la pire du lieu cette fois. Celle de mon précédent bled, elle me malaxait la cuisse comme on attendrit un steak pas cuit. Alors dans la contrée des rosbeefs, ça l'aurait foutu mal de tomber sur un cas pareil.
Au moins celle-là me fait pas trop chier, fait son taf correctement, signe mon papelard et c'est marre. C'est ma troisième ou quatrième séance, chai pu, mais j'sens déjà que les effets sont là. Et que l'habitude va s'ancrer, petit à petit, jusqu'à ce que je bouge de pays.
Comme à chaque fois.
C'est marrant comme on y croise souvent les mêmes gueules délavées, quelque soit la contrée. Ce genre de lieu brasse des populations éteintes, pas vraiment dans l'énergie positive de la douleur. Y'a bien que la secrétaire et son sourire de quinquagénaire plombé qui arrive à m'sortir deux-trois répliques suffisamment attendrissantes pour par me faire plisser les lèvres vers le haut.

Parmi les visages connus, y'a aussi et surtout les quelques autres patients qui vont et viennent avant, après, même pendant que j'suis là. Y'a beaucoup de toubibs à contenter, dans ce cabinet.
Et parmi les blessés qui cachetonnent, j'en vois souvent un, un jeune, un gamin. Ou une gamine. J'sais pas bien, en vrai. J'sais même si ça a vraiment de l'importance. Amapola me dirait que ça dépend de la valeur qu'y mettent les personnes concernées. Moi j'me dis juste que j'suis habitué à recevoir des claques pour m'éduquer, et que si j'me goure, faut pas hésiter.
Bref. L'autre, c'est Lou. Tout le temps là quand j'y suis.
Si bien qu'à force on a fini par se dire que c'était l'occasion d'en parler.

Et aujourd'hui, la règle n'est pas tordue. Là à me tailler le bout de gras, comme il se doit.

Dehors ça pulse de froid, ça frissonne jusque dans mes moindres replis. J'arme ma bouche d'une clope avant de lui répondre, comprenant pas spécialement où la conversation veut aller. J'réfléchis seulement à la description donnée, avant de hausser les épaules.
« Nan, ça m'dit rien. » Je prends pas la peine de demander le prénom. Mon cerveau retient pas ce genre d'informations. D'autant que vu c'qu'Lou en dit, j'ai pas retenu sa trogne non plus. J'avale la fumée, la recrache en buée vers le ciel blanc. Il va neiger. C'est obligé. J'adore ça, faut que ça égaye un peu ma journée. « Mais t'sais, ça arrive de guérir. Rarement du jour au lend'main, mais ça arrive. Puis quand c'est fait on disparaît. On vient pas spécialement là pour passer du bon temps... » Nouveau tressautement désinvolte. J'sonne comme je le fais, à m'en battre les reins des silhouettes à peine passées. J'oublie comme on doit parvenir à m'oublier.
Lou embraye sur son médecin et passe du coq à l'âne plus vite qu'un expert fermier. Ça m'arrache un petit rictus et j'emprunte le même chemin. « Euh. C'est Dawson, j'crois. Une p'tite blonde. Gentille. Le tien, c'est pas la pornstache du troisième ? » P'tit rire à la vision de la moustache guidon que j'ai croisée dans quelques couloirs. Même Larry Latrique n'en avait pas une aussi belle. Un des héros de ma jeunesse, à n'en pas douter.

Nouvelle taf avant de regarder le gosse, de fourguer ma feuille de soin dans ma poche. Le temps commence à se faire long, sur le perron.
« T'as fini d'consulter ou t'y vas, là ? »

@Lou Abellard things we lost in the fire ((seth&lou)) 2453064100

cw: mention rapide du décès d'une personne.

st bernard

feat. @seth cobalt ☾

we sat and made a list of all the things that we have. down the backs of table tops, ticket stubs and your diaries i read them all one day. when loneliness came and you were away, oh they told me nothing new, but i love to read the words you used. these are the things, the things we lost in the fire

pas étonnant que ça ne lui parle pas, en soi. il n'aurait jamais eu l'occasion de lui parler si ce n'avait pas été pour un téléphone volé lui non plus, et ça ne devait pas arriver tous les jours de se faire aborder par trois gars pour demander une orientation avec de mauvaises intentions. peut-être que lou lui avait fait peur, aussi, à force de trop lui parler, l'autre gosse qui n'avait pas été franchement causant. peut-être plus vieux que lui, mais définitivement plus innocent. bouche remplie d'air pour manifester sa frustration, avant de l'expirer doucement. pas facile de ne pas avoir le contrôle sur tout le petit monde du bâtiment, mini royaume dont il se fait le prince qu'il s'est créé - il est là depuis plus longtemps que tout le monde, il aurait bien raison de connaître qui part et qui vient au même titre que les médecins. sourcils froncés par terre quand cobalt mentionne la guérison, sujet qui est emmerdant quand lui n'est pas tenu au courant. ce serait tordu de vouloir que ce ne soit jamais le cas, mais partir sans donner la moindre nouvelle, explication, s'être invité dans sa vie pour en partir restait une pilule dure à avaler. au moins les jambes ne se mettent pas magiquement à repousser, pensé pour lui-même surtout, alors que ses articulations ne s'arrêteront jamais pour lui de le faire souffrir de la même façon.

il ne vient pas pour passer du bon temps, mais il tient en ce moment à sa seule activité de la journée. tout le monde ne se bouscule pas pour danser dans son salon, ses chats ont arrêté de demander des soins constants chez le véto d'en face, heureusement pour son banquier à deux doigts de le pendre par les pieds, adele les a quitté, et la plupart des dealers du coin ne pardonnent toujours pas ses crises de nerfs du temps où il voulait sauver son ancien meilleur ami. même la bande avait du mal à garder contact, messieurs avaient des activités trop importantes maintenant. voler de l'essence, arnaquer des passants, cambrioler, sûrement. des trucs que lou évite, mais vers lesquels il sera bien forcé de retourner, si sa condition ne sait pas s'améliorer. j'ai juste peur qu'il lui soit arrivé un truc bête, mais je dois projeter mes insécurités de la semaine, ça n'arrive pas si souvent. et pourtant. pourtant avec peter c'est arrivé.

réflexion attentive quand l'aîné lui mentionne son médecin, c'est vrai qu'elle a l'air gentille, et que si sa beauté égale sa compétence, ce ne serait pas pire qu'avec celui qui subissait. pornstache depuis six mois, avant j'avais le père noël depuis cinq ou six ans. il est parti à la retraite, malheureusement. pas de barbe de dix kilomètres, mais fallait voir les ordonnances qu'il nous mettait, c'était toujours la fête. ça avait fait loucher le nouveau, et lou savait dès lors que ce serait la bataille toutes les deux semaines pour le suivi, désormais. la bonne impression a été la première, volonté de baisser le traitement, comme si c'était le moment. comme s'il pouvait se le permettre, en ce moment. il a osé lui parler de douleurs psychosomatiques, lou a cru qu'il allait lui faire avaler son fichu clavier. mais le nouveau, c'est un connard, je suis sûr que même pour arracher des dents il le ferait sans médicaments.

tu as une cigarette, s'il te plaît, qu'il demande, pour une fois en y mettant les formes, un peu l'impression que cobalt pourrait le tuer facilement, contrairement aux roquets habituellement fréquentés. il ne serait pas du genre à se laisser voler son briquet, qu'il a décidé après quelques tergiversions, kostas est là pour ça, au moins. assez mal vu de sortir un cachet maintenant, pas d'eau, et un semblant de crédibilité à garder. une taf ferait effet de pansement, en attendant. torture terminée. elle m'a déboité la hanche, sans faire exprès, donc je suppose que je ne vais pas reprendre demain, va falloir que je vende mon corps à d'autres personnes qu'à des compagnies de ballet, au bout de six mois elles peuvent que t'abandonner, t'as trop raté. maigre sourire, il saura retomber sur ses pattes, à un moment donné. des gens voudront de ses cours, qu'il n'aura certainement pas le droit officiellement de donner, pas d'études universitaires pour les légitimer.

codage par aqua, pic par thestral

tw : mention de prostitution

J'me marre !
Lou a de la castagne dans la bouche, le parlé violent quand l'gosse aborde à peine la face de brindille. D'prime abord j'pensais que y'avait que sa touffe d'cheveux d'énorme, mais sa manière de répliquer du tac au tac a quelque chose de stimulant. Au moins il est pas forcément apathique. Pas tout le temps shooté aux médocs. Juste un peu plus différent des p'tits qui planent dans les rues et qui n'arrivent qu'à cracher pour s'exprimer.
Je les connais.
J'étais pareil.
Sa remarque m'arrache un vrai rire franc, tant elle me décolle. Ce gosse va me tuer.

« P'tit con va ! Touché. » J'embraye, tirant sur ma connerie d'grand enfant et sur ma cigarette dans le même temps. « Mais dans une battle prothèse versus béquilles, j'te défonce tranquille. On teste quand tu veux. »

Bouille de stupide, connerie à la manque. On papote sur le perron comme si c'était chez nous, antre des docs et vieux pokes contre la peau malmenée. Les signatures d'ordonnance griffonnées. Les moments tendus et malaisants quand on tripote le gras et qu'on se dit qu'on devrait pas être là.
Et qu'on y revient quand même.
Parce qu'on est au courant du problème.

« On t'a troqué le papy gâteau contre le papa porno ? Putain. C'est quand même un sacré bourbier ce cabinet. »

A sa demande, étonnement bien ronde et mené, j'tend une taf comme on tend une main à secouer. C'est même marrant qu'Lou me l'ait pas demandé avant. J'ai même failli lui proposer. C'est comme ça que je salue ceux et celles qui ont la chance de me croiser.
J'l'entends pester, le nez en l'air, les yeux dans la fumée. Son discours soudain me fait vriller, en silence cette fois. J'explose pas, contrairement à l'habitude. Ce sujet-là, ces débats-là, ça m'touche trop pour que j'en fasse des caisses. Ca provoque le Moi, tapi derrière les murs, les carapaces enrobées mal fagotées, construites avec la force de bras de p'tit gamin.
J'ai l'oeil sombre, plongé dans les méandres de souvenirs sales.
C'est triste. Et mal. De voir que ça peut se transmettre aux enfants de maintenant, ce genre de dernière lueur d'espoir.
Mauvais sort.
Ca cogne et grogne dans mon coquillard. Trop tard.
« Ouais... ou pas hein. » J'hésite à continuer. Mais ça a déclenché quelque chose. Lou va devoir assumer, même si c'était pas dit sérieusement.
C'est enfoui trop profondément pour ne pas hurler face à la lumière toute mini de l'interstice d'une porte de sortie.
« On s'dit ça au début comme une solution d'facilité, y'a même un gros kiff excitant d'se mettre en position de force par rapport aux clients. Mais ça dure pas longtemps. Jamais vraiment assez longtemps pour pas s'détester encore plus qu'avant. »

J'soupire, la tête un brin secouée. Mon dos en miette vient chercher l'appui du mur le plus proche. J'y songe de temps en temps. A me demander si les vieux tontons voudraient de ce corps-là. Du vécu qui va avec.
Sans doute pas.
Tout ce qui était à ternir n'est plus là.
L'innocence est partie avec tout ce qu'elle avait de plus précieux.
Les promesses que ça finira, et que même ça finira bien.

« Reste avec tes p'tits rats Lou, tu pointeras du cul pour des fouines inoffensives au moins. »

@Lou Abellard things we lost in the fire ((seth&lou)) 2453064100

cw: mention de prostitution/sexualisation des corps, nudité d'enfants.

st bernard

feat. @seth cobalt ☾

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bah alors là franchement, qu'il sourit, vraiment enjoué, sur le moment. la tempête est en train de passer, l'inquiétude de l'éventuelle santé du disparu est encore présente, mais il sait comment s'y prendre maintenant. juste continuer de parler, encore et encore, ne surtout pas s'arrêter, ne pas se retrouver tout seul trop longtemps. il se demande si des gens le rechercheront, en vrai, ou s'ils sera juste un moyen de conversation, un désagrément d'une journée, avant qu'on le chasse de leurs pensées. sans doute que c'est mieux, s'il part un jour, qu'il ne laisse pas trop de gens qui le regretteraient. tout le monde s'en doute un peu, qu'il ne verra pas les trente ans, probablement pas les vingt-cinq non plus, ce n'est pas comme si rien ne le prévenait niveau santé. trop loin, maintenant, le rictus de sa psy et de sa kiné qui en disent long, bientôt il n'y aura plus rien à sauver. sincèrement, tout le monde de sain d'esprit parierait sur béquilles. si tu retires ta prothèse t'as littéralement une seule jambe pour te maintenir en équilibre, j'ai juste à me décaler. je peux marcher sans, et j'en ai deux. je peux facilement te renverser. un peu confiant, sur le coup, cependant. il a perdu beaucoup, fait une bonne tête de moins même avec la crinière fièrement arborée, et il n'a aucune idée du travail actuellement abattu par l'altérité. pour lui c'est autant un vétéran qu'un idiot qui a eu une méningite ou un cancer, il n'ose pas trop se questionner. il est civil, non? pour être dans cette clinique affreuse et pas un truc super important? les soldats sont forcément mieux considérés.

la suite de la conversation est beaucoup plus mal engagée. il voit le sourire mourir dans le visage de l'altérité, ne sait pas quoi en faire en toute honnêteté. fronce les sourcils, il est dur et il a toujours su gérer. lou n'a jamais eu énormément de talents, c'est la danse qui l'a récupéré tout jeune, l'école n'a jamais été quelque chose dans laquelle il a brillé, les emplois avec des horaires sont impossibles à tenir et la plupart ne payent pas son loyer s'ils ne sont fait qu'à mi-temps, et parfois on demande des a-levels, d'ailleurs toujours plus souvent. et vous avez travaillé où, avant, monsieur abellard? et avant la cigale a dansé. sa mère a fait le ménage, lui n'en a jamais eu la santé. son père a fait l'armée, lui n'en a jamais eu la masculinité ni le sens du devoir qu'il fallait, en toute honnêteté. il fallait quelque chose de rapide, avoir sa dose rapidement, laisser mourir l'argent dans la main de la mafia russe, et on était déjà pour ça venu le chercher. le caribéen qui secoue la tête et réfute les inquiétudes de l'aîné, rien ne saurait lui arriver, ou alors il s'en remettait facilement. et tigre le protégeait tout court, personne ne voulait le rencontrer énervé. je me déteste pas, je sais ce que je vaux. et c'est plus que les vieux. pas l'impression que le ballet soit à ce point mieux ; autant fétichisé dans l'un que dans l'autre, le corps tout aussi commenté, mis dans des positions désagréables, contraignantes et crevantes à la fin de la journée. au moins quand ce n'est pas la danse c'est moins longtemps. enfin aligner des enfants en petite culottes blanches depuis leurs cinq ans pour voir si leurs corps sont assez bien n'est pas très très innocents. malheureusement le me too dans le milieu c'est une marque de chaussures surtout. mais les sexagénaires qui payent pour du backstage ont des idées bizarres, aucun danseur n'aurait de choses à leur dire qui pourraient les intéresser.

codage par aqua, pic par thestral

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