☾ eye contact.
tics, manies, caractère. ☾☾ signe astrologique : Here me Roar, signe astrologique solaire Lion, né un 27 juillet dans ce monde corrompu, salis par le vice humain.
☾ les démons contre lesquels il se bat : Cauchemars rappelant un manque, rappelant cette fois-là où tu as dérapé. Cet accident qui t'a ôté celle aimée. Démons de l'insomnie, des souvenirs intrusifs à la nuit tombée. Démons de l'ennuis et de la routine.
☾ le membre de sa famille qui l'a le plus marqué : Père peu présent mais ombre visqueuse dans ton dos à la fois. Père à qui la boisson joue des tours. Père qui frappe. Patriarche qui épargne épouse et petit dernier.
☾ son thème musical : Where we belong - Shayfer James
☾ particularité(s) physique(s) : Lunettes portées que peu fréquemment, elles ne sont pas pratique, tu es bien trop reconnaissable avec. Préférence pour des
lentilles bien qu'elles ne corriges qu'une partie de ta vision merdique.
Cicatrice marquant ton abdomen. Coup de couteau ? Balle prise lors d'un braquage ? Pas du tout. Simple maladie attrapé petit. Cicatrice marquant l'absence de ton appendice.
☾ le plus gros crime qu'il ait commis : Braquer une banque, ce n'est pas simple comme crime. Mais en braquer plusieurs, avec toujours les mêmes tours de passe-passe pour obtenir les informations, abusant de la confiance, de certains pouvoirs, c'est peut-être bien cela le pire crime que tu ai pu commettre. Si l'on omet volontairement ce qui hante chacune de tes nuits, le sang sur tes mains, à toi le beau-parleur, à toi l'enfoiré, le salaud.
Assassin que l'on peut lire au fond de ton regard clair. Accident que tu dis. Toi seul y crois, à cette vérité qui semble faite d'un tissu de mensonges.
☾ sa plus grande peur : Ennui ou encore sa comparse qui vient souvent avec elle, te concernant,
Solitude. Ce n'est pas l'épaisseur de l'abandon qui t'inquiète, qui t'angoisse. Non. Bel et bien l'ennui pur. N'avoir rien à faire. Flâner sans se soucier du temps qui passe. La solitude dans ses plus beaux apparat. Tu as besoin de compagnie. Ton propre reflet, tu n'en a que faire s'il n'est pas agrémenté de celui d'une douce jeune femme. Solitude et Ennui t'ont fait faire bien des choses dont tu es peu fier.
☾ le sport qu'il pratique : Robin des bois des temps modernes. Loin de l'envie de partager les richesses, loin de la noblesse de l'homonyme Richard Coeur de Lion. Seul point commun que tu partages c'est le
tir à l'arc, la précision de ta visée.
☾ des dépendances quelconques ? Adrénaline. Elle coule dans tes veines, fait battre ton cœur contre tes tempes. Tu cherches cette ancienne compagne, cette charmante Adrénaline aux courbes dangereusement séductrices.
Séduction des jeunes âmes, tu passes une partie de ton temps libre à chercher la jeune demoiselle en quête de compagnie pour une nuit.
☾ a-t-il un accent ? un tic de langage ? Léger accent nordique, voix grave. Tendance à dénommée la gent féminine par divers surnoms affectifs, qu'ils soient en anglais ou encore en danois, langue natale de tes géniteurs.
☾ comment est composée sa famille ? Père marié trois fois. Première épouse danoise, ta mère. Seconde épouse, britannique, la mère de ton petit frère. Troisième et dernière épouse, sans enfant. Famille éclatée. Génitrices décédées. Que ce soit la tienne ou celle de ton frère. Deux enfants. Toi, Richard Felix et le petit dernier, épargné par les violences sous l'empire des boissons aux effluves alcoolisées. Belle-soeur avec peu de discussion. Neveu et nièce ignorant presque ton existence.
☾ son aesthetic en quelques mots : Teintes rougies de la séduction, du sang. Teintes grisées, noires, comme les tréfonds de l'ennui qui habite ta vieille carcasse.
☾ un handicap quelconque ? Vue merdique contre laquelle lunettes et lentilles ne peuvent pas grand chose. Visée pourtant aucunement entachée par ton manque d'acuité visuelle.
Gaucher, oui, ceci peut s'avérer être un véritable handicap.
☾ ses opinions politiques : répondre ici.
☾ ses tics nerveux : Mèches cendrées remises en arrière par un geste de la main vif et sec. Doigts glissant contre ta nuque. Jambe droite tremblante de haut en bas, signe de nervosité, d'énervement, de perte de patience.
☾ ses livres préférés : The Fall of the House of Usher ou encore
The Call of Cthulhu de deux maîtres du malaise en lecture. Deux maîtres des univers sombres. Loin de la dépression au sens clinique du terme, tu ressens parfois ce
spleen baudelairien qui ronge. Ton Ennui est profondément alimenté par ce spleen. Ou est-ce l'inverse ? Alors tu lis. Tu lis et relis toujours les mêmes ouvrages.
Admirateur également d'Oscar Wilde et de Charles Dickens. ☾ son défaut le plus vicieux, et sa plus belle qualité : Beau-parleur, séducteur, menteur. Tout dans le même sac. Les mots sont tes meilleures armes accompagnées de ton sourire en coin, rictus insolent qui sied à tes lèvres.
Homme de parole, infidèle mais homme de parole. Promesses rarement faites mais lorsqu'elles sont faites, tu fais en sortes qu'elles soient tenues
quoi qu'il doive arriver.
☾ auquel des huit péchés primordiaux est-il le plus sensible ? Sur le tableau des péchés primordiaux, on peut épingler ta photo proche du péché de
luxure. Ne disant jamais non à une belle courbe ondulante.
☾ régime alimentaire : Basique. Peu luxueux malgré ta richesse. Le luxe, se voit dans le vin, l'alcool que tu peux consommer avec modération.
☾ sa religion : Aucune. Légèrement pragmatique, amateur du "je ne crois que ce que je vois" tu as pourtant cru en votre bonne étoile et en les plans qui semblaient foireux de Ioke. Tu n'as pas vu votre réussite. Mais tu y a cru.
☾ son alignement moral : Chaotic Neutral. Y'a-t-il besoin d'un dessin ? Ni bon, ni mauvais, juste attiré par tes propres vices.
☾ style vestimentaire : Décrit comme
classe par les gamins peu fréquentables croisés en ville. Style comme sortit d'un autre siècle. Souvent vu en costume deux ou trois pièces, teintes grises, noires, foncées. Vanité affirmée par les vêtements portés. Peu de mauvaise qualité, c'est important à tes yeux, la qualité. Montre portée au poignée gauche malgré que ce soit ta main dominante, cadran à l'intérieur du poignet. Chevalière, héritage de ta pauvre mère qu'elle eut reçu en gage de son père.
histoire. ☾☾ Que tu glisses dans l'escalier, que t'ais au moins trois côtes pétées, que tu te brises comme du verre.
Reviens-là qu'il te hurles dessus. Toujours la même rengaine. C'est ta faute. La mort de Maman. Ta faute. Le fiasco de son second mariage. Tout es entièrement de ta faute. Alors tu dois être puni. Pourtant tu ne te laisses pas faire. Tu ne le regarde pas. Tu ne reviens pas. Il laisse glisser sa ceinture des passants de son pantalon. Elle claque. Elle claque la ceinture dans l'air. Contre le mur. Contre la table qu'il se prend. Ivre le pauvre homme.
Monde pourri. Tu n'entres pas dans son champ de vision. Reviens-là petite merde que l'on peut entendre hurlé en danois mâché par les effluves alcoolisées à travers la maison familiale.
Dénoncé. Espèce de petit con. Il te dénonce, le petit dernier. Le chouchou des géniteurs. Ton petit frère.
Demi-frère. Haine familiale corrosive à l'image de l'acide. Trouvé par le patriarche. Dos ensanglanté. Sanglots coupés. Tu ne lui offre pas cela. Tu ne lui offre pas ta soumission. Tu endures. Tu te mords la lèvre au sang. Les yeux clos, trop fort. Encore des reproches. Ta faute. Ta mère est morte par ta faute. Son mariage bat de l'aile par ta faute.
Enfoiré que tu es appelé du haut de tes 10 ans par l'Homme de famille. Violences exercées sous le regard apeuré du petit dernier. Sous l'air méprisant de ta belle-mère. Tu n'es pas son fils. Pourquoi te défendrait-elle. Le petit ? Trop peur de prendre lui aussi des coups.
Regard terne pourtant si beau, pourtant si clair. Tu lui souhaite la mort, au patriarche. Et pourtant. Et pourtant c'est celui qui survit à sa seconde femme, c'est celui qui finira par tous vous enterrer.
☾ They’ll call our crimes a work of art.
Soirée à laquelle tu as longuement hésité à venir. Ami d’un ami d’une amie te demandant de venir. Pourquoi toi. Tu étais bien, avec ta belle blonde au bar en bas de la rue. Mais te voilà, aussi largué que d’autres. Sans trop savoir comment, vous vous retrouvez à la même table, chaussures collées au parquet sué d’alcool et d’autres substances non identifiables. Verres posés, verres descendus. Personne ne fait attention à vous sans pour autant ne pas vous jeter des regards en biais. Vous êtes tous différents mais tous semblables. Ressemblants dans la différence. La beauté de la diversité se retrouvant de manière inattendue. Vous ne vous connaissez même pas. Pas de prénoms, pas de noms, pas d’attaches. Seul véritable point commun ? Vos âges concordants. Un groupe d’étudiants ou de personnes en âge d'étudier à Oxford. Idée lâchée comme une boutade. Idée prise à la lettre. Et si vous braquiez des banques. Les effluves enivrantes, même toi, d’ordinaire un minimum raisonné, tu y adhères. Tu y crois. Personne ne prend cette proposition par dessous la jambe. Chaque regard compte. Un regard à droite, en silence. Qui entraîne un autre regard à droite. Puis encore un, vers toi, puis toi, vers une demoiselle brune, puis elle, vers une autre personne. Le tour de la table est fait en silence.
Qui ne dit mot consent. C’est ainsi que vous avez créé votre groupe. De purs inconnus. De longues années passent. Des bouts de papiers glissés sous des portes, des origamis laissés sur des perrons de portes. Jamais de véritable contact. Rictus insolent, tu obtiens les informations.
T’es la pute du groupe. Mais qu’est-ce que cela peut t’en toucher une sans faire bouger l’autre. L’attirance, le jeu de séduction, les belles paroles. C’est ton domaine, c’est ce qui te plait. T’es en étude juridique, les paroles, les mots, les phrases, la syntaxe, la voix, le ton. Tout cela, c’est ton domaine. Poète au charme aquilin.
Chacun son rôle. Chacun sa place. Jeu d'échecs. Jeu de dames. Partie risquée du jeu du Chat et de la Souris. Vous courrez après l’argent. Vous êtes les Chats, l’argent est la Souris que vous poursuivez.
Si un chat met 5 minutes à attraper 10 souris dans une pièce, combien faut-il de temps à 7 chats pour attraper 70 souris dans la même pièce ? Toujours 5 minutes. Confiance faite à l’une d’entre vous. Brunette au charme qui ne te laisse pas indifférent.
Pas d’attache, c’est la règle. Confiance aveugle faite à demoiselle Thomasine. Elle emportera vos noms dans son incarcération. Si quelqu’un doit se faire attraper. Ce ne sera pas Ioke. Pas Methe. Pas toi. Mais Peitho.
Heure de se séparer après les retentissements des armes à feu, après le sang versé, le vôtre ? Celui des forces de police ? Personne ne le sait vraiment. Peitho suit le plan. Tout le monde suit le plan. Tout le monde se perd de vue après plusieurs coups. Tous plus millimétrés que le précédent. Même l’arrestation de votre Confiance est prévue.
☾ Will you get scared of me.
Long est le temps des âmes damnées. Long est le temps qui passe sous tes yeux. Depuis que tu t’es retrouvé seul, sans nouvelles. C’était la règle. Tu vois, parfois, des retours sur vos agissements. Pas un nom ne fuite. Sauf celui de Thomasine. Pas un visage ne fuite. Sauf celui de la Confiance brune. Tranquille.
Trop tranquille à ton goût est devenue à ton goût. Routine. Ennui. Voilà ce qui commence à te coller au corps. Alors que certains et certaines ne se marient, ne trouvent l’amour. Toi t’es juste seul, comme une merde.
Petite merde. Voix du patriarche qui revient tambouriner ton crâne avec ses sabots d’alcoolique. Geste brusque, tasse à café lancée à travers la pièce. Voix féminine dans ton dos. Inquiète la voix féminine alors que tu te retournes pour lui faire face.
Qui est-ce Soter ? Ta copine du moment ? Ta conquête de la nuit précédente ? Simplement celle qui réussit, un tant soit peu, à te faire oublier ton envie de danger, ton besoin d’adrénaline qui court dans tes veines, le sang battant tes tempes, la peur d’y laisser la peau. Tout va bien lui assures-tu avant de la gratifier d’un des nombreux surnoms affectifs dont tu as le secret. Qu’elle ne s’inquiète pas pour toi. Pourquoi viendrait-elle s’inquiéter pour toi. Tu vas bien. T’as juste besoin, parfois, de relâcher la pression. De sentir cette appréhension faire monter ton rythme cardiaque.
Camé à l’adrénaline. Alors tu essaies. Tu essaies des choses. Tu changes d’occupations tous les quatre matins. Pas littéralement. Mais l’idée est là. Tu retombes toujours sur de la routine. De l’ennui. La violence monte. Contre le mur. Contre la table. Excès de colère mal maîtrisé. Tu n’es pourtant pas des colériques. Phrase de trop. Accident bête. Engueulade inutile. Insultes. Menaces. Et la solitude revient. Tu t’en rends compte que bien trop tard. Manque d’adrénaline. Tu as perdu les pédales.
Et si on braquait des banques ? Montée d’envie, nœud à l’estomac.
Et si on plante de la chaire avec une lame ? Montée d’appréhension, nœud à l’estomac, acte que tu regrettes. Corps gisant à tes pieds. Sang sur tes mains. Accident. Personne ne te croira. C’est pourtant le cas. T’as perdu le contrôle. Trop grand manque. Elle n’est plus là. Inerte.
Morte. Corps caché. Débarrassé de ce fantôme qui te hantera jusqu'à ta propre mort.
☾ You were doomed but just enough.
Mariage du frère, naissance de ses enfants. Toi t’as 40 bernes. T’es toujours aussi seul dans ta vie de tous les jours. Ta vie de toutes les nuits, elle est alimentée par une belle présence, une jeune femme, différente, chaque nuit. Un verre qui glisse entre ses lèvres, les tiennes glissent contre la peau frissonnante sous son oreille. Elle sourit et tu souffles contre son cou. Tes mains vivent d’elles-mêmes sur son corps.
Courbes indécentes. Provocatrices dans sa belle robe de soirée. Ton costume ne tient pas en place. Sa robe tombe contre le sol de la chambre. Vous ne vous connaissez pas. Et vous ne vous connaitrez jamais. Plus jamais tu ne laisses plus de 12 heures une femme entrer dans ta vie. Langue se perdant au creux de sa poitrine. Ses mains ébouriffant tes mèches déjà en désordre. Baiser descendant contre son intimité.
Nuits d’ivresse, de luxure. Très souvent la même chose. Mêmes paroles, même sourire insolent au coin des lèvres. Griffures de ses ongles parfaitement manucurés contre ton torse, dans ton dos. Oublis des autres, oublis de tes démons dans la luxure. Oublis de tes erreurs, de tes crimes contre des lèvres pulpeuses de demoiselle ayant parfois 15 ans de moins que toi. Attrait pour l’adrénaline de prendre une jeune demoiselle. Attrait pour les nuits contre des murs, sans aucune retenue. Attrait pour la luxure à l’état le plus pur.
☾ Call me maybe.
Allongé proche d'une piscine. Eau chaude, soleil tapant. Personne ne pourrait croire que tu vis à Exeter. Ville aux allures délabrée, tu te la coule douce dans un endroit au charme d'antan, bâtisse semblant être épargnée par l'aspect détérioré. Tu vis simplement des jours ennuyeux à St Thomas. Soupir trahissant tes lèvres, tu ne t'attends pas à ce retournement de situation. Tu ne t'attends à cette nouvelle montée d'adrénaline. Adrénaline que tu as pourtant tant chercher durant toute ta vie. Un coup de téléphone. Juste un. Une voix reconnaissable entre mille.
Celle de Methe. Qu'est-ce que ce pignouf te veux. Tu étais persuadé d'avoir réussi à disparaître complètement des radars malgré les conseils juridiques que tu peux filer comme ça, contre de l'argent dont tu ne connais pas la provenance. T'as pas besoin d'argent. Mais les billets sont une ressource épuisable et mieux vaut en avoir trop que pas assez. La voix, à l'autre bout du téléphone, elle est clair. Vous risquez vos peaux. T'es pas au courant ? Deux d'entre vous sont déjà tombés. Morts. Disparus. Que sais-je. Alors tu fais plus attention. Plus attention à la voix de la radio. Plus attention à ce podcast fumeux
True Crime. Et tu te rends compte que c'est vrai. Que vos noms, tout du moins ceux que vous utilisez, tombent. Les uns après les autres. Qui ? A ton avis crétin. La seule qui les avaient et qui étaient en capacité de les donner, c'est votre Confiance.
C'est Peitho. Pourquoi te rappeler, comme ça, après tant d'années. Parce que l'on veut te protéger ? Non. Parce que l'on veut savoir. On veut savoir comment les pistes sont sortit, qui a pu balancer l'idée de revenir sur vos agissements. Et toi tu souris. Tu souris parce que le danger te fait frissonner. Tu souris parce que ta vie va enfin bouger. 51 ans. Il n'est jamais trop tard pour vivre d'autres choses.
pseudo/prénom : Euca |
pronoms : Il • Lui |
âge : 23 ans |
signe astrologique : Bélier • Médiateur ( INFP ) |
type de personnage : Pré-lien sycophantes de la douce
@Thomasine Sauvage |
des doubles-comptes ? Nope. |
crédits : Mon logiciel de retouche photo pour les icons ça compte ? |
le mot de la fin : Moi j'dis merde, ça colle avec tout. Le forum est si beau ;; j'espère que cela vous plaira !