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LE GOÛT DES CENDRES.


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des personnages.
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MessageSujet: LE GOÛT DES CENDRES. LE GOÛT DES CENDRES. EmptyMar 16 Fév - 18:19


hera venable.

pourtant, qui n'a serré dans ses bras un squelette,
et qui ne s'est nourri des choses du tombeau ?
qu'importe le parfum, l'habit ou la toilette ?
qui fait le dégoûté montre qu'il se croit beau.


nom prénom(s). hera psalmodie le mâle idiolecte, pendu en ven(er)able condamné au spectre funambulesque ; dérobé à cette limite rébarbative qu’un chuchot affirme réel. des fils cousus et qui transpercent, et creusent l’ivoirien derme ; à la souche des maux sculptent l’amertume puis craquèle le squelette. l’aiguille brode de belles calomnies certes, mais ne puis rayer les vestiges d’un autre confus ; ignore ce moi avant la muse, or puisse-t-elle disparaître à travers l’âge des regrets, nul ingénu témoin ne s’oserait à l’articuler ce fameux vaincue —voit, domitille n’est plus. oubliée la lettrine velcoro. des lèvres gercées, rictus miels sur les flots désabusés ça pourrait sonner comme une insulte ; et prient dévots à l’appartenance immodérée sur l’autel sacrificiel de ce culte. âge, origine. jouvence immortelle s’abreuve à la source du chaos ; trente-cinq fléaux, chiffre maudit que l’on appose. s’ouvre l’œil fauve au cœur d’une exeter morose. berceau d’entrelacs, de méli-mélo. alambiquée jusque sur les stries faisandés des carminés vaisseaux. occupations, métier. égérie des martyrs, taillée à la serpe par une fruste main artiste. lui précepteur du faux, modèle à sa guise l’échappée asthénique. façon matriochka, poupée détraquée aux mille-et-une vénustés, masques chamarrés renvoyant à l’infini le reflet d’un idéal dénaturé. des rayons projetés à aveugler, attestent moult identités sur l'estrade de l'impériosité ; pure risibilité, en finalité se noie au milieu des biliaires déjections la sublime singularité. tout juste façonnée pour coller à la couronne imposée du visage clef. lourd diadème à porter, s’enfonce dans la chair las, à l’en irriter ; et le tissu seyant les galbes efflanqués. s’insurge puis revient ; ô fourbe ergastule incapable de s’en éloigner, dilection gorgée de venin, cette fois néanmoins l’oiseau (dés)enclavé se clame maître de son propre fatum. provoque la patience de l’aîné pour obtenir grâce, enfin. prélude l’hérésie entre les parois du pandémonium sibyllin, où l’avide de fantasmagorie s’éperd sur les courbes pécheresses du malin. situation sociale et financière. princesse déchue, envolés les derniers pécules ; fauchée ça l’accule, la faute aux abus et cette superficielle démesure pour l’inouïe flamboyance des lustres, papillon attiré par les artifices du luxe. forcément, les dépenses sont rudes, et le néant du compte en banque rustre. orientation sexuelle. damnation du myocarde fêlé. des draps froissés brûlant sous les émois concupiscents, corporéités exsudées dans une danse ; et mort-né l’incendie s’essouffle à la lisière d'un horizon aux diaprés pigments. amasse saccage la masculine gente sur le matelas déglingué de l’infortunée jouissance avec la burlesque espérance d’obtenir de grâce davantage que des faux-semblants. déveine bagatelle, grapille l’affection délétère et récolte le rejet des plaisirs éphémères. attraction néfaste, l’ésotérique se blesse pour quelques lots de consolations funestes. groupe. bitter sweet symphonie.

☾ danse macabre.
tics, manies, caractère.


rachitisme. l’organsin dévale les pics de rien, canevas démis sous l’influence néfaste de l’isthme solfiant le glas ; recrache avec dédain, ô d’entrain l’acide des non-repas et ceux suffocant du trop-plein. genoux à terre, l’âpre hyménée des eaux troublées et de cette bouche amiantée scelle la promesse d’une triste union —cuvette relevée en l'arche symbolique de la consécration. dépourvue d’effluve floribonde, taquine la pulpe des doigts la miséreuse glotte, enfoncée à travers l’offrande d’une gorge ployée. l’ossature exhibe des rémiges cachées, tectrices affûtées ; l’oiseau enclavé cherche à s’échapper de sa cage mordorée. intrinsèque dévoilé, lit entre les lignes sécantes le dessein fatalité ; puise l’énergie harassée de l’imaginaire, fervente du funèbre. vertèbres et côtes seyantes stigmatisent l’épitaphe sur le satin tendu du corps malade ; aveuglée de dilection, épouse volontiers les humeurs chiennes de l’œsophage gâté. dilapidateuse. idylle abracadabrante, de valeur nib, son altesse aime le fric. money, money, dépense selon l’aloi du caprice ; briller attise la vésanie de l’obsessive, être jolie jamais ça ne suffit. l’onirisme exige une perfection volatile, impalpable comme cet argent qui s’amenuise. forcément, ça coûte cher le dernier cri ; l’hédonisme, l’opulence du prestige. appétence inassouvie. faut que ça électrise, passagère crise où l’extatique s’invite. exhalaisons d’hypocrisie, des fragments d’affection volées aux lippes quémandent insatiables allégories ; des voyages illusionnés prenant racine sur l’incurvation gracieuse d’une nuque fébrile, traversent les vallées de l’interdit et terminent leur épopée nichés au creux des lombes fléchis. frôle l’overdose au terme du périple ; et à l’aube des vestiges, pointent les flèches dardées de l’astre volcanique, portées par les vagues indociles du zéphyr. excave de douloureux cataclysmes, salves dévastatrices balayant sur un maelstrom sinistre les braises dyspnéiques de ses infernales fééries. liaisons de pacotille équivaut de cette maigre estime ; et l’abandon parsème d’ébène l’âme meurtrie jusqu’à persuader l’impossibilité tragique du vrai quand subsiste le vide. mutisme. silence roi précepteur d’éclats, s’étiole cinoque la mélopée ; (dys)harmonie dont l’accent nébulé enjôle irraisonné. emmagasine les tourments pour mieux imploser ; suffit-il d’une flammèche pour l’allumer ? dynamite latente aux lames térébrées, fracasse la sphère albuginée et culpabilise repliée dans cet asile qu’édifie la psyché. recolle après coups les blessures infligées et la boucle rembobine, cassette rainurée ; c’est un schéma infini, mysticité aux insaisissables tonalités —à vous en rendre timbré.

solidité cadavérique - farouche déité - calculatrice invétérée - finesse inusitée - lunaire désinvolture - patience (altérée) - magnétisme hétéroclite - solitude mélancolique - envoûteuse d'hallucinés - malléable poupée - cruelle insouciance - dépendante exaltée - naïveté ponctuée.


histoire.


respire. préambule du blasphème, l’automatisme s’effrite du premier cri solfiant la lyre —à l’ultime soupir. l’oubli, ça sonne presque ironique ; inné en l’instinct bestial de survie. l’éther ne connaît de prisme qu’en sa prodigieuse inertie. univers désaxé façonné au nom du possessif, l’affirme-t-il unique. supposément née préservée du vice ; c’est que la férocité de l’un éconduit à l’usure de virulentes fantaisies les hyènes anthropophages susceptibles de lui nuire. lui comme il. il, égoïste. l’éducation drastique se heurte à cette confusion des valeurs désanoblies, et des promesses passées sous silence atteignant le summum de la folie. allégresse fugitive, des années à idolâtrer un monstre de maniaquerie ; obéie assujettie à la promiscuité de l’hémoglobine. domitille trépasse, ô gali remplace l’appareil fadasse. hera, pour une étoile et l’accord bafoué instigue l’agonie. langueur tumorale, l’aîné tant aimé advient mal ; sillonne les routes veinasses et traînaille la déguisée carcasse. quel splendide apparat, joyau inestimable —ne suffit pas ; toilettes cousues à même l’os, noyau du rubescent diaphragme, l’enfance s’envole mais le ramage siège prisonnier d’une cage. pendue à son bras comme un forçat se balancerait au bout d’une hart, l’illustre nourrit l’affliction colossale. délivre-moi de l’abominable. et des pourquoi qui m’assaillent, des ça m’esquinte essuyés du revers de la main ; aujourd’hui mon frère, je ne suis rien. fantôme aux multiples visages, trône suzerain sur un piédestal à la merci des photographes ; une beauté que l’on convoite, hera, somptuosité diaphane. ô hera, il y a de la poésie dans l’océan bleu de ton regard. femme-objet, coquille de verre défile apprêtée de tulles surnaturelles. chaque création mue suaire. disloquée de l’intérieur, sombre succincte ; entame un régime suicidaire. observez alors : je serais la plus belle ; s’accroche insensée aux sommations du maître. comprenez, galileo alimente de clair-obscur son royaume atrabilaire. et peut-être en crèverai-je ; sous la formulation d’un ultime sacrilège —gueule ouverte, des tracés de poudreuses de neige, l’autoroute du vice à deux cents kilomètre-heure et du poids arachnéenne je me déleste ; un trait danger, deux traits sécurité, virage extrême ! que l’on m’enterre. de cet amour religion, dieu que je vénère ; détourne l’œil morne car ce qu’il voit est laid. s’éteint avalé de cendreux altostratus l’astre solaire ; rictus primaires humectés de ténèbres. eux n’observent que la partie superficielle, monde autolâtre réduit à un écrin restreint, joue de symphonies écœurantes comme oppresse un corset.

atteindre des sommets
flattez la giclée d’artère
je veux briller
je veux être libre
voler dans le ciel
me transformer en hirondelle.


paradoxe mortel, erre décadente et séduit de manifestes. offense kamikaze par l’attentat de cette corrélation malsaine. jack n’est qu’un songe de désolation nécessaire ; jack personnification du rêve —l’adoration sans frontières. gravit les forteresses et orbite charnel, jure monts et merveilles. vous savez, l’homme diverge. des je t’aime muets déposés à la lisière des lèvres ; savourent le touché léger des vertus ôtées. suggère tu dois le quitter, insuffle l’idée ; fermente affolée. et que serai-je loin de ma gravité ? qui suis-je en vérité ? exterminé l’eden ; galileo joue sa carte pionnière et arrache les mauvaises herbes, brûle le jardin des sentiments pour y semer les regrets ; et les ronces dolentes d’une vénéneuse colère. jack, tu me l’avais susurré au pavillon de l’esse. jack, tu t’en rappelles ? que jamais tu ne disparaitrais. jack, je te hais. jack, reviens et entend mes prières. vaines, les bougies sécrètent des lacrymales d’opale, lueur estompée ; pactée la décision. dans la nuit flamboient des chrysalides exuvies depuis des décennies ; hera céleste lépidoptère brunit à la façon des étoiles consumées par le nib. emportée par des vagues de nielle en voltige.

toujours hera ;
sans
un
bruit.


subterfuges éhontés, vagabonde déchaînée. substitues absolus assassinent l’impécuniosité. faut dire qu’elle est jolie, spéciale et bousillée ; le genre de beauté qu’on s’aime à consoler. sorgues fieffées, inhale des pores livides la lubricité. hera, tu n’es pas fille à marier, personne ne te comprend, trop exigeante, si compliquée. et les semaines s’égrènent, et les mois pèsent. la charpente quasi à découverte soutenue par un maigre voile de chair ; et le cœur qui s’arrête. ce n’est qu’un battement d’aile. une minute à peine, soixante seconde où démolie la peine. l’on dit qu’un fin tunnel aspire notre être, c’est un peu comme si tout se résumait à de l’air ; et les kilogrammes se dispersent, détachés du reste. aérienne et entraînée par les courants des souvenirs indigestes ; le sien parmi les horizons m’est apparu plus clair. je n’étais pas prête ; et je crois que par-delà les faix : il me manquait. lui, mon frère. survivre, accepter l’aide puis refuser incertaine. cacochyme, cercle sempiternel. dépense outrancière avec l’angoisse amertume d’ignorer le terme de ce voyage austère. balade carnassière, adepte d’une lancinance démentielle. des contrées sillonnées d’aucune ne vient à anesthésier la plaie.

hera sent,
damoclès la taquiner de son glaive.
hera entend,
samaël psalmodier des poèmes.
hera sait,
et combat harassée l’empire cauchemardesque.


icelui tourbillonne, ébauche d’effroyables arabesques ; simulacre des lettres, ces mots soigneusement calligraphiés, de noir et de blanc harmonisés ne formant plus qu’un puzzle échevelé. la mort rassasiée souris à travers le papier ; grimace contorsionnée. et il est des larmes dont elle n’aime pas parler, des pleurs et des cris entrelacs de l’indéniable culpabilité. seras-tu seulement en mesure de me le pardonner ? l’égoïsme évident et l’insolence vindicatrice. et maman, je ne cesserai de t’aimer. même si pour ça je dois le confronter, les travers c’est terminé. toi qui un jour me l’a intimé : respire, mon bébé.


.delirium a écrit:
à tes méchantes blessures. .delirium, vingt-cinq printemps, la gourmandise pour vice ; et la bretagne pour patrie. passion fromage qui fouette, taureau ascendant lion cumulant une flopée d’objets. la nostalgie ancrée dans les veines. charmée par la promesse d’une sombre atmosphère, mon côté emo est satisfait. outre le scénario qui m’a achevé de rejoindre l’aventure ; il me tarde de vibrer des mots, de m’éperdre.
kezako, ton perso. diamant brut de @"gali velcoro".


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Hyacinthe Sterling
you wouldn't be the first renegade
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Hyacinthe Sterling
∴ Pseudo : balzolaire (nastasia).
∴ Faceclaim : jelle haen.
∴ Merci à : themooninmourning (av), kawaiinekoj (ic).
∴ Dédoublement(s) : marlowe, l'empereur médiatique, ange, le saint des saints & alix, l'enfant des limbes et des pavés.
∴ Âge : dix-neuf ans. la chimère ténébreuse de l'éternité qui l'égare sans pitié. l'épithète de "gamin" qui le sied si bien, qui décrit si joliment ses fureurs candides.
∴ Mood : LE GOÛT DES CENDRES. 1576a810
∴ Pronom inrp : il/lui, he/him.
∴ Occupation : étudiant au conservatoire ; pianiste auréolé de débauche et de décadence, chemin choisi par dépit plus que par passion. membre d'un groupuscule révolutionnaire à ses heures perdues.
∴ Statut : le palpitant abandonné aux mains de l'asmodée moderne. les yeux incandescents d'une ombre brisée dans lesquels il plonge, se noie ; la gorge encombrée d'une vénération ignorée.
∴ Géolocalisation : au casino, très certainement, l'âme ankylosée par la liqueur, l'argent vomi et régurgité une centaine de fois déjà.
∴ Vice : trouble de la personnalité borderline ; addictions (jeu, alcool)
∴ Free land :
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∴Arrivé le : 16/02/2021
MessageSujet: Re: LE GOÛT DES CENDRES. LE GOÛT DES CENDRES. EmptyMar 16 Fév - 18:22

mais quelle beauté infernale, je suis- LE GOÛT DES CENDRES. 2990452 LE GOÛT DES CENDRES. 2990452 LE GOÛT DES CENDRES. 2990452
(et quelle rapidité pour la réinscription aussi LE GOÛT DES CENDRES. 3848593156 LE GOÛT DES CENDRES. 2453064100)
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MessageSujet: Re: LE GOÛT DES CENDRES. LE GOÛT DES CENDRES. EmptyMar 16 Fév - 18:26

mon diamant.
LE GOÛT DES CENDRES. 3604181530
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