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trying not to blown my brains out ○ paddo


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MessageSujet: trying not to blown my brains out ○ paddo trying not to blown my brains out ○ paddo EmptyMar 16 Fév - 18:49


silas paddo

no one told me life would be this long ☾

nom prénom(s). Silas Paddo, littéralement l'unique chose qu'on lui a donné quand il a ouvert les yeux. Il se fait souvent appeler par son nom de famille, l'habitude d'être considéré comme personne probablement. âge, origine. 42 années, la jeunesse s'est barrée. Ne reste que le poids des mauvaises décisions et des bâtons dans les roues que la vie lui même. Il suppose être anglais mais n'en a aucune fichue idée en réalité. occupations, métier. C'est un mécano pas plus con qu'un autre, qui peut régler vos problèmes. Mais c'est pas ça qui le tient vivant ou paye les dettes. Alors le soir il descend au sous-sol chercher l'adrénaline des combats illégaux où il vient frapper jusqu'à l'inconscience s'il n'a pas de jeunes recrues à envoyer à sa place. Sur le reste du temps, il assume les services demandés et l'argent prêté en faisant le larbin pour la mafia irlandaise. Entre autres.. situation sociale et financière. Il vivait bien fut un temps avec ses magouilles. Puis le juge et les avocats sont venus le saigner. Il a des dettes dans tous les sens, doit abandonner sa morale pour ne pas perdre le peu qu'il lui reste. orientation sexuelle. Hétéro fini, borné et fier. Il a autre chose à foutre que d'explorer ce qui ne l'attire pas. groupe. Smells like teen spirit. Personne ne peut faire confiance à un type qui n'a rien à perdre et prendre la violence comme solution à tout.

☾ eye contact.

tics, manies, caractère. ☾
Y a des jours où il en a plein le cul de la vie Silas, où il va volontairement se détruire le foie, se défoncer ou casser des gueules en sachant qu'il y aura des répercussions. Y a des jours où ça l'emmerde d'être né au mauvais endroit et de pas avoir été capable de s'en sortir, d'être quelqu'un de bien. Mais c'est l'histoire de sa vie, il doit se démerder pour survivre et s'il arrive à être heureux à un moment donné, grand bien lui fasse. Ce n'est juste pas l'objectif principal. ☾ On lui a jamais appris à aimer. Par contre, on lui a appris la haine, la violence, et la règle du plus fort. C'est ce qui a conditionné qui il est aujourd'hui. Il fait pas dans le sentimentalisme, dans les jolies émotions. Il ne s'exprime pas avec des mots mais avec les poings. C'est ce qui le fait se sentir bien le goût du sang sur ses lèvres, la douleur qui lui vrille le cerveau et lui donne la gerbe, le corps qui crie à l'agonie. Il s'est retrouvé à l'hôpital ou entre les mains de médecins douteux des centaines de fois, certains lui ont dit que ça le tuera un jour. Mais il faut bien que quelque chose le fasse, n'est-pas ? ☾  Il avait des rêves à l'époque. Une femme aimante, des gamins à qui il offrirait tout ce qu'il n'avait pas eu. Il imaginait une vie loin de cette ville pourrie, un truc près de la mer où le vent marin ferait résonner les rires heureux. Aujourd'hui, il s'est accommodé de la grisaille, de la pollution sonore, des visages agressifs et de l'odeur de carbone. Il n'aura pas offert cette vie désastreuse à un gosse et ça a un côté réconfortant, finalement. ☾  Cela fait longtemps qu'il ne dort plus réellement. L'épuisement l'assomme quand c'est nécessaire, mais quand le commun des mortels se repose, il arpente les bas-fonds de la ville pour accomplir ce qui ne saurait pas l'être au grand jour. L'alcool est également un bon moyen de le mettre ko. ☾ Il connaît les rues d'Exeter comme personne pour y avoir vécu, pour avoir dormir sous ses ponts, ses arches, ou ses sous-sols. Il exècre cette ville, la vomit de tout ton être. Mais il a fini par se dire que partir ne changerait rien à qui il est, alors à quoi bon ? ☾ Il a aucune éducation ce type, mais il est pas con pour autant. Il a appris à observer, écouter, analyser. Il aime savoir à quoi s'en tenir et s'il donne sa confiance, ce n'est pas sans connaître les points faibles de la personne en face et de savoir comment s'en servir en guise de vengeance si besoin. ☾ Il fera toujours passer sa propre peau avant celle des autres mais c'est un gars incroyablement loyal, prêt à tomber dans les extrêmes pour aider un ami. C'est l'avantage quand on n'a rien à perdre. ☾ Il a côtoyé les flics de très près, Silas. Il avait même une taupe là-bas à l'époque où il pouvait se le payer. Paquets de drogue planqués au garage, combats illégaux ayant mal tourné, règlements de compte. Ils l'ont jamais attrapé et y a aucune preuve tangible dans son dossier. La seule fois où ils l'ont enfin collé en taule pour quelques jours, c'était pour une agression sexuelle sur mineure qu'il a pas commise. Il s'en est ramassé la gueule plus que jamais et en garde encore un goût amer. ☾ Le fait est qu'il est fermé comme une huître, Paddo. C'est le type inaccessible, celui au mental d'acier qui peut prendre les coups sans ciller, sans flancher. S'il ouvrait un peu la carapace, il y aurait trop de cicatrices dégueulasses à voir, dont certaines qui sont encore des plaies béantes. Le manque d'amour, notamment. Au moins, ça lui fait une faiblesse en moins. ☾ Les femmes finiront par avoir sa peau. Il s'en méfie, les trouve toutes plus vicieuses les unes que les autres, mais putain ce qu'il aime se perdre en elle, profiter de leur douceur même si c'est en échange de quelques billets. ☾ Il est brusque, abrupt, jure comme un charretier, toujours une clope au bec, manque cruellement de savoir vivre, part au quart de tour. Il est tout sauf le type qu'on vient emmerder. ☾ Il a appris sur le tas à être un sale type, à piétiner ses valeurs humaines et morales. Il a du sang sur les mains à avoir tabassé des types jusqu'au bord de la mort, à leur avoir tiré dessus dans le simple but de les faire souffrir. Il n'a jamais fini sa besogne avec un cadavre sur les bras mais se doute qu'il est déjà allé trop loin. Il préfère malgré tout rester dans le déni et tenter de se convaincre qu'il est pas un mauvais type et pourrait changer. ☾ Tout dans sa misérable existence tourne autour du fric. Essayer de s'en faire pour pouvoir se payer une vie décente, pour ne pas dépendre de qui que ce soit. Sauf que les gros billets n'arrivent pas dans la poche en étant honnête. Tous les moyens sont bons pour tirer son épingle du jeu, faire en sorte de ne pas retourner dans la misère complète. Même s'allier aux pires ordures. Même entraîner des gamins perdus en sachant que les voir se faire massacrer lui rapportera du fric. Les combattants talentueux sont malheureusement rares.

histoire. ☾

« J’vais t’apprendre le respect moi. » Le gros connard alcoolisé se tient devant un gamin recroquevillé dans un coin de la maison, ceinture à la main. Il a huit ans le gosse, tremble de tout son être sans comprendre ce qu’il a fait de mal à part exister. Les Woodson sont la cinquième famille à l’accueillir, à jouer le spectacle des grands sourires face à l’assistance sociale. Encore une famille où Silas a eu de l’espoir, s’est dit que peut-être, les choses se passeraient bien. Un espoir qui s’est envolé dès la seconde où la porte d’entrée s’est refermée. Fini les sourires, fini les tapes amicales sur l’épaule. Bienvenue en plein cauchemar, l’un de ceux dont il peut s’échapper uniquement pour aller l’école. Car une fois rentré le soir, on le fait sentir qu’il dérange, qu’il fait autant partie de la famille que les rats qui courent sur le plancher sale. Les repas sont optionnels, l’amour totalement absent. Le moindre mot, la moindre respiration trop bruyante attire l’attention sur le pauvre gosse, sur le défouloir de service. Alors quand le monstre se révèle et dégaine sa ceinture, Silas sait qu’il n’y a rien d’autre à faire que de serrer la mâchoire et subir, en silence de préférence. La bête a horreur des cris. Quand il aura fini, il ira probablement s’échouer dans le canapé quand l’enfant aura tout intérêt à se retirer dans l’ancienne buanderie qui lui sert de chambre, et ce sans le moindre bruit. Pas de chance, dira-t-on. Il est la mauvaise pioche des enfants dans le système, celui qui n’a jamais donné envie à aucune famille bien comme il faut de l’adopter. L’amertume n’a jamais fait que grandir au fil des années, des violences, des fugues, de toutes les conneries faites pour alerter un putain d’être sensé sur ce qu’il subissait. Il a abandonné le jour où on a osé lui dire que ses parents l’avaient probablement abandonné pour que quelqu’un puisse lui offrir une plus jolie vie. De là, il a compris que ce n’était qu’un ramassis de connerie et qu’il n’était juste pas né du bon côté. C’était pas si grave, ils étaient des centaines de milliers à survivre chaque année.


« Putain Paddo, relève-toi ! » La foule hurle dans ses oreilles, lui donne l’impression d’être dans une putain d’émeute. Sauf qu’ils ne sont que deux à se battre, et c’est lui qui est à terre, sonné, fracassé. Le sang lui remplit la bouche, lui cache la vue. La douleur est partout, de ses poings massacrés à force de frapper à chacune de ses articulations. Il a la gueule en charpie, le ventre qui crie à l’agonie, la certitude d’avoir des côtes cassées. Les oreilles bourdonnent, sa carcasse répond à peine, respirer lui fait un mal de chien. Mais y a les voix de Rex et de Nox qui s’élèvent, plus fortes que les autres, lui donnent quelque chose à quoi se raccrocher. C’est avec tout le mal du monde qu’il finit par relever la tête Paddo, montrer qu’il est pas encore vaincu. Le gars en face est pas en meilleur état. Il doit l’achever, il y a trop à gagner pour abandonner maintenant. Alors le combattant retourne la violence contre lui-même, puise dans ses dernières doses d’adrénaline pour brandir le poing dans la mâchoire, attraper le gars par la nuque pour lui faire perdre l’équilibre et lui coller un coup de genou dans l’estomac avec une telle force que l’autre flanche, trébuche, se plie en deux. C’en est terminé, le gong de la victoire résonne. Cinq cent livres. Il vient de se faire péter la gueule pour cinq cent livres. Mais c’est ce qui lui permettra de payer son loyer ce mois-ci, de compenser le fait qu’il sera pas capable de retourner au boulot avant bien une semaine. Certains diront que ça ne valait pas le coup, mais les gars savent de quoi il s’agit. Ils ont parié, ils ont gagné, et cogner est tout ce qu’ils savent faire correctement. Ils n’ont pas à affronter la société quand ils sont comme ça, n’ont pas à s’excuser de se comporter comme des animaux. C’est leur façon de survivre, et au moins, ils sont ensemble dans cette galère. Quoiqu’il advienne.


« Tu violes des gamines maintenant ? » Le flic lui fait une clé de bras, lui écrase la gueule sur la table du salon sans même que Silas puisse comprendre ce qui est en train de passer. Dans cette position, il peut voir sa copine, impassible, et son ado qui a ce sourire en coin. Tout se passe vite, violemment. Tout ce que Paddo comprend, c’est qu’une accusation a été lancée contre lui et que ce connard prend un pied particulier à enfin le coincer pour quelque chose. C’était en 2017, et sans qu’il l’ait vu venir, sa vie a viré au cauchemar ce jour-là. Accusé de viol et d’agressions sexuelles sur sa belle-fille qui avait seize ans à l’époque. Personne n’a pris sa défense, même son putain d’avocat commis d’office lui a conseillé d’avouer et de négocier sa peine. On l’a foutu derrière les barreaux le temps d’organiser son jugement. Les plus longues semaines de sa vie où il a été passé à tabac, a dû casser des gueules en retour. Ça a failli le tuer plus d’une fois, chaque occasion où il baissait sa garde étant devenu une opportunité pour les taulards de buter un violeur. Et bordel, la descente aux enfers a été longue. Tout ce qu’il avait éviter ces dernières décennies lui revenait dans la gueule : les interpellations, les enquêtes où il apparaissait en tant que suspect, les délits mineurs du genre conduite en état d’ivresse ou bagarres dans des bars. Puis les témoignages. Ceux de son ex qui racontait toutes les fois où ils s’étaient disputés durant leurs cinq ans de vie commune, où il avait été violent avec elle -un putain de mensonge-, où il rentrait la gueule fracassée -véridique-.
Il a dû tout sacrifier pour s’en sortir, payer sa caution, tirer des ficelles qu’il n’avait pas. Il a fait pire que vendre son âme au diable, il a vendu sa vie aux pires ordures de la ville. Mafias, hommes d’affaires véreux, tous ceux qui auraient pu l’aider à concocter de fausses preuves ou soudoyer quelques types. Il y a craché jusqu’à sa dernière livre. Ce qui l’a sauvé, c’est sa réputation de combattant solide et sans pitié, le type sur lequel on peut s’appuyer pour les tâches les plus ignobles qui soient. Alors quand enfin le verdict a été prononcé et qu’il a été déclaré non coupable, cela n’a pas signifié qu’il était libre. Ça a juste voulu dire qu’il y avait d’autres personnes désormais pour le tenir par les couilles.


« Estime-toi chanceux. » La voix de Silas est froide, distante, alors qu’il applique de la glace sur le visage éclaté du môme. Le vieux a appris à se défaite de ses sentiments, tout ceci était planifié. Le gamin n’avait aucune chance de gagner, le combat était bien trop inégal, l’adversaire trop fort. Tout s’est joué dans les apparences. Aussi maigrelet que soit le jeune, il a une gueule carrée et des muscles secs, un regard sombre et une attitude insolente. Il ressemble à un mec qui veut en découdre sans en avoir vraiment les capacités. Dans l’arène, c’est sur lui que les gars ont parié. Pas Silas. Il s’est fait quelques gros billets sur le dos d’un type aussi paumé que lui à l’époque, qui s’est juste laissé bercer par l’illusion de se faire de la tune facilement. Il a juste voulu se sortir de la misère et à la place s’est pris une leçon de vie cruelle. Paddo ne s’en excusera pas ; un jour, si ce gamin s’accroche, il pourra devenir redoutable. Mais pas encore et même si son mentor ne le lâchera pas, il est tristement substituable. Les huit cent livres qu’il a dans la poche ne lui appartiennent pas. C’est de l’argent qu’il doit quelque part, ou à quelqu’un. Une somme qui ne paiera même pas les intérêts qu’il doit. Alors non, il n’est pas vraiment désolé. Compatissant, tout au plus. C’est la loi du plus fort.



kaeh a écrit:
A tes méchantes blessures. vous pouvez aussi m'appeler Tiphaine. Globalement, je passe ma vie entre la recherche et les feels, et j'ai une sale manie à avoir des personnages vulgaires. Merde.
kezako, ton perso. un incroyable pré-lien de  @"Rex Eden"  

Code:
[b]silas paddo [/b] : garagiste
[size=10][u]25[/u][i] silas paddo[/i] [b]appartement.[/b][/size]

crédit icons kaotika.
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Hyacinthe Sterling
you wouldn't be the first renegade
to need somebody
Hyacinthe Sterling
∴ Pseudo : balzolaire (nastasia).
∴ Faceclaim : jelle haen.
∴ Merci à : themooninmourning (av), kawaiinekoj (ic).
∴ Dédoublement(s) : marlowe, l'empereur médiatique, ange, le saint des saints & alix, l'enfant des limbes et des pavés.
∴ Âge : dix-neuf ans. la chimère ténébreuse de l'éternité qui l'égare sans pitié. l'épithète de "gamin" qui le sied si bien, qui décrit si joliment ses fureurs candides.
∴ Mood : trying not to blown my brains out ○ paddo 1576a810
∴ Pronom inrp : il/lui, he/him.
∴ Occupation : étudiant au conservatoire ; pianiste auréolé de débauche et de décadence, chemin choisi par dépit plus que par passion. membre d'un groupuscule révolutionnaire à ses heures perdues.
∴ Statut : le palpitant abandonné aux mains de l'asmodée moderne. les yeux incandescents d'une ombre brisée dans lesquels il plonge, se noie ; la gorge encombrée d'une vénération ignorée.
∴ Géolocalisation : au casino, très certainement, l'âme ankylosée par la liqueur, l'argent vomi et régurgité une centaine de fois déjà.
∴ Vice : trouble de la personnalité borderline ; addictions (jeu, alcool)
∴ Free land :
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trying not to blown my brains out ○ paddo Tumblr_picxxhxyKS1tk2oito8_400 trying not to blown my brains out ○ paddo Tumblr_pmy2a3DP751x1l0y5o1_100
YOU GAVE ME PEACE
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∴ Triggers, refuse de jouer : violence animale.
∴ Triggers Warnings : troubles de la personnalité, dépendance (jeu & alcoolisme), childhood trauma, relations toxiques, terrorisme et idéologies radicales.
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∴Arrivé le : 16/02/2021
MessageSujet: Re: trying not to blown my brains out ○ paddo trying not to blown my brains out ○ paddo EmptyMar 16 Fév - 19:24

je n'avais pas eu l'occasion de te souhaiter officiellement la bienvenue sur l'ancienne version mais J'EN PROFITE pour te faire savoir que je stalk furieusement ton personnage depuis l'ombre, genre??? il est incroyable. trying not to blown my brains out ○ paddo 2990452 vraiment trop contente que tu nous suives, j'veux toujours plus de silas DONC, rebienvenue à la maison bg, je t'ajoute ta couleur de suite. trying not to blown my brains out ○ paddo 3071941504 trying not to blown my brains out ○ paddo 2453064100
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MessageSujet: Re: trying not to blown my brains out ○ paddo trying not to blown my brains out ○ paddo EmptyMer 17 Fév - 10:02

oopsie. trying not to blown my brains out ○ paddo 2888582825 trying not to blown my brains out ○ paddo 3289265105
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