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de profundis


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des personnages.
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MessageSujet: de profundis de profundis EmptyMar 16 Fév - 18:43


Wolfgang Rosén

ses yeux gris avaient des lueurs métalliques et des reflets d’acier qui fulguraient vers la foule. ☾

nom prénoms. Rosén. Wolfgang, Lars. âge, origine. 33 ans, origines allemandes, norvégiennes, suédoises, danoises, anglaises. métier. Professeur d'histoire à l'université. Il a toujours aimé enseigner et, bien que de nature introvertie, partager quelque chose avec son public est un moment qu'il chérit et pour lequel il a dédié sa profession. situation sociale et financière. Marié depuis ce qui lui semble être une éternité, mais cette union n'a plus autant de passion qu'auparavant. Côté finance, c'est suffisamment stable pour payer les factures, pas assez prolifique pour se permettre des folies. Cependant, le professeur paye volontiers le café à ses congénères. orientation sexuelle. Capable de tomber amoureux de n'importe quel être humain, indépendamment des critères sociaux. Sexuellement, monsieur a couché avec des femmes, et son anatomie répond volontiers à des avances masculines. Tout comme ses fantasmes peuvent abriter le parfum des Adam. Pour autant, personne n'a jamais été assez loin avec lui pour qu'il puisse avoir la possibilité de dire qu'il a été le partenaire d'un homme. groupe. Bitter Sweet Symphony.

☾ eye contact.

tics, manies, caractère. ☾
Trop dévoué, manipulable. C'est toi qui sers le café aux autres, toi qui proposes de raccompagner en voiture, toi qui tiens la porte battante jusqu'à ce que le dernier clampin soit passé.  Tu es quelqu'un d'impliqué, toujours fidèle au poste, certains diront acharné. Ou inconscient. Tu portes les mêmes costumes, cherches toujours un miroir devant lequel peigner ta chevelure coupée au millimètre près, et tu aimes que tes affaires soient en ordre. Ces choses coordonnées te rassurent dans ce monde où tout est incertain. Un indice que tu deviens trop happé par des occupations diverses c'est quand le cuir de tes chaussures ternit, parce que tu ne t'en occupes plus autant qu'avant. Tu aimes renvoyer une image propre et soignée, entretenir des rapports positifs avec tes collègues. Loin d'être hypocrite, il t'arrive pourtant parfois de tenir des propos tranchants, surtout quand on t'empêche d'accéder à ton objectif. D'ordinaire rêveur, une passion peut te transformer en monstre. Le temps qui a passé a endormi ta fougue mais tu retrouves ta verve d'antan quand viennent les émois. Trop sensible à toute forme de chose, tu bois l'art et parviens à illustrer une forme d'esthétique dans n'importe quoi. La manifestation de ton amour se traduit par une douceur parfois brutale, déterminée et aveugle. Tu es le guerrier qu'on envoie sur le champ de bataille en sachant déjà que tu ne survivras pas, et même dans la mort tu y vois une forme de beauté. Ton regard se perd partout, observe et décortique, te fait voir des choses qui n'existent que dans ton imaginaire en besoin de stimulus. On t'a déjà dit d'écrire des histoires, mais la peur de cette faune sauvage et bestiale que tu abrites en ton sein te terrifie. Chaque os de ta cage thoracique tremble, secoué par les soubresauts de ce monde pharaonique que tu protèges au fond de toi. Un monde que tu aimes et qui te dévore, que tu assassines chaque jour pour en ressusciter les vestiges le lendemain. Tu vénères facilement, et tu ne te crois pas méritant d'occuper la première place. Peut-être que tu combles ton manque de confiance par ta tendance à idolâtrer, à idéaliser. Tu n'es pas fourbe, ni animé de mauvaises intentions : seulement dépendant.

histoire. ☾
Papa et maman étaient les clous plantés dans le cercueil qui allait se refermer sur l'épisode de ta vie. La pression que tu ressentais perpétuellement venait d'eux. Il fallait que tout soit parfait, que tu sois impeccable, prêt pour saisir n'importe quelle occasion. Ils n'ont pas eu la chance de bénéficier d'un métier extraordinaire, eux, alors il fallait que leur fils unique soit à la hauteur. On t'achetait des vêtements de haute couture alors que tes parents n'en avaient pas les moyens, et s'ils le faisaient, c'était pour que tu aies l'air. Avoir l'air. Le paraître. Tout cela était bien trop important pour te laisser apparaître en public avec des guenilles. Cette habitude à favoriser le luxe, le beau, l'onéreux et le pompeux t'est resté. Le paraître, toujours. Un enseignement strict que tu respectes à la lettre, même des années après avoir coupé le cordon ombilical avec ta famille. Tu préfères te savoir loin d'elle. Ton évolution s'est toujours faite seule, marginalisée. On ne te rejetait pas spécialement, c'était juste l'ordre des choses. Tu marchais certainement dans les empreintes d'un autre, mais tu ne savais pas qui. La pression demeurait, écrasait tes rêves avec force et fermeté, mais tu ne lâchais rien. Ton monde était à toi, il t'appartenait et jamais personne ne serait en mesure de te le prendre. C'était tapi là en toi, au plus profond de toi, où personne ne pouvait te le voler. Il aurait fallu pour ça t'ouvrir les chairs, laisser couler une marée écarlate, ce formidable bouquet de sang, et puis t'abandonner sur la terre qui aurait fini par avoir pitié de toi et t'aurait avalé pour digérer ta dépouille dans les gorges de ses sédiments. Une belle fin. Mieux que le cercueil, mieux que les clous. Ton imaginaire t'a toujours fait du bien, tu y fuyais tes responsabilités. Et puis tu as choisi le parcours de vie que tu allais suivre jusqu'à ce jour où la terre te reprendrait. On t'a confié un poste d'enseignant à l'université, là où tu allais pouvoir voir défiler un milliard de visages, un milliard de prénoms. Et là où tu allais pouvoir recracher l'histoire de l'être humain, de son commencement en tant que particule dépourvue de pattes, jusqu'à sa fin sous la croix de pierre. Tu sais que la mort purifie, qu'elle donne le salut, la repentance. Dieu est une forme abstraite pour toi, mais tu crois en l'essence du renouvellement, du beau, de la pureté après le crime. Tu rêves de cet instant où tu rendras ton dernier souffle, quelqu'un s'occupera de jeter la terre sur toi pour couvrir jusqu'au dernier pan de peau, et enfin tu pourras t'élever, sortir de ta carcasse sale et souillée, qui s'est déjà perdue tant de fois dans des plaisirs ignobles, mais tu assumes.

Aujourd'hui, ta femme te lasse. Tu ne lui fais plus autant l'amour qu'avant. Elle pense que ton travail te prend tout ton temps, que tu as d'autres choses à faire. Pourtant elle cherche à entretenir encore ce qui vous fait mari et femme, et ce soir elle te prépare un repas qu'elle sait que tu adores : tes lasagnes préférées. Vous les engloutissez devant un épisode d'une série débile à la télé. Derrière ce moment anodin, ton épouse attend le dernier tintement des couverts sur la céramique pour aborder le sujet fatidique avec toi. Elle ne te prend jamais de front, toujours elle s'annonce d'abord, puis attend. Elle est patiente ta bien-aimée, elle a attendu tellement de temps que tu poses le genou à terre pour ouvrir la boîte de pandore. Une alliance que vous partagez autour du doigt et que tu ne regardes plus depuis longtemps. L'assiette vide et repoussée, tu t'occupes de débarrasser, plongeant la vaisselle dans l'eau bouillante, couverte d'une épaisse couche de mousse. C'est cet instant précis que ta moitié choisit pour t'interpeller, l'expression d'une enfant perdue sur le visage. Elle s'inquiète et se demande si sa beauté a tant flétrie que ça. Elle se dit elle-même désolée d'avoir perdu son éclat d'antan, le corps n'est plus ce qu'il est. Elle essaye, pourtant, de se rabibocher, de se donner l'air plus jeune, de sortir l'argent pour s'acheter la jeunesse à appliquer sur le visage. Sous cet aveu, tes yeux bleus se lèvent vers elle. Torchon sur l'épaule, tu entends, et, machinalement, tu passes tes bras autour de sa taille, la rassurant en lui murmurant à l'oreille que non, ce n'est pas ça, tu es magnifique. Et pourtant ce sont d'autres choses qui font se dresser ton sexe lorsqu'il s'agit d'unifier les chairs dans une danse effrénée au creux des draps. Dans le dédale de tes songes, derrière tes paupières fermées, se dessine un visage auquel tu accordes une attention toute particulière depuis la rentrée de cette année. Elle et sa chevelure longue, trop longue, comme un rideau qui t'empêcherait systématiquement de percevoir le regard de biche qui s'annonce derrière. Tu l'imagines fragile et sensible. Seule, comme toi tu peux l'être. Perdue dans la masse grouillante, des anonymes qui se retrouvent. Aussi étrange que cela puisse paraître, ce besoin factice que ton imaginaire fait naître chez cette étudiante dont tu ne connais pas le nom a fini par t'éveiller une forme d'empathie, et plus encore : un instinct presque maternel. Des battements de cœur ininterrompus et ensorcelés dès les premières minutes, celles où tu sais que tu vas la voir passer les portes de l'amphithéâtre. Assise vers les premières rangées, toujours à une extrémité des bancs, cachée derrière son armure capillaire et lavée par un shampoing dont tu as imaginé le parfum bien des fois. Quelques fois, ton étudiante lève la main pour poser une question. Et toujours, quelque chose en toi se produit, inévitable et brûlant. Sa façon de se confondre dans un sourire gêné après chaque réponse. Ses décolletés dans lesquels tu te perdais honteusement, des envies de décrire ses courbes divines, d'imaginer sa chaleur près de toi, la douceur de sa peau diaphane entre tes mains. Ses soupirs glissants sur ton derme, un battement de cils qui t'encourage, ses yeux de biche, ses cuisses serrées autour de ton entrejambe, et…

Oh.

Du mouvement te fait péniblement ouvrir les yeux. Ta carne en sueur, le front trempé, muscles tendus, le corps bouillant. Une image se dessine sous toi, floue. C'est ta femme que tu viens d'entendre jouir sous tes assauts. Elle t'accueille à bras ouverts, une liesse manifeste sur le visage, un sourire grand qui félicite ta performance. Puis elle t'amène contre elle, cherche ta chaleur, épouse les formes de ton corps, t'enlève pour une nuit. Abasourdi, une multitude de papillons multicolores dans la tête, tes cellules qui vibrent encore sous la canicule, tu laisses ton enveloppe s'abattre dans l'étreinte des draps, ta respiration encore saccadée, alors que tes pensées repartent vagabonder auprès d'une autre qui occupe tes désirs les plus secrets.

un tapis de bain a écrit:
À tes méchantes blessures. c'est re moi
kezako, ton perso. Un inventé
Code:
[b]wolfgang rosén [/b] : prof d'histoire à l'université d'exwick
[size=10][u]73[/u][i] wolfgang rosén[/i] [b]appartement[/b][/size]
crédit icons vocivus.

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MessageSujet: Re: de profundis de profundis EmptyMar 16 Fév - 18:56

bonsoir vous de profundis 1633775857
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MessageSujet: Re: de profundis de profundis EmptyMar 16 Fév - 19:25

Oui qui est à l'appareil
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Hyacinthe Sterling
you wouldn't be the first renegade
to need somebody
Hyacinthe Sterling
∴ Pseudo : balzolaire (nastasia).
∴ Faceclaim : jelle haen.
∴ Merci à : themooninmourning (av), kawaiinekoj (ic).
∴ Dédoublement(s) : marlowe, l'empereur médiatique, ange, le saint des saints & alix, l'enfant des limbes et des pavés.
∴ Âge : dix-neuf ans. la chimère ténébreuse de l'éternité qui l'égare sans pitié. l'épithète de "gamin" qui le sied si bien, qui décrit si joliment ses fureurs candides.
∴ Mood : de profundis 1576a810
∴ Pronom inrp : il/lui, he/him.
∴ Occupation : étudiant au conservatoire ; pianiste auréolé de débauche et de décadence, chemin choisi par dépit plus que par passion. membre d'un groupuscule révolutionnaire à ses heures perdues.
∴ Statut : le palpitant abandonné aux mains de l'asmodée moderne. les yeux incandescents d'une ombre brisée dans lesquels il plonge, se noie ; la gorge encombrée d'une vénération ignorée.
∴ Géolocalisation : au casino, très certainement, l'âme ankylosée par la liqueur, l'argent vomi et régurgité une centaine de fois déjà.
∴ Vice : trouble de la personnalité borderline ; addictions (jeu, alcool)
∴ Free land :
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YOU GAVE ME PEACE
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MessageSujet: Re: de profundis de profundis EmptyMar 16 Fév - 19:36

(toujours pas sous le compte de marlowe mais de profundis 1037618287) ravi de voir que l'énergumène qui fantasme sur ma fille est de retour. de profundis 1633775857
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