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we can be heroes, just for one day [Gali]


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: we can be heroes, just for one day [Gali] we can be heroes, just for one day [Gali] EmptyVen 26 Fév - 16:10

C’est l’âme noircie par l’obscurité qu’elle franchit le club, découvrant pour la première fois l’univers dont Gali lui a dépeint les contours ainsi que les couleurs. Son regard sombre décortique le détail en passant par les coutures des fauteuils de cuir, des verres au cristal fin, comme de l’atmosphère tamisée qui règne en ces lieux. Elle évolue dans un inconnu qui n’en est pas vraiment un, ayant été l’auditrice attentive de cet univers dépeint par l’italien durant ce temps qu’ils ont partagé lorsqu’ils étaient à New York.
« Ainsi, c’est donc ça le Pandemonium… » Le dernier mot est prononcé avec un mépris faisant vibrer son accent slave. Le nez retroussé et la mine dédaigneuse, Circé observe ce monde alentour, peuplant les lieux d’une effervescence que la scène offre. Le regard qui aguiche, la danse qui est charnelle, la danseuse se donne, offrant le meilleur d’elle-même dans un spectacle que la russe dévisage avec cette condescendance dont elle se dote en permanence.
Détester l’humanité entière est un exercice dans lequel Circé excelle, se laissant placer par une bonniche, probablement une employée que ce crétin a dû se taper, qu’elle songe avec un petit sourire en coin, la dévisageant d’un air se voulant bestial. Qui surprend autant qu’il peut gêner. De toute manière, s’il s’agit de devenir gênante, la russe ne se gênera jamais pour l’être. L’exercice lui plait, n’ayant jamais peur d’attirer le regard, d’œuvrer de façon à ce que les projecteurs soient sur elle permettant de la faire briller quand elle sait que derrière son joli minois, tout n’est que laideur.
Elle se commande très vite une coupe de champagne, pose quelques questions sur le fonctionnement du club auquel la mouche prisonnière de l’araignée russe se débat pour s’en sortir. Gali lui a souvent donné des détails sur les règles non pas comme un idiot heureux d’avoir une oreille attentive, mais bien parce qu’elle a toujours voulu savoir, Circé et que Gali avait une manière bien à lui d’étaler le triomphe d’une vie. Comment réussir et s’en vanter avec l’élégance dont il a su la rendre captive, les yeux brillants. L’écouter à n’en plus pouvoir. Elle a toujours souhaité en apprendre sur l’italien, s’imprégner de son essence jusqu’à la moelle. Le dévorer tout en entier. Etre sienne autant qu’il était sien, d’une certaine façon.

Mais aujourd’hui, elle sait que ces retrouvailles seront différentes. Qu’il y a ce parfum de liberté qui règne. Libre des chaînes qui l’entravait mais toujours prisonnière de l’italien dont elle ne s’est jamais défait. Elle se dit indépendante mais elle est là pour lui. Pour jouer au chat et à la souris, perpétuant le jeu malsain qu’ils ont commencé. Parce que Circé, elle, en redemande encore, assumant qu’elle a, surtout, été sauvée par Gali. Qu’elle lui doit tout.
Quand le verre de champagne arrive, elle remercie discrètement, puis croise ses jambes nues offertes à la vue de celui qui n’est pas insensible. « Pouvez-vous dire à Monsieur Velcoro que Mademoiselle Lannister lui passe le bonjour… » Sa voix est de miel, son regard de velours, maîtrisant l’art de subjuguer et endormir plus nigaud qu’elle. Circé n’est pas venu pour se délecter l’œil du spectacle langoureux mais pour continuer cette partie qu’elle a cru être finie quand finalement, elle réalise que tout a été mis sur pause.
Alors, elle attend Gali en sachant que s’il ne vient pas, ce sera une partie de gagnée sur la bataille menée mais surtout, qu’elle redoublera d’effort pour le retrouver dans son bureau. Feindre le passage aux toilettes et puis, évoluer dans un milieu inconnu… C’est un jeu d’enfant. Un art qu’elle maîtrise pour s’en sortir sans rien et en laissant croire qu’elle a tout. Enfin, pas complètement tout.
Il lui reste une dernière chose pour se sentir complète : capturer le cœur de Gali entre ses mains et le briser définitivement parce que ce jeu a commencé ainsi. Entre les doigts expertes de l’italien, elle n’a a été qu’un pantin. Et en ça, elle veut le retrouver comme cette psychopathe qu’elle sait être.
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MessageSujet: Re: we can be heroes, just for one day [Gali] we can be heroes, just for one day [Gali] EmptyLun 1 Mar - 20:28

we can be heroes, just for one day
circé et gali ;

Lannister.
Son nom claque dans le bureau, echo des lèvres de sa secrétaire. Velcoro redresse la tête, son regard froid se pose sur la pauvre malheureuse qui ne sait pas la bombe qu'elle vient de balancer. Gali pense d'abord avoir mal entendu avant de se redresser.
Sortez. Sa voix n'est pas agressive, elle est toujours si calme, lui sans cesse dans le contrôle de tout, impressionné de rien. L'homme passe une main dans ses cheveux et son regard analyse son bureau, vide.
Circé est là. Cela ne peut pas être une erreur, il le sait car Gali a toujours eu conscience que cette créature ne cesserait jamais de le hanter.
En dépensant une somme folle pour elle, Velcoro avait ouvert une brèche qui relierait à jamais leurs âmes.
Ses poings se serrent tandis qu'il hésite à le balancer dans un de ces bibelots ornant son bureau seulement pour le plaisir de se dégager d'une part de sa colère. Pourtant, le maître des lieux ne le fait pas, besoin excessif de contrôle et de dignité, même lorsque personne n'est là pour le voir et l'entendre.
Gali marque une pause devant son miroir, remet en place sa cravate, ôte ses lunettes et les pose sur son bureau avant de le quitter.
Il aurait pu ne pas répondre à son invitation mais son besoin de la voir est viscéral. Velcoro doit la voir pour comprendre qu'il n'est pas en train d'halluciner. C'est une nécessité à laquelle l'Italien se raccroche. Son regard voilé de mille rancœurs, les sourires tombent lorsque celui-ci s'avance entre les murs du Pandemonium sans accorder un regard ou une réponse à qui l'approche. Sa secrétaire se heurte à un regard méprisant en tentant vainement de lui adresser une nouvelle parole. Même Dolores ne saurait pas le dévier de sa trajectoire.

Puis il la voit. Assise au bar. Dans toute sa beauté détestable. Il remarque en un instant le miel qu'elle utilise pour mieux les empoisonner. La douceur de ses yeux n'est en réalité qu'une fissure sur l'enfer qu'elle a traversé et qui lui colle à la peau. Circé n'a rien de beau, si ce n'est cette enveloppe que Gali avait chéri, aimé, embrassé, fantasmé durant de longs mois avant de lui offrir une importance qu'elle ne méritait pas.
Ce n'était qu'un caprice, vouloir la fiancer, lui faire croire qu'elle et lui s'aimeraient à jamais alors que seule la noirceur les reliait.
Velcoro l'avait détruite, grignoté jusqu'à l'os, sans même se soucier d'elle, sans penser à ce qu'elle avait déjà vécu. Il n'en avait rien à faire tant qu'elle continuait d'incarner cet être de fantasmes. Car Circé n'était rien d'autre que cela : du désir, de l'obsession élevée à un tel niveau qu'elle en devenait malsaine et destructrice. Lui n'avait souffert de rien durant ces longs mois, seul son départ avait manqué de le détruire comme un gamin capricieux chiale de ne plus trouver son jouet préféré.

Circé. Il remarque le champagne, le pointe d'un signe de menton tout en plantant ses mains dans ses poches. Gali ne s'assoit pas. Je ne pense pas que ce soit dans tes moyens. Lui rappeler qu'elle n'est rien, qu'elle ne dépendait que de son fric quand il l'enfermait dans cet appartement New-Yorkais avec vue sur central park pour lui donner l'illusion que sa situation n'était pas si merdique. Au fond, elle ne restait qu'une pute qu'il venait voir lorsqu'il en ressentait le besoin. Une pute qu'il traitait comme une princesse pour ajouter du charme à ses méfaits. Tu te trompes d'adresse, le Pandemonium est un club, pas un bordel. Gali redresse la main, claque des doigts afin que sa secrétaire les approche. Le regard qu'il pose sur Circé n'a plus rien de ceux qu'il lui offrait lorsqu'elle était encore sienne. Maintenant que Lannister n'est plus l'animal qu'il doit nourrir et entretenir pour ne pas qu'elle crève, Velcoro ne parvient plus à lui accorder la moindre importance. Ce qui le stimulait était le pouvoir qu'il avait sur elle. Tu n'as qu'à demander à ma secrétaire, elle te fera passer l'adresse des Irlandais à quelques rues d'ici. Des hommes charmants, tu verras. Enfin, je ne t'apprends rien. Gali soupire, exaspéré, et recule de quelques pas tout en ordonnant au barman de ne plus la servir. Hors de question que cette maison lui paie quoi que ce soit. S'il pouvait, il lui ferait vomir le champagne qu'elle a déjà ingurgité mais maintenir les apparences lui semble être l'état d'urgence.
Circé est de retour. Et le monde s'embrase.

BY CΔLΙGULΔ ☾


@Circé Lannister we can be heroes, just for one day [Gali] 2453064100
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MessageSujet: Re: we can be heroes, just for one day [Gali] we can be heroes, just for one day [Gali] EmptyMar 16 Mar - 17:13

Circé.  
Elle ne peut retenir le frisson qui parcourt son échine lorsqu’il lui fait face, qu’il prononce son prénom, murmuré tant de fois au creux de son oreille. Si auparavant, il a su déclencher les envies les plus merveilleuses, aujourd’hui, le sentiment s’est atténué parce cette liberté d’agir qu’elle possède désormais.  C’est incontrôlable ce qu’elle peut ressentir. C’est insensé ce « toujours » qui résonne dans son cœur et dans sa tête, comme si elle était incapable de raisonner autrement que de se sentir faible à ce simple « Circé » qui franchit les lippes de Gali.  
Elle reconnaît qu’il lui a manqué, que si elle s’écoutait, Circé se jetterait à son cou pour redevenir sienne en sachant que le retour en arrière est compromis.  
Et pourtant elle est là. Elle a pris ce billet d’avion quittant enfin les États-Unis l’ayant retenue captive.  
En venant ici, entre ces murs luxueux, elle s’attend pertinemment un accueil peu chaleureux. Elle le sait. Elle le ressent en sondant les prunelles d’acier de l’italien. Elle arrive presque à ressentir cette tension qui émane de l’homme, l’ayant connu par cœur. Dans sa tête. Dans son corps, à savoir précisément le contour de ses traits tel le peintre aveugle qui serait capable de reconstruire son œuvre sans aucune aide.  
« Gali… » Un fin sourire apparaît sur ses lèvres. Elle est satisfaite qu’il soit venu à elle. Bien sûr, s’il avait eu le culot de lui envoyer quelqu’un, Circé ne se serait pas gênée pour venir à lui. Le voir pour mieux le détruire encore et encore, tout en espérant du mieux.  
Bien entendu, les mots qui sont prononcés par l’italien ne sont pas plaisants à entendre. Elle ne se sent pas atteinte, le laisse la rabaisser à ce qu’elle est, à ce qu’il pense être juste. Il n’a pas tort mais encore faut-il qu’elle le reconnaisse.  
Circé se contente de pouffer de rire, gracieusement, avec cette féminité sensuelle dont elle se sait capable, le genre de rire qui gausse la virilité de ces hommes blasés, celle qui attire et offre un toit, une carte bancaire et bien plus.  
« Qui sait ? Peut-être que je les ai les moyens maintenant ? Tu vérifies les relevés de banque de tes clients ? » Lui dit-elle d’une voix joueuse, se sentant nullement offensée de s’être vue proposer l’adresse des irlandais ou d’un bordel, Circé ne retient que ce qui l’arrange. En l’occurrence, en voyant l’italien reculer, elle craint surtout qu’il la plante là, sans lui laisser d’autre crédit que le silence et l’abandon, lui renvoyant ainsi la balle de cette partie qu’elle a commencé.  
« Ma compagnie t’est bien trop insupportable pour ne partager, ne serait-ce, qu’un verre avec moi ? » Elle porte la coupe à ses lèvres, veillant à ne pas tout avaler d’un coup en sachant qu’elle ne pourra plus en commander d’autre. « Juste un verre… Et promis, après, j’irais chez les irlandais. Je suis sure qu’ils vont m’adorer.. » Son regard est aussi brillant que sa faculté de comprendre Gali et son besoin de tout contrôler. Elle s’imagine qu’il lui est, sans doute, difficile de s’imaginer son jouet favori se trouver entre les mains d’autres, ce qui n’est pas un problème pour la Russe. Il y a longtemps que son âme s’est vu condamner aux Enfers perpétuels. Il y a longtemps qu’elle a appris à vivre en étant la chose des autres. Et dernièrement, la chose de Gali.  
« Puis c’est joli ici. » Elle lève son nez un peu en l’air, regarde autour d’elle avant de replonger son regard sombre vers Gali. Si elle sourit, l’éclat noir de ses pupilles renvoient tout ce que Circé : une chose morte qui n’éprouve comme sentiment que le vice et la perversion. Malsaine jusqu’à bout. « C’est tout à fait toi d’ailleurs. L’élégance à l’extérieure et à l’intérieur… » Le vice. Le noir. Le voyeurisme et le sourire enjôleur de la russe peu prête à quitter les lieux. Et l’italien.  
@Gali Velcoro we can be heroes, just for one day [Gali] 3522758632
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MessageSujet: Re: we can be heroes, just for one day [Gali] we can be heroes, just for one day [Gali] EmptyDim 21 Mar - 0:03

we can be heroes, just for one day
circé et gali ;

Circé était autrefois son paradis. Un empire de contrôle où rien n'était laissé au hasard. Gali maîtrisait tout d'elle, jusqu'à l'art de la voir sourire, s'apprêter à  la hâte, lorsqu'il lui disait qu'il allait la sortir comme on promène le chien de famille qui se lasse.
Gardienne de ses vices et de ses douleurs, elle avait pansé les plaies qu'aucune autre n'avait un jour su trouver. Elle avait eu le pire rôle, celui d'embrasser ses fêlures. Il ne l'avait pas laissé respirer, pas une seconde, durant ces longs mois passés en amérique. Dans ce minuscule appartement où il la couvrait d'or et de mille richesses, Circé n'était finalement rien de plus qu'une possession. Un objet de valeur, capable de parler, de l'aimer, de l'aduler sans prendre une seule décision rationnelle. Et c'est ce qu'il aimait le plus chez elle, sa capacité à endurer sans jamais broncher. Elle était un trou sans fond, déjà vide, qu'il n'aurait jamais pu épuiser puisqu'elle s'était déjà effacée dans cette réalité.
Excès de bêtise, Velcoro avait accepté de lui rendre sa liberté au risque de la perdre.
Cela n'avait pas manqué. Et finalement, la voilà.
Circé devenue son enfer. Celle qu'il avait possédé dans les moindres détails aujourd'hui libre de toutes entraves. Gali ne peut pas nier que cela l'agace et l'écœure. Elle le connaît à présent trop  bien pour pouvoir se cacher sous des masques alors qu'elle y voit à travers.
Elle est une création qu'il déteste. Qu'elle se soit éloignée ne change rien à ce qu'elle a un jour représenté pour ses démons.
Lannister ne renferme pas l'enfer mais son enfer. Quand il la regarde dans les yeux, c'est son deuil mal digéré qu'il aperçoit mais aussi leurs longues heures à ne pas s'aimer mais faire comme si tel était le cas. Un mélange savant d'obsession et de passions charnelles. Même son rire l'est, érotique. Tout chez elle est une construction faite par les hommes, une image surjouée de ce que doit être la femme.  Pas l'épouse mais l'amante, la catin que l'on laisse au bord de la route après avoir pris son pied. Un fantasme, fait pièce par pièce, qu'il avait participé à façonner.

Elle ne se démonte pas. Pourquoi le devrait-elle ? Elle, reine des ombres, insensible au monde extérieur, trop longtemps laissé dans l'obscurité pour espérer un jour retrouver chez elle un semblant d'humanité.
Le creux de ses reins est l'endroit le plus chaud et réconfortant que Gali n'ai jamais connu. Quand il la regarde, c'est aux courbes de son corps qu'il pense, à cette habitue qu'ils avaient de se retrouver dans la chaleur des draps sans se demander de compte.
Elle avait joué son rôle avec une telle finesse que son jeu d'actrice continue à présent entre les murs du Pandemonium.
Tout en élégance comme tu l'as dit. Une raison de plus qui prouve que tu n'as rien à faire ici. Il est brutal, excessif dans sa rancune. Mais ici, entre les murs de son club, Velcoro est la version la plus cruelle de lui-même. Chaque employé, jusqu'à son assistante, n'existent que pour répondre aux besoins de ses caprices. Même lorsqu'il montre le pire, sans filtre ni honte, Gali reste le maître ; un roi déviant aux facettes sombres et mauvaises.
Tandis qu'il s'apprêtait à partir et retourner dans son bureau, Velcoro lui accorde un regard d'une intensité absolue.
Ta présence ne m'est pas insupportable. Elle m'indiffère. S'il avait pensé bon nombre de fois ruiner sa vie pour elle et mettre à mort n'importe qui oserait la contrarier, aujourd'hui il n'en est plus rien. En partant, Circé n'a pas fait que renoncer à l'enfer mais a aussi laissé derrière elle des privilèges pour lesquels il lui faudra se saigner pour cultiver l'espoir de les retrouver.
Il est cruel dans sa rancune, lui fait l'offense de ne plus la regarder lorsque sa secrétaire revient dans son ombre. Velcoro se concentre sur les paroles de la jeune femme tout en retournant d'un pas tranquille vers son bureau.
Ses larges épaules tiennent tant bien que mal toute la colère qui le tourmente.
Gali ne lui en veut pas, ce serait si simple. Il la méprise d'avoir été un manque dans sa vie et lui en fait payer le prix le plus fort.
BY CΔLΙGULΔ ☾


@Circé Lannister we can be heroes, just for one day [Gali] 2453064100 we can be heroes, just for one day [Gali] 3015760434 we can be heroes, just for one day [Gali] 3015760434 we can be heroes, just for one day [Gali] 3015760434
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