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| Sujet: make believe ☾ delilah Jeu 18 Fév - 23:00 | |
| delilah ziegfeld.
save me from the monsters in my head ☾
nom prénom(s). La petite Delilah, elle est née sous le patronyme Courtenay. Mais depuis ses dix-neuf ans, c'est son nom marital dont elle est affublée, c'est une Ziegfeld, pour le meilleur et pour le pire. Ou simplement pour le pire ? âge, origine. Il y a de cela trente-huit ans qu'elle déambule dans cette vie désastreuse. La rose anglaise se fane jour après jour, elle flétri entre les mains de son tyran. occupations, métier. Si il lui est impossible de trouver une once d'amour dans le regard de son mari, elle a espéré s'épanouir sous la clameur de spectateurs. Actrice, elle n'a toujours pas trouvé ce qu'elle cherche. situation sociale et financière. $$$$$$$. L'argent n'a jamais été un problème, puisque c'est avec une cuillère faite avec ce métal qu'elle est née. Son métier d'actrice a pris le devant sur son statut d'héritière, gagnant ses propres deniers. Pourtant aux yeux du monde, elle a plusieurs titres. Héritière du 19éme comte de Devon. Actrice populaire et au sourire affable. Epouse parfaite - ou presque - de Marlowe Ziegfeld et mère d'une adolescente. Et pourtant aucune ne résume la tempête qui résonne à l'intérieur. orientation sexuelle. Est-ce que cela a vraiment une importance quelconque ? Question sans réponse. Peut-être est-elle hétérosexuelle, c'est ce qu'elle se dit. Parce qu'elle le désire, lui. groupe. loosing my religion.
☾ eye contact. tics, manies, caractère. ☾ Scars they heal in time The raw wounds on my mind They aren't so easily fixed You can't mend what isn't broken Kind words are rarely spoken In time I will learn this But I grow older And the nights grow shorter Drowning as I sink or swim (dépendance affective) Lorsque que l'on voit le jour au sein d'une famille prestigieuse, il y a des attentes à combler. Alors, elle a œuvré pendant toute son enfance, Delilah. Pour rentrer dans le moule que l'on avait forgé pour elle et le reste de la fratrie. Ne serait-ce que pour obtenir un regard ou un sourire de la part de ses géniteurs. Mais, ces derniers étaient bien trop occupé pour prendre part à des discussions ennuyeuses autour d'une table entourée de poupées inanimées. Les Courtenay aimaient leur progéniture, tant qu'elle n'était pas trop bruyante. Elle a fini par se découvrir une âme d'artiste lors de sa scolarité. Telle une fleur qui éclot, elle s'est ouverte sur le monde. Avec cette envie de se dédoubler et d'émerveiller les autres à l'aide d'une palette d'émotions traversant ses traits angéliques. Une représentation de théâtre, des gerbes de fleurs à ses pieds, c'est tout ce qu'il a fallu pour qu'elle ne commence à développer ce besoin d'être présente sur les lèvres des autres. Peut-être un manque à combler, une sensation d'appartenance absente, un amour non prouvé. Peut-être que cela l'a mené à sa perte, la petite. Peut-être que la recherche du Saint Graal n'a fait que précipité le chaos sur sa personne. Ce manque de recul sur sa valeur, sur sa capacité à exister ailleurs que dans les prunelles admiratives des autres, il a signé la vente de son âme à Satan, lui-même. (coping mechanism) Si elle a des yeux de biche, il y a bien plus à voir derrière la surface. Un océan en pleine tempête qui gronde et qui n'arrive pas à être museler. Tout ce qu'elle contient, c'est pour ne pas exploser. Mécanisme de défense pour supporter l'adversité. Si elle a tout encaisser sans broncher au début de son mariage, elle a fini par glisser peu à peu dans les illusions factices. Elle reste une lady, alors toute la dépravation dont elle peut faire preuve, elle se dévoile derrière des portes closes. Indifférence de Marlowe et conquête nouvelle, alcool. Nouvel avortement, anti-douleurs et anxiolytiques. Substances chimiques pour amoindrir les désillusions, mais sans jamais sacrifier son corps. Déjà trop amoché par les gestes durs de son époux. Cependant, elle garde toujours la face, la Ziegfeld. Parce que personne ne doit entrevoir l'étendue de ses faiblesses. Dévoiler ses faiblesses serait fournir des armes supplémentaires à ses ennemis. (stockholm syndrom) Les femmes victimes de violence conjugales ont toujours le droit aux refrains tels que "Pourquoi tu ne l'as pas quitté dés le premier coup ?" ou encore "Il fallait en parler" ou encore "Tu es sûre que n'as pas mal interpréter ?". Il est si facile de juger une situation d'un point de vue externe. Parce que la belle actrice, elle subit jour après jour, les brimades de l'animal qui lui sert de conjoint. Il annihile la vie qui s'échappe d'entre ses lèvres aussi bien que celle qu'il fait naître au creux de ses entrailles. Elle rêverait de lui rendre au centuple. D'appuyer un oreiller contre son visage pour qu'il s'étouffe dans ses mots injustes. De mutiler ses mains, ces membres qui avaient trop souvent heurter sa chair. D'introduire un poison paralysant son corps pour qu'il comprenne la douleur d'être impuissant. Un vent de violence, juste pour ressentir cet effet jubilatoire d'un quelconque soulagement. Et pourtant, elle s'évertue à rester, à planter un sourire sur ses lèvres devant les autres et des larmes aux coins de ses yeux dans le lit conjugal. Peut-être qu'un jour, elle serait capable d'atteindre son âme meurtrie ? Peut-être qu'elle n'a pas été assez patiente ? Peut-être qu'elle s'y est mal pris durant tout ce temps ? Toutes ces questions qui restent en suspens dans son esprit, alors que toutes les alarmes sont dans le rouge. Elle pourrait claquer la porte si facilement, mais elle n'est aucunement capable de le faire. Faible et fantôme dans l'ombre de son homme. (solitude) Elle n'est jamais seule, Delilah. Que ce soit sur un tournage, entourée de maquilleuse, coiffeuse, techniciens, admirateurs, admiratrices, famille ou bien des employés ... Et pourtant, il n'y a pas plus étourdissant que la solitude qui enlace son cœur en mal d'amour. Il n'y a qu'un soupçon d'apaisement lorsque son garde du corps pose ses yeux émeraudes sur ses courbes secouées de sanglots. Une appréhension, une méfiance, mais aussi une attente presque douloureuse. Mais, elle n'épanche pas cette solitude, la blonde. Elle agit plutôt comme un animal sauvage. Il a fallu des années pour attiser sa confiance et pourtant, elle n'arrivait toujours pas à laisser entrer la seule chose positive dans son existence. La seule réponse à ses prières et sa souffrance. histoire. ☾ Du pont des supplices Tombent les actrices Et dans leurs yeux chromés Le destin s'est brouillé Au café de Flore La faune et la flore On allume le monde Dans une fumée blonde Petite poupée blonde, elle a vu le jour dans les entrailles de la noblesse. L'étiquette, les bonnes manières, il fallait s'accomplir dans tous les sens du termes, et d'une manière bien vu par le patriarche. Parce que le nom de Courtenay, il avait des siècles de sens et il ne fallait pas en ternir les aspects. Alors, Delilah, fleur aux pétales délicates, elle a tout fait pour faire briller une lueur de fierté dans les prunelles de sa famille. Sans véritable succès, cependant. Après tout, dans le monde aristocratique, les femmes n'ont pas le même rang, ni le même poids qu'un homme. Même si, maintenant, les inégalités finissent par se gommer devant les réussites professionnelles de l'ère moderne. Elle ne se rêvait pas femme au foyer, fantôme pâle dans l'ombre de son époux. Elle ne se visualisait pas comme un requin, non plus. Ce qu'elle souhaitait plus que tout, c'était de pouvoir illuminer une pièce d'un sourire, de refléter les rêves des autres, d'incarner une palette infinie d'émotions et de personnages, mais surtout, d'être aimée, adulée même. Comme si cela pouvait combler un manque dans son palpitant. Pourtant, il n'y a pas d'honneur à se produire sur une scène ou donner à son âme à une caméra. Dans les mots de son père, devenir actrice se résumait à devenir le bouffon du roi. Il n'a pas hésité à donner son avis sur la chose, d'ailleurs. Il a tailladé ses espoirs à l'aide de ses mots acérés. Seul, le soutien d'Ambrose, son frère ainé, parvenait aux oreilles de Delilah. Mais, il faiblissait peu à peu. Comme si il avait l'esprit ailleurs. Comme si il réfléchissait à quelque chose, sans pouvoir lui dire quoi que ce soit. Elle avait beau tendre ses doigts frêles vers lui, il y avait comme une lueur d'absence dans ses prunelles claires. Jusqu'à ce qu'elle ne comprenne, la jeune femme. Tel un mirage, il n'est plus là, Ambrose. En un battement de cils, l'ambiance de sa chambre était devenue froide et les pages de ses livres adorés étaient immobiles. Pas un mot, pas une lettre, juste du silence qui s'immisçait dans ses veines. Puis, se sont les questions de Marlowe qui font échos dans les tympans de la Courtenay. Où est-il ? Pourquoi est-il parti ? « Je voudrais savoir, moi aussi. » C'était tout ce qu'elle pouvait lui répondre à cet homme magnétique. Elle, qui l'avait toujours regardé de loin, le Ziegfeld. Elle s'était surprise à envier, Ambrose, parce que lui, il partageait des moments privilégiés avec Marley. Elle, elle n'était qu'une spectatrice. Jusqu'à ce que son aîné ne s'évanouisse dans la nature. A partir de ce moment-là, le regard océan du démon s'était posé sur elle. Et comme la brebis sacrifiée, qu'elle était, elle avait suivi le chemin qu'il avait commencé à paver pour elle. Happée par les mots qui outrepassaient ses lèvres, par les gestes qu'il lui adressait et par les rêves qu'il réanimait dans son cœur. Pourtant, c'était bien sa descente aux enfers qu'elle signait en unissant sa vie à la sienne. Elle ne réalisait pas encore, la marionnette. Elle ne voyait pas qu'elle n'était qu'un objet qu'il utilisait à sa convenance. Elle était persuadé qu'il l'aimait, de manière bancale, mais c'en était le même résultat. Cependant, il était trop tard lorsque la porte de la cage s'était refermé sur elle. Enchaînée par ses sentiments chaotiques, elle n'a plus aucune arme pour se défendre. Mais en avait-elle déjà eu contre lui ? Non. Alors, comme elle sait si bien le faire, elle se cache derrière son masque de femme parfaite. Elle donne la vie, en espérant que cet enfant la liera à son époux. Qu'ils apprendraient à s'apprivoiser au travers de leur amour pour leur progéniture. Mais, il n'y a rien que du vide, de l'autre côté du fossé qu'il a creusé. L'amour de l'homme n'est réservé qu'à Louve, leur fille. La blonde, elle, n'est laissé qu'avec ses tourments. Ce sentiment d'avoir fait quelque chose de mal, pour que l'existence ne s'acharne de la sorte. Elle encaisse, au fur et à mesure des années, elle devient ce qu'elle a toujours voulu être : actrice. Encore une fois, elle prie pour que ses rêves ne se réalisent, que le néant ne se résorbe. Mais, rien n'y fait. Elle n'est qu'une coquille vide de sens. Le public a beau scander son nom, il n'y a rien qui ne puisse réchauffer son cœur meurtri. Les seuls êtres qui comptent, ils lui accordent à peine un regard. Marlowe, il n'a aucune estime pour elle, ne se cache même plus de ses conquêtes. Et lorsqu'elle porte le fruit de leurs unions, c'est de la force dont il use pour la défaire de sa maternité. Malgré ses cris, ses larmes, son opposition ... Elle n'a pas gain de cause auprès du Diable. Quant à sa fille, ignorant tout ce qui se trame derrière les portes closes, elle n'a d'yeux que pour son paternel. Le dieu parmi les hommes. Elle tente d'avoir sa part, d'aimer sa Louve aussi fort qu'elle le peut, qu'elle le lui autorise. Mais, Delilah, elle ne semble être bonne qu'à ramasser les miettes de ce qu'on lui laisse. Devant le monde, devant ses proches, elle s'en contente. Pourtant, lorsqu'elle est seule, elle sombre dans les plus profondes abysses de ses pensées destructrices. Elle cherche à faire taire ses cogitations dérangeantes par n'importe quel moyen. Mais lui, cela fait cinq ans qu'il est là pour la repêcher des plus tortueuses situations. Elle avait fini par faire fuir tous les autres gardes du corps que son époux avait placé dans son ombre. Diva qui n'avait plus voulu souffrir de la main sur son épaule, infime rébellion qu'elle avait tenté. Pourtant, il avait continué à lui imposer la présence d'un gorille. A quoi cela pouvait-il bien servir ? Elle n'était qu'une tapisserie ornant les murs de leur maison, un bibelot posé sur un meuble dont personne ne se préoccupait, surtout pas lui. Cependant, l'armoire à glace, elle s'était avérée être résistante à tous types de caprices. Comme immunisé contre la bêtise humaine. Il avait repoussé les présences agressives envers elle. Il avait tenu sa chevelure blonde alors qu'elle était assaillie par un taux trop élevé d'alcool dans son sang ou par ses nausées matinales ou par ses avortements forcés. Il avait secoué sa carcasse égarée, un nombre incalculable de fois. Et s'il avait tendu beaucoup trop de mouchoirs pour essuyer ses larmes pudiques, ce sont ses pouces qui chassent l'eau de ses joues porcelaine, maintenant. Au fil des ans, il avait fini par se dévoiler une âme plus tendre que celle qu'il avait exposer à leurs débuts. Leurs regards avaient fini par se moduler, changer et se cajoler à l'abri des prunelles extérieures. Les rares sourires qui pouvaient effleurer les lèvres du protecteur, réanimait chaque parcelle morcelée de l'actrice. Son épiderme appelant un contact, même le plus quelconque. Et pourtant, si son corps appelait le sien avec force, elle semblait se cacher derrière une montagne de rebuffade. Ayant perdu toute confiance en la gente masculine, surtout sur celle semblant porter un quelconque intérêt sur sa personne, elle se refusait de croire que l'on pouvait tenir à elle autrement que pour la faire valser telle une marionnette. Sans parler de ce noyau d'amour incompréhensible qu'elle semblait conserver pour son époux. Elle n'était que chaos et tempête, la jolie Delilah. - ton pseudo sur la toile. a écrit:
- A tes méchantes blessures. holà, moi c'est laura, petite française accro aux rps depuis le collège - non, non interdiction de me demander mon âge -, aux films, aux séries et aux bouquins en tout genre. j'espère pouvoir poser mes valises sur le long terme, parmi vous :hug:
kezako, ton perso. un scénario, celui du magnifique @Marlowe Ziegfeld :yes: - Code:
-
[b]Delilah Ziegfeld [/b] : actrice [b]Quartier d'habitation :[/b] exwick [size=10][u]999[/u] [b][i] Delilah Ziegfeld[/i][/b] Penthouse.[/size] crédit icons ethereal. |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Ven 19 Fév - 0:15 | |
| Bienvenue ici ! Je ne connais pas trop d'actrices dans cette tranche d'âge, mais s'il s'agit d'un problème de ressources, je pense que certains membres pourront te faire des avatars, même moi, si ça te tente. J'en ai trouvé ici et ici pour Dianna ("dianna agron avatars" sur tumblr aussi, pas mal de résultats), si ça t'intéresse ! |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Ven 19 Fév - 3:37 | |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Ven 19 Fév - 10:11 | |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Ven 19 Fév - 20:06 | |
| rebienvenue. aaw c'est dommage de changer à cause des ressources, elle est si parfaite Dianna. de mon côté, je peux te proposer Felicity Jones, Margot Robbie, Teresa Palmer, Keira Knightley, Rooney Mara... qui ont peut être un chouïa plus de ressources. ta Delilah restera un bijou quelque soit son fc, ta plume la rend si attachante. |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Ven 19 Fév - 20:34 | |
| Rebienvenue parmi nous petit chat Je vais regretter la bouille de Dianna mais sinon je pourrais te proposer Émilia Clarke, Margot Robbie eeeeeet c’est tout, mon cerveau ne fonctionne plus ptdr En tout cas j’adore ta plume |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Sam 20 Fév - 13:57 | |
| Rebienvenue ici pépite moi perso dans les suggestions au dessus j't'aurais aussi soufflé blake lively ou emilia clarke |
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah Sam 20 Fév - 19:03 | |
| bon, je n'ai pas réussi à trouver de bouilles aussi parfaite que Dianna pour le rôle donc je suis restée avec la petite blondie merci beaucoup pour toutes vos propositions @Adèle Blanchard merci beaucoup à toi @Bertolt Ziegfeld heey mais qui voilà ? trop contente de revoir ta bouille aussi on va faire des étincelles hahaha Marlowe, il peut grogner ouais, pour l'amour qu'il porte à sa femme ... merci à toi @Louve Ziegfeld daughter thanks darling @Erell Valentine @Hazel Darling merci beaucoup @Montague Scott je reste sur dianna du coup olalala merci beaucoup pour ces compliments @Cináed O'Reilly pas besoin de la regretter merci en tout cas ! @Maxwell Ziegfeld |
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∴ Pseudo : balzolaire (nastasia). ∴ Faceclaim : tom hiddleston. ∴ Merci à : bertolt. ♡ ∴ Dédoublement(s) : hyacinthe, l'androgyne décadent. ∴ Âge : quarante coups d'éclat. le fil que tissent les parques devient de plus en plus fin. il sait, il sent que le ciseau d'atropos s'en approche chaque jour un peu plus. qu'importe. il continue de la regarder dans les yeux, insolent, supérieur. ∴ Pronom inrp : il/lui, he/him. ∴ Occupation : il distribue l'opium du peuple d'une main, tire les ficelles de l'autre. [magnat des médias], tout-puissant, l'oeil qui surplombe tout. les journaux pour trancher la gorge de lucifer, la radio pour amollir l'ire de dieu, la télé pour crever les yeux des hommes. ∴ A Exeter depuis : son enfance. ∴ Statut : la poupée de papier qu'il a ramassée dans les abimes de la noblesse anglaise vous répondra qu'il est [marié]. marionette désarticulée et éventrée dont il a lui même percé les poignets, pour y passer ses fils d'or et d'argent. ∴ Géolocalisation : ubiquité absolue. ∴ Vice : narcisse des temps modernes. la fêlure nécrosée du miroir déformant qui lui ankylose le coeur et l'âme. ∴ Triggers, refuse de jouer : violence animale. ∴ Triggers Warnings : manipulation, toxicité, trouble de la personnalité narcissique, violences domestiques, évocation de pédophilie. ∴ Posts : 61 ∴Arrivé le : 17/02/2021
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| Sujet: Re: make believe ☾ delilah | |
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| | | | make believe ☾ delilah | |
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