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bad reputation. (marlowe)


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: bad reputation. (marlowe) bad reputation. (marlowe) EmptyMer 17 Fév - 13:58

Depuis le bac à sable, Louve a toujours été considérée comme celle à laquelle on donnerait le bon Dieu sans confession. Belle comme tout, des yeux à se noyer dedans, elle aurait eu tort de se priver de profiter de son incroyable. Gamine, il suffisait déjà qu'elle claque des doigts pour obtenir tout ce qu'elle désirait. Au moindre caprice, elle obtenait gain de cause, et peu de personnes osaient vraiment la contrarier. Si elle demande toujours les choses d'une voix enchanteresse, lui refuser l'une de ses envies serait s'exposer à une colère terrible... À la tempête de feu qui ravagerait tout sur son passage. Pourtant, ici, à l'université d'Exeter, certains la défient. Défient sa puissance, celle de sa famille, de son père surtout. Ils ont l'audace de lui chercher des poux dans la tête, de la regarder de travers, et la vengeance de Louve, même pour un rien, pour un frôlement dans un couloir, est terrible. Mieux vaut s'éloigner, s'excuse platement, se jeter à ses pieds. Et encore... Elle est terrible, la gamine, rancunière comme ce n'est pas permis. Alors, cette fille dont elle a surpris une conversation la concernant, racontant tout et n'importe quoi sur sa personne, en a payé le prix fort. C'est avec une maigre partie de son compte en banque, dont le montant ne semble jamais baissé, qu'elle l'a payé, cet étudiant en détresse. Payé pour séduire cette fille, et la filmer à son insu dans les moments les plus dépravés. Il a accepté, et elle le savait, la rousse. Désespéré parce qu'il peut à peine se nourrir, lui, l'étudiant en galère comme de nombreux autres. Presque honoré d'avoir pu touché du doigt Louve Ziegfeld. Sans scrupule, elle a poussé les choses plus loin encore, contraignant ce garçon à publier les images sur Internet. Quelques instants de pure vice, devenus viraux. Des photos imprimées, ici et là, placardées dans tous les couloirs de l'université, parce que Louve en a décidé ainsi. Et la fille, elle en a pleuré, s'écroulant en public. Humiliée en faisant immédiatement le lien avec la fille unique de Marlowe et Delilah. Qu'importe si le président de la faculté la convoque avec son père dans son bureau, elle sait qu'elle ne risque rien, la rousse. C'est alors avec assurance qu'elle avance dans l'aile administrative de l'université. Habillée d'une tenue courte, provocante, parce qu'on ne lui dira rien, à elle... L'argent achètera la conscience professionnelle du vieil homme (du moins, aux yeux de Louve), comme ça a toujours été le cas. Quelques minutes après, c'est son père qui arrive, pile à l'heure. Prêt à sortir le chéquier pour la tirer d'affaire, comme il le fait tout le temps. Elle sourit, Louve, presque innocente, comme si elle n'avait rien fait. Elle sait que même si pour la forme, son père pourrait la réprimander, elle le rend fier, parce qu'elle est au moins aussi terrible que lui. Prête à tout pour réussir, quitte à détruire la vie de quelqu'un, sans ciller. « Papa chéri. », lui lance-t-elle, presque exagérément, venant se pendre au cou de son père. Espérant l'amadouer, même si elle n'a pas plus besoin que ça de le faire. Il ne jure que par elle, elle le sait, ce qui lui donne un ego un peu plus démesuré encore qu'il ne l'est déjà. Elle sourit, dépose un baiser sur sa joue, avant de s'écarter, presque victorieuse. « Je te le dis tout de suite, elle l'avait mérité... Et tu aurais dû voir les vidéos, un chef d'oeuvre. On aurait cru une actrice d'un film de Gaspar Noé. », lui dit-elle, plus narquoise... Sachant la vie de cette fille, dégradée à jamais. Celle-ci peut probablement abandonner l'idée d'entrer en politique un jour, ayant bien plus sa place sur un site de cam-girls ou autre.

@marlowe ziegfeld bad reputation. (marlowe) 2453064100
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Marlowe Ziegfeld
Adminax
Marlowe Ziegfeld
∴ Pseudo : balzolaire (nastasia).
∴ Faceclaim : tom hiddleston.
∴ Merci à : bertolt. ♡
∴ Dédoublement(s) : hyacinthe, l'androgyne décadent.
∴ Âge : quarante coups d'éclat. le fil que tissent les parques devient de plus en plus fin. il sait, il sent que le ciseau d'atropos s'en approche chaque jour un peu plus. qu'importe. il continue de la regarder dans les yeux, insolent, supérieur.
∴ Pronom inrp : il/lui, he/him.
∴ Occupation : il distribue l'opium du peuple d'une main, tire les ficelles de l'autre. [magnat des médias], tout-puissant, l'oeil qui surplombe tout. les journaux pour trancher la gorge de lucifer, la radio pour amollir l'ire de dieu, la télé pour crever les yeux des hommes.
∴ A Exeter depuis : son enfance.
∴ Statut : la poupée de papier qu'il a ramassée dans les abimes de la noblesse anglaise vous répondra qu'il est [marié]. marionette désarticulée et éventrée dont il a lui même percé les poignets, pour y passer ses fils d'or et d'argent.
∴ Géolocalisation : ubiquité absolue.
∴ Vice : narcisse des temps modernes. la fêlure nécrosée du miroir déformant qui lui ankylose le coeur et l'âme.
∴ Triggers, refuse de jouer : violence animale.
∴ Triggers Warnings : manipulation, toxicité, trouble de la personnalité narcissique, violences domestiques, évocation de pédophilie.
∴ Posts : 61
∴Arrivé le : 17/02/2021
MessageSujet: Re: bad reputation. (marlowe) bad reputation. (marlowe) EmptyJeu 25 Fév - 15:11

louve&marley / janvier 2021
now shut your dirty mouth ; if i could burn this town, i wouldn't hesitate to smile while you suffocate and die. and that would be just fine, and what a lovely time, that it would surely be ; so bite your tongue and choke yourself to sleep (@i don't know how but they found me)

C’est sa secrétaire qui annonce à Marlowe que le principal de sa très chère fille souhaite le voir. Il ne réagit même pas, au début — n’a-t-il pas autre chose à foutre ? Si ce brave homme a quoique ce soit à dire, il peut bien en discuter avec la principale intéressée ; Marley Ziegfeld ne doute en aucune façon des capacités d’argumentation de son unique enfant. Louve est une marionnettiste peut-être plus habile que lui, un démon de manipulation et d’illusions. Alors d’un geste de la main, il la congédie. Dites lui que je suis occupé. Et c’est vrai. Doux Seigneur, il a un empire à tenir, un monde à faire tourner ; pense-t-il donc que Marlowe Apollodore Ziegfeld n’a rien d’autre à faire que de venir justifier les absences de sa fille ? Mais le goujat revient à la charge. Sa majesté le répudie, et aussitôt, sa majesté est sollicitée. Il s’agace, Marley, se lève pour faire face à la baie vitrée de son bureau. Empire de nuées qu’il surplombe, il lui arrive parfois d’avoir envie de tout raser d’un coup de main. Une belle bande d’ingrats et de rustres. Ne peut-on pas le laisser vivre sans invoquer le nom de sa fille à tout va ? Louve est bien assez intelligente, bien assez riche aussi, pour faire ce qui lui chante sans avoir à en subir les conséquences, après tout. Aussi, lorsque de nouveau, il entend la porte s’ouvrir, il ne prend même pas la peine de se retourner. — Maybelline, il me semble vous avoir expressément demandé de ne me déranger qu’en cas de force majeure. C’est encore le doyen qui les a rappelé, de toute évidence. C’est encore moins un cas de force majeure que l’imprimante du premier étage qui tombe en panne, qu’il rétorque finalement, à bout de force.
Il dit que mademoiselle Louve risque l’expulsion.
Marlowe se retourne et toise sa secrétaire, interdit. Aucune émotion à percevoir. Comme d’habitude, seuls les yeux du Roi Ziegfeld flambent d’un éclat inquiétant. Mais Maybelline finit par connaître son patron et elle, elle seule, perçoit le petit spasme qui fait trembler sa paupière inférieure. Plaît-il ?
(…) Dès qu’il entre dans les bureaux du doyen, c’est sa fille qui lui saute au cou. Marlowe, sans mentir, avait été agacé ; deux réunions annulées, un train de retard sur les comptes rendus, des collaborateurs congédiés une heure avant le rendez-vous fixé. Mais en retrouvant le divin enfant et ses yeux de furie, ses reproches paternelles meurent au fond de sa gorge. On l’a mis au courant, sur la route, de ce qui est reproché à Louve. En entendant les détails de l’énième effronterie de sa fille, Marley n’avait pu s’empêcher de sourire légèrement. La peste. La garce. La digne fille de son père. Prête à briser la mâchoire de tous les cul-terreux qui oublieraient malencontreusement leur place dans la société. Comment peut-il lui en vouloir ? Ce sont ses méthodes que son héritière applique avec minutie. Pas de pitié, Louve, qu’il lui répète sans cesse, le laxisme est la porte ouverte à toutes les insurrections. Ils te sont inférieurs ; fais le leur savoir. La soumission ou la mort. Tout c’qu’il veut, Marlowe, c’est que sa fille n’ait pas à subir les malédictions qu’il avait placidement acceptées pour arriver au sommet. Tant pis s’il faut qu’il passe derrière elle pour essuyer les pots cassés par ses ambitions destructrices.
On m’a montré la vidéo dans la voiture. Marlowe répond à voix basse à sa fille, tandis que la secrétaire avertit le doyen de leur arriver. Leur écrasante supériorité sociale ne justifie pas de s’exempter de toute manipulation bien amenée. Une fois devant le président de l’université, il jouera ; le père éploré, confus, convaincu de la bienveillance de son enfant chéri. Mais seul avec sa fille, il n’a pas peur de laisser briller la cruauté au fin fond de ses prunelles. Si seulement la pauvre enfant avait été moins laide, elle aurait pu s’assurer un avenir dans la pornographie. Il conclut finalement, après quelques secondes de réflexion.
On appelle le père omnipotent à la rescousse sans se douter qu’il est peut-être plus féroce que la louve aux crocs ensanglantés. Dans son costume extravagant, il a pourtant l’air d’un homme bien. Personne ne songe qu’il cache ses ongles souillés de vermeil sous ses gants en soie blanche. Lorsqu’enfin, on les fait entrer, Marlowe a déjà enfilé son plus beau masque ; sourire de beau-parleur, attitude avenante. Le doyen, derrière son bureau, est plus grave ; son air inquiète vaguement Marlowe. Il lui donne l’impression d’un homme de moral, et il a peur de le voir froncer les sourcils devant les chèques qu’il compte lui écrire. Peu importe. Même le plus convaincu des prêtres sent sa foi s’amincir au bout d’un certain nombre de zéros.
Monsieur, enchanté. Marlowe Ziegfeld, qu’il lance immédiatement, bien avant de s’asseoir. Je vous prie de m’excuser le temps que j’ai mis pour répondre à vos sollicitations ; comprenez bien, je travaille tant. Fort heureusement, il me semble que tout cela va être vite réglé. Il déblatère en se laissant tomber dans sa chaise, sans se dépareiller de son sourire amène. Plus qu’un gage d’amabilité, cet air enchanté est un acte d’intimidation. Ne jamais ciller. Montrer que l’on ne s’inquiète de rien. Enfoncer ses talons dans la terre sans dire un mot. Un affreux malentendu. Affreux, que dis-je ? Ignoble, peut-être !… Vous permettez ? Il s’interrompt pour s’allumer une cigarette, prenant pleinement possession du bureau de son opposant.  Louve n’est clairement pas capable de faire une telle chose. J’admire avec quelle rapidité vous réagissez pour vos étudiantes… débauchées, mais je crains que vous ne m’ayez fait venir pour rien, Monsieur. Il fait, en montrant sa fille et ses  grands airs de princesse virginale, en guise de preuve.
Mensonges éhontés, d’abord.
Mensonges incroyables. Puis, il repoussera lentement le doyen sur le champ de bataille de la vérité. Histoire de voir où se situe son point de balance. Jeu sadique, jeu pervers ; Marlowe sait qu’il en ressortira gagnant. Il s’amuse tout bonnement avec la nourriture. Et ses yeux d’illusionnistes scrutent le président, amusés. Oh, oui, il le fera reculer ; il le fera ramper, même.
Jusque dans ses retranchements, s ‘il le faut.
Jusqu’au menace, s’il le faut.
Jusqu’aux doigts brisés, s’il le faut.
(c) mars+kawaiinekoj
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MessageSujet: Re: bad reputation. (marlowe) bad reputation. (marlowe) EmptyVen 26 Fév - 18:39

Même du temps du bac à sable, Louve était impitoyable avec les autres enfants. Elle en poussait un, et prétendait que c'était l'autre qui l'avait fait. Avec ses grands yeux innocents, on lui donnait le bon Dieu sans confession. Comment une telle merveille aurait-elle pu contenir la moindre méchanceté en elle ? Personne n'y croyait, et Louve, elle s'en sortait toujours en quelques sourires radieux. Aujourd'hui, pourtant, l'exclusion de l'université lui pend au nez. Son père, comme toujours, ne laissera pas cela arriver. Il arrivera, sur son destrier blanc – ou presque – pour secourir sa seule et unique fille. Son trésor. Alors, rien ne l'impressionne jamais, la rousse, parce qu'il n'y a rien que l'argent ne puisse pas acheter. Dieu sait d'ailleurs que son père n'en manque pas. Avec impatience, elle l'attend dans le couloir, et quand enfin la magnificence de Marlowe Ziegfeld se dessine, elle se jette à son cou, avec tout l'amour qu'elle lui voue. Même si les sentiments sont des choses qu'on n'étale pas chez les Ziegfeld, Louve aime son père plus que tout au monde. Et celui qui lui fera découvrir une autre forme d'amour n'est probablement pas encore né. Personne ne le surpasse encore, pour l'heure. Ce père érigé au rang de roi dans le cœur de sa fille. Ce père qui lui a tout appris, sans lui faire croire à un monde tout beau, tout rose. Ce père qui l'a toujours incitée à affirmer sa supériorité sur les autres. Alors, sans hésiter, elle applique les préceptes qu'il lui met dans la tête depuis sa naissance. Elle manipule, achète la conscience des autres. Et tout finit toujours par tourner en sa faveur. Parce qu'elle voit bien que son père n'est pas en colère contre elle, elle se vante de sa dernière invention en date. Vidéo de quelques minutes, à peine, qui pourrait détruire la vie d'une innocente. Louve n'a toujours cru qu'en sa propre justice, après tout. Marlowe a vu la vidéo, et c'est bientôt si elle ne trépigne pas à l'idée qu'il la complimente. Le tout orchestré par ses jolis doigts manucurés. À la remarque de son père, elle glousse, Louve, échangeant avec lui un regard complice. « Je crains qu'elle n'ait plus d'avenir. Du tout. », murmure-t-elle à son père, sur le ton de la confidence, tandis que son sourire plein de malice peine à s'effacer quand on les fait entrer dans le bureau. Quatre murs entre lesquels Marlowe peut lui aussi détruire un homme aussi influent que peut l'être un doyen. Personne n'est au-dessus de Ziegfeld, et parfois, un rappel à l'ordre s'impose. Chacun sur un siège, ils s'installent. Et Louve, avec un sourire presque adorable, elle salue le doyen. « Bonjour monsieur. », dit-elle, sans une once d'agressivité dans la voix. Presque trop douce. Ça ne lui ressemble pas, mais jouer la petite fille modèle s'impose, dans cette situation. Près de son père, elle sait que rien ne lui arrivera. Que cet homme pliera, comme les autres, face à quelques zéros sur un précieux chèque. Qui n'a jamais rêvé d'une villa au beau milieu des Caraïbes ? Face au bleu de l'océan, il en oubliera que sa conscience a été achetée. Quand son père se présente, comme toujours, il s'impose. Il est là, occupe la pièce par sa présence incroyable, mettant également son nez son travail très prenant. Ambition démesurée propre aux gênes Ziegfeld, comme toujours. Spectatrice, Louve se contente pour le moment d'écouter son père, volant à son secours. Aux yeux du doyen, il la fait passer pour cette enfant si pure, que jamais une telle idée ne lui aurait traversé l'esprit. Et elle, désormais, elle joue son rôle, prenant l'air le plus innocent possible. Elle ne l'est pas, pourtant. Achetant la conscience des uns et des autres, étant même allée jusqu'à coucher – plusieurs fois – avec son professeur d'histoire. Lui aussi manipulé par la belle qui désirait tant goûter à l'interdit. « Bien sûr que je n'en suis pas capable... Il faut me croire, monsieur. », demande-t-elle alors, avec de grands yeux pour l'attendrir. « Je vous assure que je ne ferais rien qui puisse faire honte à ma famille. », ajoute-t-elle, jetant alors un regard à son père. Lui, il n'en croira pas un mot, parce qu'il sait que la débauche coule dans leurs veines. Que même si Louve ne lui dit pas tout, elle aussi, elle a sa part de ténèbres. Des choses qu'il ignore, des relations avec des hommes qu'il ne cautionnerait probablement pas dans le même périmètre que son enfant chérie. En revanche, si les choses se gâtent, elle se tourne toujours vers lui, la rousse. Parce que son père a le don d'impressionner même les plus téméraires. Comparés à lui, ils ne sont que de vulgaires insectes. « Et puis, pourquoi ferais-je une telle chose ? Je suis première de ma classe, investie dans les événements de l'université... Ce serait absurde. », explique-t-elle alors. Là-dessus, personne ne pourra la contredire. Gamine intelligente, elle a les épaules pour hériter de l'entreprise familiale. Et elle reprendra les rênes, en s'efforçant d'appliquer tout ce que lui a toujours appris son père. Ce jour-là, elle espère qu'elle le rendra plus fier que jamais. « C'est abominable, ce que cette pauvre fille subit. J'ai beaucoup de peine pour elle, et croyez-moi que je prierai tous les jours pour qu'elle se remette de cette terrible humiliation. Et bien sûr, pour que le Seigneur lui pardonne ses pêchés. », ajoute-t-elle, jouant non seulement le rôle de la petite fille modèle, mais aussi celui de la dévote. Alors que Louve, le seul qu'elle pourrait vénérer en dehors de son père, c'est Satan. Certains diraient que c'est du pareil au même...
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