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beast / tw: sexe


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyDim 21 Fév - 20:56

Tu te demandes si tu es une bête féroce ou bien un saint
Mais tu es l’un, et l’autre. Et tellement de choses encore
Tu es infiniment nombreux
Celui qui méprise, celui qui blesse, celui qui aime, celui qui cherche.
Et tous les autres ensembles
Trompe-toi, sois imprudent, tout n’est pas fragile
N’attends rien que de toi, parce que tu es sacré. Parce que tu es en vie
Parce que le plus important n’est pas ce que tu es, mais ce que tu as choisi d’être


Sous ta peau tendue, la bête se délie. Elle grouille entre tes nerfs en fusion, brille par le sang écarlate, se languit des salves de bonheur que ta danse sensuelle diffuse partout entre tes muscles bandés. Une plaie à la gueule béante qui se nourrit de cette luxure à laquelle tu t'es refusé tant d'années. Ta femme était une coquille vide, un réceptacle du trop plein qui s'accumulait et finissait fatalement par peser lourd, mais qui ne recevait plus ta passion depuis longtemps. Au début il y a eu l'étincelle. Puis la flamme. Et maintenant tu ne veux plus rien de tout cela, maintenant tu veux le feu, tu veux te brûler, tu veux te laisser irradier de ce brasier qui se meut sur tes reins. L'expression qui fait vivre tes traits ressemble à la bénédiction. Une fureur de vivre bestiale. Figure ravagée par le désir. Et ce sourire, toujours, qui ne cesse de se dresser à l'orée de tes lèvres, fier et presque moqueur. Ta virilité toute retrouvée, florissante entre les mains de ta belle. Elle se couche dans les draps après s'être délogée de toi, bientôt rejointe par ta présence. Repos du guerrier après le combat, tu t'approches et t'amène au plus près d'elle, désireux de retrouver sa chaleur et ses caresses. Une addiction qui s'élève et grandit, nourrie par cet avant-goût qu'elle vient de te livrer. Ton manque comblé, mais pour combien de temps encore. Plus le loup mange, plus il a faim. À toi on a fait goûter la chair la plus sophistiquée, la plus noble et délicieuse, et désormais ton odorat ne ferait plus que cela : traquer après ce parfum unique, rouge et parfait. L'animal ouvre les yeux, autorisé à la faim, autorisé à déployer sa rangée de crocs. Elle ne sait pas, Louve, ce qu'elle vient de faire naître.

La pulpe de tes doigts défile sur sa peau de cristal. Ses joues constellées de points pigmentés. La chute de sa jugulaire. Son poitrail qui évolue vers ses attributs où ton toucher paresse rêveusement, tournant autour de leurs sommets, attendant le dernier moment pour te les approprier. Entre pouce et index tu presses tendrement, douce torture qui dure, alors que l'amante te dit t'offrir son corps pour terrain de jeu. À ses mots tes yeux bleu acier se dressent vers elle, avant que ton visage ne se pousse doucement contre le sien, ronronnant presque, et ta tendresse angélique s'évapore aussitôt pour rendre sa gloire à la bête furieuse. Hissé au-dessus d'elle, cette magnifique épouse que tu veux faire tienne, ta pluie de baisers s'abat sur ses lèvres, son derme tout entier, noie chaque parcelle de ton appétit vorace. Tu descends Wolf tu descends, vers ces effleurements osseux qui maintiennent les épaules au torse, et puis ton chemin croise à nouveau ces masses voluptueuses charnues et jumelles. Ta langue y trace son sillon, poussant sur ces boutons de chair dressés, ta louve capitoline pour mère. Tu t'attardes, englobant à pleine main le sein délaissé, travaillant la forme entre tes phalanges joueuses. Enfin, ta route se poursuit et ne cesse de se diriger vers le sud, ventre plat qui subit ton amour trempé, début de la tranchée qui conduit jusqu'à l'intimité, et, flânant sur les alentours de cette destination fatidique, la chaleur de ton souffle finit par s'immobiliser à l'ouverture de cet Eden bouillant, parfum alléchant qui en émane. Loup se pourlèche les babines, confortablement installé entre deux cuisses, crocs qui approchent, approchent, un peu plus encore, et alors tes baisers se fondent à l'intérieur de ces deux cloisons ardentes, langue chatouillant la sensibilité la plus exacerbée du corps féminin.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyLun 22 Fév - 18:23

Chevelure de feu qui se balance, dans son dos, se plaquant contre son épiderme humide, Louve connaît l'extase dans ses bras. C'est à lui qu'elle s'accroche, la belle. À cet homme qui n'aurait jamais dû la toucher et réciproquement... Et pourtant, le professeur si sage s'est transformé en amant déchaîné, donnant de sa personne, de ses coups de rein, contre le bassin de la rouquine, qui finit par se laisser tomber sur les draps à l'étoffe précieuse. Euphorique, et paradoxalement vidée de toute énergie, le désir de recommencer ne se fait pas attendre très longtemps. L'amant vient alors près d'elle, et elle, elle se blottit dans sa chaleur. Dans cette vapeur sensuelle qui semble émaner de sa peau. Lui aussi, il vient de connaître l'extase, mais sans avoir délaissé son plaisir à elle, bien au contraire. Vénérée comme elle a tant besoin de l'être, elle sait que son corps est un autel où il se déposerait chaque jour des offrandes. Une caresse ici, un baiser là, une pression ailleurs. Consciente que son désir pour elle n'a pas d'égal, elle ne cesse d'en jouer, la belle. Le corps à sa disposition. Sa bouche qui semble appeler celle du professeur. Tout son être le réclame, pour un nouveau moment charnel. L'appétit de la louve, il est démesuré. Alors, elle en redemande. Quelques mots explicites, et il comprend, le professeur. Sourire aux lèvres, ses doigts ne cessent de parcourir son épiderme. Si sensible, si désireux d'être touché, à chaque endroit. Du bout des doigts, il caresse sa joue, son cou, et sa poitrine. Attribut féminin dont elle est si fière, Louve. Peau blanche, parsemée de tâches de rousseur, et deux jolies proéminences. En leur centre, chacun une perle rosée réclamant le doigté d'un homme. Perles rosées avec lesquelles il joue, qui réagissent immédiatement. Se dressant entre ses doigts. Soupir de délivrance, qui s'échappe des lèvres de la belle. Quand enfin, il la touche de nouveau... Vraiment. Qu'il ne se contente pas d'un toucher superficiel. Plutôt que de tourner autour, il s'en empare. De ses doigts si fin, qui pressent, qui jouent. Et finalement, il la regarde. Yeux dans les yeux, tandis que la chaleur monte de nouveau en elle. Elle en désire davantage, la rousse, et il semble le comprendre, quand il pousse son visage contre le sien, se hissant au-dessus d'elle. Et son corps, de nouveau si près du sien. Contre elle. Ses lèvres qui capturent les siennes, qu'elle retient, la rousse, en posant sa main délicate dans sa nuque. À la naissance de ses cheveux. Métamorphosé, Wolfgang devient l'amant rêvé. Lui qu'elle sous-estimait tant, la rousse, avant qu'ils n'entrent dans cette suite. Lui qui faisait trop propre sur lui. C'est un monstre de luxure qu'il se transforme. De nouveau, c'est sur sa poitrine qu'il s'attarde. Sa langue qui en caresse la peau, si soyeuse, si pâle. La perle rosée de l'un qu'il taquine, l'autre dont il s'empare, à pleine main. À son amant, la rousse s'abandonne, le regardant quelques instants disposés d'elle, de son corps qu'il désire plus qu'aucun autre, avant de fermer les yeux. Extrémités de ses seins en érection, si rigides sous les assauts de ses doigts et de sa langue. Et sa bouche, elle se déporte le long de son ventre si plat, tandis qu'elle garde les yeux fermés, la rousse. Pour davantage de mystère, de surprise quant au sort qu'il lui réserve. Et l'attente, si insoutenable quand il s'interrompt, qu'elle ouvre ses cuisses diaphanes, pour l'inciter à se plonger entre elles, d'une manière ou d'une autre. Son souffle sur son intimité qui l'appelle, qui lui hurle de la soulager. Et alors, elle le sent s'approcher. Son visage qui frôle sa peau, qui fait durer l'instant tandis qu'elle ne tient plus, la rousse. Grognant, dans l'urgence. Glapissement de la louve, quand sa bouche fond entre ses chaires. Sa langue qui danse, qui excite la partie la plus sensible de son corps. D'une main dans ses cheveux, elle l'incite à continuer, la belle, crispant sa main gauche dans les draps de soie. C'est à la chevelure de l'homme qu'elle s'accroche encore, la rousse. De plaisir, elle soupire, se cambre. Cherchant aussi son regard. Murmurant son prénom dans un gémissement incontrôlé. Wolfgang...
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyLun 22 Fév - 21:56

Le territoire opale se dresse sous tes griffes et tes caresses, dos qui se creuse à mesure que ton baiser sensuel s'éternise. La saveur qui coule entre tes lèvres t'ouvre l'appétit, nectar précieux qui ne peut échapper à ta vigilance, alors que ton regard bleu se lève pour chérir l'image de cette beauté qui se cambre au rythme de tes tortures. À elles se joignent tes phalanges, attentives et paresseuses. Elles tournent autour de ce bouton sensible que tes lèvres aspirent, embrassent puis tètent vigoureusement. Tu la respires, son parfum qui t'enivre et t'obsède, doigts qui écartent les cloisons jumelles pour te laisser libre accès à toute cette zone que tu couvres de tes baisers humides. Si tu pouvais aller plus loin encore tu le ferais, mais ton souffle ardent se dépose déjà sur la toison de sa féminité. Inutilisée, ton autre main remonte masser l'abdomen puis escalade plus haut pour renouer avec ces seins que tes baisers ont déjà noyé d'amour plus tôt. Cette poitrine, tu l'aimes. Tu la trouves sublime. Généreuse et potelée, adorable et que tu aimes à posséder sous ta paume pour y asseoir ta propriété. Et alors ta langue poursuit ses caresses autour de cet antre chaud qui te retient prisonnier au sud, y dessinant un alphabet secret et précis, forêt de symboles, charges érotiques qui font s'écarter un peu plus les cuisses qui t'assiègent. Les gémissements qui glissent des lippes de la belle te parviennent comme la plus exquise des mélodies. Exalté par ce chant fabuleux ton enthousiasme croît davantage, lapements qui se font plus dévoués encore sur ce relief éveillé qui nourrit et comble ton envie. L'aveu qui s'échappe alors d'elle, appelant après ton nom, (ton nom, ton nom, juste ton nom, ton nom et celui de personne d'autre) t'envoie une décharge euphorisante alors que ton propre entrejambe ne cesse de prendre de l'ampleur sous ces réactions merveilleuses. Ses doigts à elles saisissent ta crinière et ce seul contact avec tes crins emmêlés suffit au cœur pour frapper plus fort contre tes côtes. Un tambour de guerre qui t'anime et te fait vivre. L'envie de te servir de ta dextre pour descendre soulager ton anatomie encombrante se fait pressante mais achever d'abord ton œuvre te convainc à poursuivre sans penser à toi. Tes effleurements se laissent alors guider plus bas vers cette pente qui mène à l'ouverture par laquelle tu es déjà passé. La louve se tend un peu plus au creux des draps, frappée d'enchantement sous ton regard affamé qui contemple le spectacle, tandis que ta langue poursuit ses itérations, dents qui mordillent sans jamais faire mal. On entend le bruit de tes succions avides, fruit de ton labeur duquel tu te délectes, toi-même affaissé sous le poids de ton propre désir, d'un besoin florissant de poursuivre cette danse par une nouvelle union où cette fois-ci tu te sauras incapable de douceur.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyMar 23 Fév - 12:19

C'est son échine qui se cambre, à mesure qu'il embrasse la partie la plus sensible de son anatomie. Caresses tantôt délicates, tantôt possessives, le trentenaire se révèle entre les jambes de sa belle qui en redemande. Sans cesse. Les yeux clos, elle sent pourtant son regard posé sur elle, fier de susciter un tel plaisir chez la rouquine. Ses lèvres contre sa féminité, il varie les rythmes et les sensations, comme si, avec elle, il s'autorisait enfin à se laisser aller. À disposer de son corps comme elle le laisse le faire. Et de nouveau, c'est son corps qui réagit, le bas de son dos qui s'étire, qui s'agite. Tout son être qui vibre, quand elle le sent partout. Une main entre ses jambes, l'autre qui vient posséder l'un de ses seins. De ses doigts, il s'approprie tous ses attributs. Possessif, actif pour qu'elle atteigne le septième ciel. Sein qui pointe dans la paume du professeur, zone rosée, ultra-sensible, dont il doit désormais connaître les moindres détails. Le contrôle qu'elle abandonne pour se concentrer sur le plaisir qu'il lui donne, sur son buste comme entre ses cuisses, où ses baisers se font un peu plus généreux encore. Elle s'accroche, la belle, pressant ses doigts dans la chevelure du professeur, tandis que ses gémissements s'échappent, envahissent un peu plus la pièce à mesure que les secondes s'écoulent. Elle ne tient plus, la rousse, quand elle prononce son prénom. Envahie par un feu qui jaillit, de tous les pores de sa peau... Vague de chaleur qui lui provoque des frissons, l'épiderme qui vibre, ses membres qui se tendent alors qu'il la contemple. Elle essaye de le regarder, la louve, et pourtant, elle ferme les yeux, à la sensation de ses dents contre ses chaires, et ses doigts, qui ne cessent de la caresser. Et enfin, elle atteint l'apothéose, le myocarde battant à cent à l'heure, poussant un ultime cri alors que la nuit tombe, sur Exeter. La suite n'est plus désormais éclairée que par les lumières de la ville. Quelques secondes plus tard, la belle s'approche de son amant, capture ses lèvres dans un baiser passionné, avant de jeter un regard amusé à sa virilité, dressée de désir pour elle. Puis, elle le quitte aussi vite qu'elle est revenue vers lui. Animale, c'est sur ses quatre membres qu'elle s'appuie, la belle, lui offrant une vue divine sur sa silhouette, de dos. Attendant avec impatience la possession du mâle. Lui qui semble avoir besoin de cette fusion, au moins autant qu'elle.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyMar 23 Fév - 16:21

Ta figure émerge d'entre ces cuisses nacrées, les babines couvertes de ton vice. Le bout de ta langue récupère la liqueur intime alors que sa magnificence se remet à peine de la félicité qui vient de la secouer. À genoux, le dos droit, épaules masculines, crinière ébouriffée par les flatteries, un air de sauvagerie émane de ta gueule ravie. On vient chercher tes lèvres pour y tremper un baiser qui dure autant qu'il faut, autant que vous avez faim. Toi tu as faim d'elle, depuis le début. Tes rêveries sur le bureau de l'université sortent de leur écorce timide pour se hisser jusqu'au fer de la réalité, à l'instant même, dans cette soirée pluvieuse qui vous appartient. Ô temps que tu ignores, ton toi passé aimait bien trop porter la montre autour du poignet pour ne jamais être en retard. Chaque pan de ta carne recouvert pour ne laisser échapper aucun centimètre de peau. Et maintenant te voilà nu, agenouillé, l'organe fièrement dressé vers ta princesse. Ta reine, ta déesse, à qui on ne dessine pas le visage, car aucune représentation ne serait suffisamment juste pour en retranscrire l'entière beauté. Une vénération sans borne t'habite alors que tes paumes encadrent ce visage blanc, pureté que tu dévores entre tes dents. Tu la veux épouse de tes jours, mère de tes enfants.

C'est alors qu'elle se couche, dos à toi, présentant à ta vue éblouie son corps tendu. Une croupe délicieuse que tu t'attèles à effleurer du bout de tes doigts, du bout de ton intimité que tu présentes à son entrée. Le contact avec ta plus grande sensibilité face à ce nid de chaleur déploie en toi une fournaise phénoménale. Main gauche qui s'agrippe à son flanc, progressivement tu t'insinues entre ces chairs détendues, déjà connues. Un puissant grondement racle l'abîme de ta gorge, à mesure que tu frayes ton chemin au fond de cet écrin. L'écorchure d'un sourire te fend les lèvres, titan carnassier, nuque rejetée en arrière, tes soupirs adressés aux cieux noirs. Et puis tes coups de reins font naître le mouvement. Merveilleuses frictions qui t'arrachent ta mélodie la plus sensuelle, alors que ton rythme accélère. Plus vite. Plus fort. Tu frappes. Tu frappes encore. Encore. Plus fort. Tes yeux descendent pour se poser sur ce corps divin. Sur sa chevelure rouge qui s'agite sous la cadence effrénée que tu mènes. Tu frappes, tu frappes. Le bruit obscène de vos peaux qui claquent entre elles résonne dans l'immensité de cette pièce au plafond trop haut. Même tes orphelines bondissent, emportées par tes allers-retours, ta frénésie féroce et animale. Griffes plantées dans ses hanches pour la pousser à entrer davantage sur toi à chaque rebond, ta cage thoracique se gonfle des grognements rauques. Tu changes d'angle, testes un autre tempo, l'oreille toujours tendue face à ces cris féminins qui rugissent non loin. Oh, seigneur, le loup se régale. Il prépare sa source de vie, pendant que ses assauts insatiables brutalisent sa bien-aimée.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyMar 23 Fév - 18:19

Entre ses cuisses, Wolfgang a su trouver sa place. Baisers humides, caresses intenses... Pour la seconde fois, il a su cerner ses désirs au point qu'elle a atteint les cieux une seconde fois. Le bas ventre pétillant de plaisir, elle vient le chercher, la louve. Capturant ses lèvres, encore et encore. Caressant sa langue de la sienne, avec appétit. Insatiable, elle ne le libère pas tout de suite, la rousse. Lui aussi prolonge ce baiser sauvage, posant ses mains autour de son visage. Totalement nus, l'un contre l'autre, les barrières de la morale n'existent plus, non. Elles ont sauté à l'instant où Louve s'est emparée des lèvres du professeur. Désirant plus qu'un généreux baiser. Désirant le corps dont elle lui fait l'offrande. La blancheur de sa peau dans des draps de soie à sa vue. La vénération qu'elle lit dans ses yeux, sans limite. Comme si elle, succube, l'avait délivré d'un désir sexuel qui le torturait jusqu'alors. Inassouvi, ou du moins, pas avec la bonne personne. Il en veut davantage, le mâle, l'animal. Virilité dressée pour elle, réclamant sa féminité si chaude, si humide. Elle le veut tout autant, l'amant affamé. C'est de dos, qu'elle l'attend, lui laissant le contrôle de son entrée entre ses chaires roses et gonflées de désir. Il n'hésite pas longtemps avant de s'y présenter. Du bout des doigts, tout d'abord. Subtile caresse qui fait grimper cette tension animale, entre eux. Grimpant un peu plus encore quand c'est son membre qui l'effleure. Soupir de plaisir qu'elle laisse déjà échapper, la belle, puis de soulagement quand il entre. Lui en elle, elle se sent complète, la rousse. Rapidement, le mâle impose son rythme. Râle de plaisir, chez lui, comme chez elle. En elle, l'étalon accélère la cadence. Fort. Toujours plus fort. Et les cris de la rousse sont proportionnels aux coups de rein qu'il donne. Si sonores, si aigus par moment. Et sa poitrine, elle danse au moins autant que leurs bassins l'un contre l'autre. Masses délicates qui s'agitent au rythme de ses assauts. Les mains du trentenaire sur ses hanches, il l'incite à un rapprochement plus fort, encore, plus lointain. Elle le lui donne, la belle, s'offrant à lui, un peu plus encore. Il grogne, le professeur. Ses bras, la belle les étend devant elle, sur le matelas, plantant ses griffes dans la soie. Criant plus fort encore alors qu'il change d'angle, attentif à son plaisir. Son corps entier qui vibre, qui brûle pour lui, pour ce qu'il lui inflige. Elle n'est pas une habituée de la douceur, Louve, adepte de la bestialité au moins autant que son prénom semble le signifier. Dans l'union de leurs corps, la belle se laisse aller. S'exclame de plaisir, prononce le nom du professeur. Wolfgang... À cet instant précis, il sonne si vulgaire entre ses lèvres, si sauvage. Très vite, de nouveau, elle frôle la jouissance du bout des doigts... Et elle l'atteint, de manière grandiose. Comme s'il connaissait le moindre de ses désirs, le trentenaire. Comme s'il savait exactement quoi faire pour la combler. Elle l'est, la rousse, s'écroulant finalement sur les draps quand il la quitte à son tour. Elle l'attire près d'elle, de nouveau, pour ne pas quitter sa chaleur. Pour s'accaparer ce corps auquel elle s'est déjà habituée. Encore, elle vient l'embrasser, la rousse, avec sensualité. Puis, elle repose sa chevelure sur son torse, épuisée. Peau luisante contre la sienne, elle prend le temps de se remettre de ses émotions, se demandant aussi, s'il la vénère un peu plus encore.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyMar 23 Fév - 20:01

Tu t'incarnes dans toute la splendeur de ton nom Wolfgang. Vif et ardent, qui s'affranchit de ses limites. On dit d'une personne qu'elle est louve lorsqu'elle est portée par un désir sexuel exacerbé. C'est peut-être bien vrai. Tu peux la sentir avaler ta luxure au fil de tes heurts, comme nourrie par cette transe déshumanisante et animale au possible. Au plus tu la percutes, au plus tu l'enfonces dans les draps la fille Ziegfeld. Elle s'étiole à travers l'édredon, repoussée par ta force. Par ton bassin qui assène des coups un peu plus bruts à chaque fois, et c'est une brutalité salvatrice. Jamais... Jamais de ta vie... à ce point... la violence n'a semblé t'animer. Acharné dans ta lutte, ta peau claque plus fort, virilité qui glisse à l'infini et qui transmet la chaleur de ta reine jusqu'à toi. Frappé de plein fouet par ces sensations grisantes qui lézardent sous ta peau, tes traits se peignent d'une allégresse fabuleuse, jamais connue jusqu'à maintenant. Même ta femme, à vos débuts... Tu n'as pas souvenir de l'avoir remuée avec autant de sauvagerie... Avec autant de hargne et d'adoration... Et puis... Jamais avec un désir si prononcé, si fou de vouloir délivrer ton essence au sein des chairs amoureuses. Bientôt ta fougue arrive à terme, électrisée par ce moment précis où il n'existe pas de plus haut plafond du plaisir que les cieux. Un dernier coup, un seul, et c'est le fruit de ton effort qui se déverse tout en elle, te dérobe une ode à la joie sans nom et que tous peuvent entendre, même sous la pluie battante. Alors, ton corps faiblit, essoufflé, secoué par les spasmes et l'amour. Lentement tu échoues entre ses bras à elle, cajolé par sa crinière si familière désormais, son parfum qui t'enrobe et t'appelle. Sur ses joues, son nez, son front et ses lèvres, tes baisers se déposent encore. Tendres. Lents. Fatigués. Épris. Yeux dans les yeux. Bleus les uns comme les autres, habités du feu. Tu l'amènes au plus près de toi, décidé à la choyer, la protéger du monde, même brillant de transpiration, de vos combats. Dans sa chevelure embrasée tes caresses plongent. Ton idolâtrie ne cesse de grandir. C'est elle ta femme, elle ton épouse, elle ton brasier, elle ton tout. Dépourvu du remord d'avoir violé le serment qui te lie à une autre, l'anneau continue de luire à ton doigt, alors qu'un rire paisible secoue tes entrailles. À l'oreille qui borde ce visage laiteux, tu murmures, comme une promesse destinée à la femme de ta vie.

-- Toi. Tu es à moi.
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MessageSujet: Re: beast / tw: sexe beast / tw: sexe - Page 2 EmptyMar 23 Fév - 23:24

Sur le grand lit, l'amant malmène la belle. Brusque, intense dans ses coups de rein, il ne la ménage pas, la rousse. Ça n'est pas pour la déranger, elle qui fait rarement les choses avec délicatesse. Aussi animale que lui. Elle l'attendait, cette brutalité dans ses va-et-vient, et c'est dans un cri d'extase qu'elle s'est abandonnée, Louve. Abandonnée à lui, à sa manière de se déchaîner comme s'il n'avait jamais connu une telle chose. Comme si sa femme, elle, ne s'était jamais laissée aller à des positions plus osées. Comme si au fil des années, elle avait fait grandir la frustration de cet homme. Louve, elle ne se plaint pas du rôle de la maîtresse, de l'amante qu'on idolâtre au creux des draps. Les choses lui conviennent ainsi, simplement. Passion charnelle, étreintes enflammées, elle n'attend guère plus des hommes de toute façon. Lui aussi, il termine en extase, bruyant, haletant alors qu'il se remet à peine de ses émotions, de ce qu'il vient de donner à la rouquine. Côte à côte, c'est sa chevelure qui caresse. Luisant, collant, qu'importe. Le trentenaire vient l'embrasser, ici et là, tout autour de son visage. Celui auquel beaucoup donnent le bon dieu sans confession. Terrible erreur, évidemment. C'est du sang Ziegfeld qui coule dans ses veines. Elle retient ses lèvres, la rousse, avant que leurs regards bleus se croisent, se percutent. Désir dans les yeux, complicité créée par tout ce qu'ils viennent de vivre, ensemble. Il l'attire à lui, et elle, c'est sur les côtes de l'homme qu'elle promène ses doigts. Trop fatiguée pourtant pour se lancer dans un nouveau chevauchement intense. Dans ses cheveux, il passe sa main, les caresse. Crinière ébouriffée, étalée sur son torse. Dans son regard, la rousse lit sa vénération, plus forte encore qu'auparavant. Parce que désormais, il connaît son corps, et il rêvera de s'en emparer de nouveau. Elle le sait... Elle le sent dans son regard, lui qui pourtant, éprouvait de la culpabilité avant de se perdre en elle, à plusieurs reprises. Et puis, dans son oreille, il murmure quelques mots à la belle. Beauté libre, indépendante de tout homme, peut-être même incapable de tomber amoureuse. Elle ne sait pas ce que c'est, Louve, d'aimer quelqu'un d'autre que son propre reflet. Pourquoi choisirait-elle un seul homme, quand elle les a tous à ses pieds, disposant d'eux au gré de ses envies qu'elle ne réprime sous aucun prétexte ? « Donne-moi une bonne raison de t'appartenir, Wolfgang. », souffle-t-elle, sourire aux lèvres, persuadée de ne pas pouvoir se donner qu'à un seul homme. Même si son professeur l'a comblée de plaisir, l'ayant faite, à plusieurs reprises, toucher les cieux. « C'était bon, tu sais... Mais je ne cherche pas mon futur mari. », ajoute-t-elle. Ce qui l'a guidée dans cette chambre d'hôtel, puis jusque dans ses bras, c'est cette envie d'en faire une proie au savoureux goût d'interdit. Et surtout, pour satisfaire le monstre luxure qui vit en elle, plus gourmand chaque jour. « Par contre... On pourra recommencer. Ici, ailleurs... Ou avant un de tes cours. Tu aimerais ? », demande-t-elle, dans un murmure. Cette fois, c'est un sourire carnassier qui étire ses lèvres.
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