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| Sujet: (tw) pray for plagues ± wrath/lust Mer 10 Mar - 20:38 | |
| — @Nikita Komarov & @Houna Tchernychev So clap your hands to the sound Of every first born dying now. Watch the rivers turn to blood Death will stand were life once stood Close your eyes. Pray for plagues. Cleanse this earth Bring our doomsday.cette nuit, t'avais pas envie de te coltiner les bons à rien de ta bratva. t'en as marre de leurs gueules houna. ils manquent de rage au bide vos soldats. ça t'mets dans tous tes états. l'armée ça avait le mérite d'être fun au moins. tout ce que t'as maintenant c'est une horde de chiens. cette nuit, t'as fait le mur tri. tu t'es barrée sans rien dire à personne, sans un bruit. juste toi et le moteur hurlant de ta victory. t'as roulé pendant un long moment, le casque vissé tout contre le feu de tes cheveux virevoltants dans le vent. t'es allée du côté de la plage quelques temps. une trace ou deux et t'avais déjà disparu son ton fidèle destrier. tu tiens pas en place, jamais. les choses sont trop calmes ici, t'es de ceux vivant constamment sur le feu, incapables de s'arrêter. de bouger. frapper. penser. t'as bien six coups d'avance sur tous ces connards qui rêvent de te la mettre, faut s'ajuster lorsqu'on est considéré comme le sexe faible. tu vas tous leur faire regretter. la russie, ta pseudo famille de gamins martyrisée, la gru et son entièreté. tu vas tous les faire sauter. ça viendra tu dois juste rester patiente et attendre que les pions s'alignent devant toi. comme les astres le font parfois. tu sauras quand le moment opportun sera là. tu sauras le reconnaître houna. tu continues d'accélérer, prend un virage un peu trop dangereusement. tu crèveras pas d'un accident de la circulation, le pavé imbibé par ton sang. ta motarde touche le sol tout comme la bête faite de métal sur laquelle tu danses un rodéo improvisé. les mécaniques s'emballent au fur et à mesure que ta main énerve l'accélérateur. aucune voitures dans les rues à cette heure. exeter n'est plus qu'un simple terrain de jeu à présent, sans personnes pouvant t'arrêter. --- t'as simplement regagné ton gigantesque appartement puant le luxe et l'illégalité. t'as su bien t'entourer, appelant l'irlandais pour quelques filles à livrer. il n'a pas fallu longtemps avant de te voir plonger tête la première entre ces courbes féminines fraîchement effeuillées. un sac de came éventré contre le bois de la table basse recouverte de poudre faite par les mains de tes petites fées. la bouteille de vodka gisant à vos côtés à moitié vidée. ce soir t'extériorises, toutes canines dehors pour saisir les chaires et les malmener. tes ongles acérés tracent des arabesques rougeâtres sur les couennes que ces catins t'offrent sans la moindre retenue, jamais. tu fais danser ces gazelles quémandant de ton attention. assied ta domination. les langues s'emmêlent, la neige se prend à même les plaines plates de leurs ventres parfaits. tout n'est que souffles, grondements. enfin ça, c'était jusqu'à ce que tu n'entendes un bruit de moteur horrible juste en bas. d'un bond tu t'relèves houna. à moitié nue, la blanche au nez, cyprine faisant briller tes lippes abîmées. rapidement, t'attrapes ton holster en te hâtant près de l'immense baie vitrée. tout le building t'appartient, rares sont ceux sachant pouvoir t'y trouver. tu restes cependant méfiante, un traître est vite arrivé. t'es cependant très vite soulagée. reposes le revolver, remettant la gâchette de sécurité. putain de luxure, il peut pas prévenir lorsqu'il a envie de squatter? plutôt que d'te faire sursauter? "mesdames, la cavalerie est là." que tu feules en imaginant le capharnaüm sexuel dans lequel vous vous apprêtez à plonger. la décadence à son apogée. tu retournes vers les magnifiques créatures que tu possèdes pour la soirée. regagne le cuir de ton canapé. tu peux entendre l'ascenseur descendre puis remonter. lust est sur le point d'arriver. est-il là pour parler business? une mauvaise nouvelle? tout simplement s'amuser? tout est possible avec nikita, t'en auras eu des surprises au fil des années. la cabine d'acier se met à sonner, annonçant l'arrivée de ton invité. les portes s'ouvrent, nouveau félin rejoignant l'arène pour y déverser haine et rage bien méritée. "prochaine fois, tu préviendras. j'prévoirais un peu plus d'encas." que tu balances par dessus ton épaule, l'opale excitée. ton bras gauche, le seul homme sur lequel tu peux vraiment compter. celui qui t'as tout appris, celui pour qui tu pourrais crever. |
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| Sujet: Re: (tw) pray for plagues ± wrath/lust Ven 12 Mar - 17:05 | |
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TW : violence, sang Les dialogues en italique sont en russe. - On en fait quoi, Sabaka ? Le sol se tache de sang que crache la gorge malmenée à la peau teintée de bleu et de pourpre. C’est une mauvaise toux qu’il a, ce gringalet allongé au sol, les pieds liés et les mains tout autant derrière le dossier d’une chaise qui ne sert plus vraiment à rien. Le visage tuméfié du jeune homme laisse deviner de longues heures de passage à tabac, ses dents qui jonchent le béton laissent imaginer la difficulté qu’il a eu à se faire comprendre une fois qu’il s’est décidé à cracher le morceau. Autour de lui, quatre hommes vêtus de cuirs, casques de moto posés plus loin, l’un d’eux teinté d’un rouge qui ne s’y trouvait pas quelques heures plus tôt. Trois d’entre eux sont immobiles, mains dans le dos, attendant patiemment que celui tournant autour du malheureux ne se décide enfin. Les semelles des bottes claquent dans un rythme lent, cruel, se mêlant au souffle erratique de l’homme dont la vie se joue en cet instant, ce dealer, cette vermine insignifiante qui a cru bon de garder une partie du pognon de ce qu’il revendait en créant un marché parallèle. Mauvaise idée, stupide idée, il a vraiment cru que les russes ne se douteraient de rien, il doit être sacrément con ou foutrement mauvais en mathématiques. Mais une chose est sûre, c’est qu’il est pas assez loyal pour pas balancer ses petits copains. Dans le carnet que Nikita range dans la poche de son blouson de cuir, les noms et adresses de ses complices à qui il rendra visite très prochainement pour récupérer les biens de la Bratva, ainsi que quelques intérêts. Et dans son autre main, la photo d’une jolie donzelle qui le fait sourire.
- Pas mal du tout ta copine dis-moi. J’m’occuperai bien d’elle t’en fais pas. L’accent qui tranche, le sourire qui glace le sang, le regard qui donne pas vraiment l’impression qu’il plaisante. - La touche pas espèce d'enf... La botte coquée qui s’enfonce dans l’abdomen, le souffle qui se coupe brutalement, une énième larme qui perle au coin de l’oeil dissimulé par les hématomes qui le cernent. Il devrait p’t’être se contenter d’fermer sa gueule, et Nika se fait un plaisir de le lui lui signifier de la sorte, s’accroupit face à lui bien qu’il ne puisse plus le voir, et lui agrippe les cheveux pour lever ce qui lui reste de visage vers lui. - T’as p’t’être pas remarqué, mais t’es loin d’être en position d’imposer quoi qu’ce soit. C’qu’on va lui faire, ça dépend pas d’toi. Mais surtout t’en fais pas, d’ici quelques instants tu penseras plus à t’soucier d’tout ça.
La main lâche violemment la tête qui retombe au sol dans un son sourd couvert par un énième gémissement du gamin à qui on ne laissera plus l’occasion de doubler qui qu’ce soit. Nikita se relève, embrasse la photographie et la confie à l’un des hommes patibulaires.
- Trouvez-la et am’nez-la à Gluttony. Et butez-moi ça, il nous servira plus à rien. Le jeune dealer s’agite au sol, pris de panique, appelle à la pitié des slaves tandis que le chien fou tourne les talons et sort de la pièce, laissant derrière lui éclater un “BANG” que suit un long silence, celui de la tranquillité jusqu’à ce qu’une autre vermine ne se risque à nouveau à marcher sur les plates bandes de la Bratva. Casque rougi en main, Nikita quitte le QG et enjambe enfin sa moto. Le moteur vrombit, le phare crache sa lumière blanche au milieu de la forêt déserte, et l’engin disparaît dans la nuit noire, laissant derrière lui l’ombre de la faucheuse venant réclamer une nouvelle âme.
☾ ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ La moto s’arrête en bas de l’immeuble, le motard se redresse et pose la main sur son épaule qu’il fait doucement bouger en pestant en russe. Foutue blessure par balle, c’est loin d’être la première mais c’est toujours aussi contraignant, et les coups assénés au gamin des heures durant n’ont pas aidé à estomper la douleur. Le bandage est propre, la plaie date de quelques jours, blessure parfaitement soignée par une autre de ses protégées à qui il a promis de garder le secret quant à sa réelle identité. Même Tri en sait rien, c’est dire si l’autre gamine a presque autant d’importance qu’elle. Piat est devenue un véritable atout pour la Bratva au fil des années, a compensé sa faiblesse physique par une intelligence redoutable, s’est rendue plus indispensable que tous ces gros bras tout juste bons à servir de chair à canon, et elle est celle que Lust va voir lorsqu’il s’fait amoché quand il fait des extras. C’est qu’il prend parfois des décisions sans avertir Wrath, agit dans l’urgence plutôt que d’laisser l’temps à l’adversaire de s’préparer à une offensive. Il peut pas s’permettre d’appeler Houna au moindre différend, peut pas convoquer les grosses huiles quand c’est une question d’temps. Alors il agit comme il sait le faire, avec violence et sans pitié, prend des risques inconsidérés en s’passant des renforts qu’il aurait pu avoir en ayant pris l’temps. Comme cette fois où il a surpris un d’leurs hommes en train d’s’acoquiner avec un gang rival. Qu’est-ce qu’il aurait pu cracher de plus comme informations si Nika s’en était retourné au QG ? Trop, beaucoup trop. Mais plus maintenant; Plus avec du plomb dans la cervelle.
Les portes de l’ascenseur se referment sur lui, Nika retire son casque et siffle une mélodie bien d’chez lui durant son ascension. Il est tard pour un compte-rendu surprise, mais Nika aime le boulot bien fait, et ça fait des semaines qu’ce petit dealer de merde mettait des bâtons dans les roues d’la Bratva. Alors même si c’est pour passer cinq minutes annoncer la bonne nouvelle à Houna, ça vaut toujours l’coup d’se déplacer pour voir un bout d’son p’tit cul avant d’aller s’coucher. Et les portes s’ouvrent sur la silhouette noire qui relève la tête et dont le visage se fend d’un large sourire devant ce qu’il découvre. Multitude de corps entremêlés sur l’immense canapé, crinière rousse au centre de la mêlée, ce spectacle vaut la peine d’être vu, s’imprime sur les rétines du russe qui avance, les yeux rivés sur les courbes qui se chevauchent et qui ondulent, qui font fi de sa présence, ou presque, le profil de Tri se dessinant par dessus une épaule lorsqu’elle l’interpelle.
- J’saurai m’en contenter... Qu’il lui répond, alors que son casque tombe à ses pieds et qu’il s’avance vers ce spectacle divin. Il les dévore des yeux, toutes autant qu’elles sont, reconnaît certaines des filles qu’il a testées chez les irlandais, d’autres qu’il gardait en tête pour d’autres fois, il retrouve la peau d’albâtre de l’orpheline encadrée des jambes d’une autre. Lust a le regard qui brille, Lust fait honneur à son nom, reste là et mate cette danse de corps alanguis et affairés, les uns contre les autres. Les rejoint pas encore, admire c’qui s’offre à lui, cette femme au milieu d’toutes les autres qui retient mieux son regard et son attention. Nika s’assied sur la table basse, s’fout à leur hauteur, voit mieux, voit plus près, croise des regards qui l’invitent, celui d’Houna qui l’possède. On a eu l’abruti qui r’vendait la meth. Il nous posera plus d’problèmes. Compte-rendu éclair, il lâche ça comme si c’était pas l’plus important maint’nant, parce que c’est clairement pas l’cas, pas c’qui lui envahit l’esprit, à en juger par la vitesse à laquelle il s’retrouve à l’étroit dans son jean. Mais il fonce toujours pas, attend pas d’invitation pour autant. Il mate, profite d’la beauté de l’instant, de celles des corps, des bruits, des voix, de Houna dans tout ça.
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| Sujet: Re: (tw) pray for plagues ± wrath/lust Mar 23 Mar - 12:20 | |
| — @Nikita Komarov & @Houna Tchernychev So clap your hands to the sound Of every first born dying now. Watch the rivers turn to blood Death will stand were life once stood Close your eyes. Pray for plagues. Cleanse this earth Bring our doomsday.il y a bien longtemps, t'étais rien d'autre qu'une orpheline, une gamine pommée. un sac d'os que l'on a forcé à revêtir des couleurs de l'armée. à quatre ans t'as été récupérée, emmenée dans une base secrète pour être entraînée. tu comprenais pas grand-chose mais tu te rappelles de ta peau gelée. du bleu de tes veines qui ressortait. tu te rappelles de l'acier sectionnant tes chaires, imprégnant tes papilles entre tes lèvres ensanglantées. t'as été élevée à la dure, t'as été violée, droguée. mais il a toujours prit soin de toi. il a toujours fait en sorte que tu survives houna. parfois tempérant les généraux à qui tu avais manqué de respect. parfois en arrêtant une bagarre contre adin qui aurait pu mal tourner. sauvant sièm de leurs griffes quand tu le lui demandais. nikita était ton supérieur. votre instructeur. gardien de bien des secrets, dont vos identités. il est celui qui t'as rendu la tienne, te délivrant du chiffre trois. tri, tri pour trois qui n'est plus, repos soldat. houna est la grande gagnante du combat. finie d'être une chienne de l'armée, fini d'être bien dressée. l'horloge sonne la vendetta. la vengeance cinglante de la mafia. si t'en es reine aujourd'hui c'est grâce aux pères prestwich et komarov. à leurs yeux t'étais le meilleur candidat. tu t'es légèrement faite attendre, désirée. t'as dû te débarrasser de nol en route, la refourguer à quelqu'un de confiance pour qu'elle puisse vivre en sécurité. ton petit caprice, ton dernier doigt à la gru, bande d'enculés. lorsque t'es arrivée à londres, c'est nikita qui était là. c'est lui qui t'attendait. la gueule ravie d'avoir finement tout comploté. le cerveau a la sexualité contestée. pff toi tu l'as toujours trouvé dans la norme lust, rien d'étrange à signaler. il est ton premier. ouais, le tout premier à qui tu t'es donnée. de ton bon vouloir, pas comme l'autre enfoiré t'ayant violé. pour ça aussi il t'as couvert, sans broncher. tu lui dois tout, tout ce que t'es. t'es rien sans lui houna même si tu détestes avoir à te l'avouer. tu grognes en retournant près du sofa. il aurait au moins pu te prévenir de sa venue nika. c'est pas comme si envoyer un texto c'était compliqué. ou bien passait-il dans le coin, sûrement avec une idée derrière la tête pour pas changer. les poulettes attendent, désireuses de reprendre vos parties de corps à corps là où tu les as laissées. tu pestes encore une fois avant de regagner le cuir confortable du canapé. derrière vous, l'ascenseur se met à s'agiter. gagnant le rez-de-chaussée pour mieux remonter jusqu'au ding foutrement familier. chez toi pas de porte d'entrée. une seule issue pour rentrer, une seule issue pour sortir et toi tout mieux contrôler. sur tes cuisses, une jolie donzelle bien cambrée. offrant sa croupe au bon vouloir de tes doigts ou ta langue bandée. tu crèves la dalle, t'es salement excitée. pour ça tu peux remercier la vodka et la neige que t'as dans le nez. alimentant constamment cette colère te faisant fonctionner. tu finis par détourner le regard en direction du molosse faisant son entrée. tu râles sur le fait que tu avais prévu de dîner seule, mais bon, tu peux bien partager. le péché de la luxure répond, la rétine noircie par le spectacle donné. le russe s'installe sur la table basse, le cul royalement vissé. tes lèvres embrassent la peau découverte leur étant offertes alors que tes opales se plantent dans celles de ton bras gauche, joueuses. tes dents se plantent dans l'épiderme clair de la danseuse. t'as le droit à un compte rendu éclair sur un cas qu't'avais presque oublié. "mhh." t'acquiesces faisant rouler la belle sur le côté. tu t'relèves et contre nikita tu t'installes comme s'il t'appartenait. "t'as bien bossé." à ses oreilles tu ronronnes, feulement discrètement glissé. pour lui ça devait pas être bien compliqué mais tu remercies toujours tes collègues pour le travail bien exécuté. à califourchon tout contre le russe, tes doigts claquent et les belles s'attroupent autour de vous et font tomber la veste de cuir de votre invité. "racontes moi tout, te fais pas prier." brûlante et désinvolte tu repousses toujours plus l'animal dans sa folie, parce que lust est beau lorsqu'il se laisse aller. lorsque sa rage finit par tout décimer. "c'ton calibre que j'sens où t'es ravi d'te retrouver là où t'es?" canines toutes dehors pour ponctuer. tes bras se nouent autour de sa nuque pour l'entraver, à toi l'attirer. ouais il est promis, voué à se marier. mais jamais tu ne le laisseras te quitter. jamais tu ne le laissera s'en aller. ton bassin se presse au sien, vient le chercher. le bout de tes ongles retrace les contours de sa mâchoire parfaite et de sa barbe mal taillée. l'une de tes mains se plonge entre vos bas-ventre, s'acharne contre sa ceinture pour mieux la faire sauter. à ton humble avis, ça serait dommage qu'il finisse étouffé. pour l'instant tu te délectes de la façon que t'as bien à toi de le faire vriller. ne quittant aucunement son regard dans le tien bien ancré. "du coup tu disais, le merdeux à la meth. tu l'as corrigé?" punition sacrée. bang bang le voilà cané. |
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| Sujet: Re: (tw) pray for plagues ± wrath/lust | |
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