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tw- (QG) closer ± lorna


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: tw- (QG) closer ± lorna tw- (QG) closer ± lorna  EmptyJeu 25 Fév - 2:37



@Lorenzo Vincci & @Houna Tchernychev
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My whole existence is flawed
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You can have my isolation
You can have the hate that it brings
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le chaos règne à l'intérieur du qg. le cul posé, tu règnes comme tu l'es supposée. car aleks n'est pas là pour tenir les rennes à tes côtés. avec sa douce colombe bien trop occupé. les émotions, l'unique chose pouvant l'entraver. l'écarter du pouvoir dont il a hérité. l'amour est une faiblesse. seul les pleutres s'y abaissent. tu n'as besoin de personnes, tu ne tiens à qui que ce soit. prête à sacrifier jusqu'au dernier soldat. rien ne compte si ce n'est le pouvoir, la mafia. sur l'une de tes mains, une trace prête à être consommée. dans l'autre, une vodka prête à être avalée. t'enchaînes tel un maestro, dans une ambidextrie parfaite. ça te montes au crâne, te le vrilles la tête. comme l'aurait fait la pire des lobotomies. quelques secondes de brouillard tri. puis la lucidité. s'alignent tes pensées. cette nuit beaucoup des tiens sont absents. pride, lust, greed. les trois plus grosses têtes régnant à tes côtés et pourtant. ce soir tu attends. un invité. pas des moindres, de ceux avec qui il y a du business à traiter. quelques filles à monnayer. un possible partenariat à coucher sur le papier. ou bien dans le sang. plus contemporain, dans l'air de votre temps. sur chacune de tes cuisses, une pute que tu ne peux t'empêcher de peloter. glutony à de bons goûts en ce qui concerne l'est et ses beautés. l'accent qui roucoule, les formes à se damner. tu t'en branles qu'elles soit instruites du moment qu'elles se laissent baiser. ta langue retrace les contours de tes canines acérées. le regard félin, les pupilles dilatées. sloth derrière son bar se contente de servir et d'astiquer. tu te demandes comment un vieux de la vieille peut se satisfaire de peu comme il le fait. la paresse; l'homme qui a vécu tout ce qu'il pouvait bien avoir à expérimenter. la gloire, la défaite. la joie, la douleur d'une perte. l'une de tes salopes roucoule à ton oreille, s'impatiente d'un peu plus d'intimité. "doucement bébé, chaque chose en son temps." que tu lâches entre tes dents. t'ignores quelle heure il est. si ton hôte sera à ponctuel où bien s'il se fera désirer. pour le moment; tu t'ennuies fermement. fortement déplaisant. une ou deux bagarres éclatent mais ce soir aucuns paris ne sont prit. votre bookmaker en chef étant absent, aucun ne s'y risque tri. pathétiques, en manque d'ambition. tes soldats te couperaient presque toute inspiration. t'as besoin de leur montrer. ce que t'attends d'eux, quel type de bestialité ils doivent adopter. les poulettes volent de tes genoux, ton verre manque de valdinguer. tu te jettes dans l'arène, le cuir sur tes épaules rejoignant le sol à la volée. tes phalanges craquent, tu te jettes dans la mêlée. pas de poing américain, pas de seringues pour t'aider. une déculottée à l'ancienne, comme on te les a inculquées. t'es comme une dingue dès que l'hémoglobine se met à gicler. imprégnant ton épiderme, venant le maculer. tes poings se mettent à brûler. gauche, droite en crochet. aucun n'ose riposter, tous se titanisent lorsqu'ils te voient arriver. personne pour relever le niveau, pour te défier. t'as pas le temps d'être à bout de souffle et pour ça tu peux remercier l'armée. la gru, celle qui t'as formé. depuis bambin, quasiment depuis que t'es née. tri, houna. l'enfant soldat. tu es l'un et tu es trois. ce foutu mantra. pour ne pas te perdre, te retrouver lorsqu'il fait froid. lorsque tu perds la tête, que tu n'es plus vraiment toi. les corps se couchent, tel moïse. il sépare la mer toi tu improvises. wrath, messie des combats.

viens glutony, la mine intéressée. pour une fois que celui-ci n'est pas entrain de se planquer. "il est là." peu sont les fois où il se trouve doté de paroles, mais généralement tu apprécies. c'est que tu te serais presque impatientée, l'excitation monte et t'envahis. t'en as entendu parler, de vincci. de son trafic, de ses filles. de son domaine, de la manière dont il place ses billes. à tes yeux il a tout d'un bon allié. et la chose étant qu'il à quelques filles à remplacer. vous êtes les meilleurs sur le marché. dociles, soumises et bien éduquées. vos filles sont fiables, de bonnes putes méritant de bosser. des nanas désespérées. trop faibles pour saisir, empoigner ce qui est leur et le clamer. tout comme tu l'as fait. écrasant sur ton passage chaque concurrent. tu te retournes, trempée. de sueur, de sang pour ce que t'en sais. tu tombes sur un rital, les cheveux bien coiffés. la peau dorée, couenne tatouée. d'un revers, t'essuies tes lippes fraichement tuméfiées. crache au sol quelque chose couleur pourpre, ensanglanté. t'enjambes un, deux corps inanimés. alerte, prête à bondir pour attaquer. constamment sur tes gardes, lionne affamée. faut avouer que ce qui s'offre à tes yeux n'est pas désagréable à regarder. un poil trop lisse cependant, trop parfait. ça manque de bosses, d'os brisés. un rictus t'agites, lèvres s'étirant en un sourire démesuré. "oh my, oh my. regardez ça les gars, quel beau garçon!" autour de vous, le silence plat. tout le monde se tait, retient son souffle houna. assez proche de lui, sur son derme se pose la pulpe de tes doigts. voyez vous ça. aussi doux que la peau des biches qu'il emploie. "merci glutony, ça ira." le ton sec, sans appel il n'en faut pas moins pour que la gourmandise tourne les talons. tu tournes autour de ton invité tel un vautour, les autres connaissent déjà la chanson. celle de l'intimidation. que tu chantes à la perfection.
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Janet Wright
while she waltzes with ghosts
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Janet Wright
∴ Pseudo : May
∴ Faceclaim : Hathaway
∴ Merci à : AV; Walden Gif; prettygirlgif SIGN; Anaelle
∴ Âge : 39 ans, la quarantaine qui approche, les rides qui se forment au coin des yeux.
∴ Mood : tw- (QG) closer ± lorna  5482d2e35b19a1591c922a097b394081e56de6ec
∴ Pronom inrp : She/Her
∴ Occupation : Joaillière. Elle connaît chaque pierre précieuse, chaque particularité. Elle a des collections qui ont été vendues à la famille royale.
∴ A Exeter depuis : Depuis bien des années. C'est son petit coin de pays. Elle l'aime autant qu'elle le déteste.
∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
∴ Géolocalisation : Se promène entre le manoir Wright et l'hôpital pour tenir la main de son époux.
∴ Vice : L'alcool, les narcotiques, la lingerie (elle dépense de ouf dans la dentelle)
∴ Triggers, refuse de jouer : Viol, pédophilie, cruauté animale.
∴ Triggers Warnings : Cancer, dépression, addiction à l'alcool et la drogue, mort, sexualité.
∴ Posts : 23
∴Arrivé le : 23/02/2021
MessageSujet: Re: tw- (QG) closer ± lorna tw- (QG) closer ± lorna  EmptyJeu 25 Fév - 18:50



@Lorenzo Vincci & @Houna Tchernychev
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Russe. Tu ne leur fais pas confiance. Non. T’as besoin de savoir que tu es en contrôle. De tout. T’as beau retourné la question dans tous les sens… Cette alliance, malgré tes réticences, te semble la mieux, la plus juste. Gitane coincée au coin de tes lèvres, tu fais les cents pas dans ton bureau. Main dans une poche, tu passes l’autre dans ta tignasse avant de jeter un œil à l’heure. Juan, fidèle acolyte finit par entré, te saluant. «Tout est prêt, pour qu’elle soit enterrée. Le prête est là, aussi.» Tu hoche la tête, venant prendre ta veste, la passant en un tour de bras. Tu dois partir bientôt, mais que serait la conséquence si tu n’enterrais pas cette pauvre fille? Plus grave que d’arrivé quelques minutes en retard à un meeting au sommet, non? Tu sors le premier, suivi de près par Juan et ta suite. Hommes de mains, tous plus armés les uns que les autres. Tu ne prenais pas la chance de te faire tirer. De crever par une balle qui aurait pu être évité sur tu avais été protéger. Tu avais gouter ce gout de mort que laisse la chaleur d’un plomb dans un abdomen. Tu émerge dans le jardin. Le corps dans un sac de jute, le prêtre qui lève les yeux au ciel, marmonnant. Tu approches, haussant un sourcil. «Mi padre.» L’accent italien qui coule sur ta langue comme du bon vin. L’homme de foi qui commence à son sermon, toi qui respecte affreusement ses derniers mots, avant que le corps de la demoiselle ne finisse dans la tombe. Une rose balancée sur le corps, ta gitane qui suit. Tu regardes l’heure. «Merci mon père, on se revoit bientôt.» Toute personne normale aurait eu froid dans le dos en entendant tes paroles, mais lui, il se contenta d’hocher la tête et de prendre l’argent que Juan lui tendait. Le silence serait absolue. C’était comme ça dans votre monde. Ton corps qui traverse la demeure avant de se rendre à la cuisine. Une tasse de café noire t’attend, la croupe d’une demoiselle, plus qu’invitante. L’envie de la prendre là, maintenant et pourtant… Tu te fais violence, venant tout de même coller ton corps à son derrière, promettant de t’occuper d’elle à ton retour, tes doigts glissant le long de sin abdomen, prêt à vouloir caresser sa féminité. Tu chasses ces pensées avant de venir vider l’expresso d’un seul trait et de te rendre vers la sortie. Les russes, ils n’aiment pas attendre.

La pénombre qui se faisait sur la ville, le sommeil qui te gagne, ta clope qui se consume. Tu as déjà hâte que ce rendez-vous soit finit. Tu racles ta gorge avant de sortir du véhicule, boutonnant ton veston, suivi de près de Juan, il te colle au cul, tel une mouche, mais c’est la norme. La place est… Loin d’être charmante. T’as l’impression que s’est défraichi. Vieux et aigri. Comme les russes. Tu te présentes, souriant, clope toujours au bec. T’es attendu, très attendu même et tu es en retard. Tu hausses les épaules. «Les meilleurs vins sont ceux qui ont mis du temps à arriver. Et je ne suis jamais en retard. Ce sont les autres qui sont d’avances.» Tu fixe l’homme, avant de tendre la main vers ta poche, sortant une nouvelle clope que tu coince entre tes charnues. Tu n’allais pas perdre cette vieille habitude pour une bonne femme. Lissant ton veston, tu fis craquer ta nuque avant de suivre le petit trapu. Tu hausses un sourcil quand on retient tes hommes, les fouillant. Quelle façon de recevoir des invités. Nulle un peu. Tu grognes avant de t’arrêter devant le spectacle. Presque décevant. Pire encore quand tu vois cette tignasse rousse se redresser, cracher, repousser le sang qui perlait sur sa gueule de fausse dame de la haute. Ton regard se pose sur elle. Elle qui approche telle une chasseresse. Elle qui ose toucher ta main, complimente ta peau douce. Est-ce mal d’entretenir son corps? Non. Par contre, pour la gueule de la rousse on repassera.

Elle te tourne autour, telle un vautour. Comme si clairement, elle était défoncée à la coke, à la recherche de son prochain repas. D’un geste vif et expert, tu l’attrape par la gorge, la serrant, sans aucune douceur, la poussant contre le premier bar que tu croises. «Je ne suis pas venue perdre mon temps avec une pétasse russe qui se pense tout permis. Si c’est toi, la chef, présente toi comme telle et non comme une vulgaire soldat qui s’est laissé fendre la lèvre.» Ta langue claque contre ton palais avant que tu le recules, la libérant. Ses hommes prêts à te sauter dessus, à venir rendre les coups pour leur Reine. Tu hausses un sourcil avant de tirer sur ta clope, reculant encore de quelques pas. Elle est bonne, la russe. Petite poitrine, mais assez pour être aimée avec tendresse, chatte sûrement encore bien étroite. À ses hanches, ont peu devenez qu’aucun gosse y à frayer un chemin. Ton regard foncé se pose sur le barman. «J’espère que vous avez de la grappa. Ou du moins un truc fort, parce que pense que ça sera nécessaire. Et puis pour l’amour du ciel, donnez-lui un torchon pour éponger sa gueule de pouf. Elle va mettre du sang partout sur mon costard.» Rien à foutre qu’elle souffre ou pas, la russe. Qu’elle cri de douleur, c’est bien. Encore mieux quand une bite s’enfonce dans sa chatte, mais ça, c’est un autre chapitre à votre rencontre. Tes hommes qui finissent par débouler, tous aussi surpris par la scène. Tu te passes une main sur le visage, essayant de garder ton calme. «Belle façon d’accueillir les invités. C’est d’une hospitalité, ma foi… Fabuleuse.» Le sarcasme qui brule tes mots, avant que tu ne sortes des billets, les posant sur le bar. «Pas que le verre. La bouteille.» Tu allais certainement en avoir de besoin, vu la dégaine de la Reine.

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MessageSujet: Re: tw- (QG) closer ± lorna tw- (QG) closer ± lorna  EmptyVen 26 Fév - 2:13



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t'aimes pas ces foutus italiens toi houna. c'est physique, c'est comme ça. trop orgueilleux, imbus d'eux même avec leur foutu accent. on peut parler des russes, les ritals sont encore plus agaçants. généralement tu leurs coupes la langue histoire d'avoir la paix, ou du moins un semblant. tu ne leurs fait pas confiance mais c'est pas différents des autres chiens que tu méprises tout autant. ils te planteraient dans le dos à la moindre occasion, donc restons méfiants. ce soir t'as un bien drôle d'invité, suggéré par glutony. la connaissance du cousin du frère d'un ami. t'as fais tes recherches, ou plutôt lust les as faites pour toi. ouais, c'est à ça qu'ils servent les soldats. t'es restée bien tranquillement sur ton trône perchée. lascive, l'opale affûtée. la coke dans le nez pour faire monter la pression, tendre les ressors déjà prêts à exploser. tic tac boum. t'es pire qu'une grenade dégoupillée. aussi instable que les mélanges chimiques dont tu gardes le secret. wrath la reine des poisons, talent qui n'a pas encore été mit en avant. que tu gardes précieusement. il a bien fallu que tu te battes un peu pour faire passer le temps. t'y peux rien si tu ne supportes pas ces bons à pas grand chose quand t'y réfléchis bien. putain. faut tout reprendre à zéro, depuis le départ de prestwich père y'a du laisser aller entre vos rangs. t'as bien mené une petite épuration, t'as pas besoin de tapettes tout justes bonnes à aller chialer chez maman. alors t'as laissé couler le sang. de pourpre se sont gorgées tes mains. comme à ton habitude, comme tu l'as fait hier et comme tu le feras demain. machine à tuer. enfant de l'armée. la faux numéro trois. devenue gros bonnet de la mafia. le problème étant, chaussure à ton pied semble difficile à trouver. celui qui t'éteindras n'est pas encore né. c'est une certitude, aucun besoin de discuter. la seule personne capable de te mener jusqu'à une fin certaine c'est toi. ça sera splendide, t'en es sûre houna. t'es de ceux qui partent à la guerre, sur le champs de bataille, en un fracas. tête baissée. la kalashnikov chargée. puis si la fin devait arriver, qu'est-ce que ça changerait? un autre connard viendrait te succéder. avec plus ou moins de facilité. dans une centaine d'année ton nom sera oublié. comme si tu n'avais jamais vu le jour. comme si tu n'avais jamais existé. du carmin vient tacher le béton humide du sol sur lequel tes pas brisent le silence depuis peu installé. enfoiré d'européen, rien que sa gueule suffit à t'énerver. t'es une hyène tri, profitant de la pénombre de l'endroit pour te montrer sous ton plus beau visage. celui d'un monstre pleinement dans son élément.

tu te moques ouvertement. tu fais marrer l'assemblée. qu'ils observent tous attentivement le joli minet vient de faire son entrée. mais vincci ne semble pas d'humeur à blaguer. il t'attrapes par la jugulaire et t'envoie voler. ses phalanges enserrent ta gorge gracile avec poigne, fermeté. proximité entre vous, souffle brûlant s'échappant de ses lippes pincées. ton sang se met à bouillonner. beaucoup trop joueur qu'il est. il te crache à la gueule de belles paroles puant le patriarcat. juste de quoi te refiler la nausée; et puis quoi? tes hommes sont tendus, prêt à bondir si jamais tu leurs demandait. ta main raide leur indique de maintenir leur position, il est encore trop tôt pour le bain de sang pas vrai? t'es finalement à nouveau libre de respirer. l'enfoiré fanfaronne comme si les lieux lui appartenaient. comme si t'étais l'une de ces putes qu'il s'amuse à molester. pas étonnant qu'il soit à court de poulettes. qu'elles finissent par disparaître, ou prendre la poudre d'escampette. un bel enfoiré, spécimen rare que t'as devant toi. mais t'es pas impressionnée houna. t'as été élevée par des hommes comme ça. méprisant ce que t'es. méprisant tes capacités. si clarence avait été là, l'italien n'aurait pas eu le temps de lever ne serait-ce que le petit doigt. t'as pas besoin de ton bras droit pour te défendre, on lui changeait encore ses couches que tu t'occupais déjà très bien de toi. "repos soldats." dents serrées, l'ordre est donné. la foule semble se déraidir, toujours plus ou moins prête à se jeter dans une éventuelle mêlée. sloth, bien loin d'être aimable quant à la requête de ton invité sort son arme fétiche de derrière le comptoir. canon posé à même le bar. la paresse semble toujours prête à en découdre, surtout lorsqu'elle se sent insultée. de tous ici, il est l'un des plus respectés. de plus le message qu'il vient d'envoyer semble très bien dicté. le proxénète après t'avoir longtemps reluqué comme si t'étais un vulgaire bout de gras quémande une bouteille en claquant quelques billets. un mètre cinquante doit vous séparer tout au plus, trois le séparent de son acolyte. t'as largement le temps de prendre le dessus, de lui montrer qui tu es. de plus, il serait stupide pour lui de risquer sa vie aux vues d'un écart numérique aussi marqué. la suite des évènements est rapide, il faudrait une vue parfaite pour réussir à capter le moindre mouvement. une demie seconde te séparait de son dos, le saut est bien exécuté. tu joues de ton poids pour lui faire perdre l'équilibre, contre le bois du comptoir s'écraser. sloth lui attrapes les bras avec une lueur animale dans le regard, comme s'il rêvait de pouvoir lui couper. après un tel affront tu ne dirais pas non, cependant une alliance risquerait d'être difficile à conclure après ça. ça ferait désordre houna. contre sa carotide, la pointe argentée d'une seringue vient le chatouiller. à quelques millimètres de sa peau, prête à piquer. "je te déconseille très fortement de jouer à qui pisse le plus loin. je gagne. moi." feulement à peine audible, lui seul peut percevoir ta voix. "la salope de russe, elle en bouffe cinq par jour des comme toi." l'étau se raffermit, personne n'ose se dresser entre vous tri. "la prochaine fois que tu me touches, j'te prend tes doigts. si t'essaies encore ça sera les bras. ainsi de suite et j'manque pas d'imagination." ah ça non. pour ce qui est de la torture tu en as sous le pied. l'aiguille suit les courbes parfaitement dessinées des veines crépitantes sur lesquelles tu ne peux t'empêcher de lorgner. tu n'aurais pas besoin de la moindre force pour le crever. ça pourrait être rapide, propre pour changer. "alors maintenant cabot, tu vas t'excuser. sinon tes hommes sortiront pas d'ici vivants et leurs veuves n'auront rien pour pleurer. leçon numéro une, si tu tiens à tes couilles, les femmes tu les traites avec respect." cinq de tes doigts enserrent sa chevelure sombre de geai. basculant son visage vers l'arrière pour continuer de le défier. "allez, maintenant tu vas hocher la tête pour me montrer que t'as bien compris. alleeez un petit effort, faut montrer l'exemple vincci!" railleuse comme à ton habitude, le pouvoir brûlant tes doigts. la rétine folle, le myocarde sur le point d'imploser t'es comme une furie houna. la prochaine fois que glutony aura une idée, tu sauras à quoi t'en tenir tu lui diras d'aller se faire enculer. traiter avec les européens, quelle foutue idée.
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Janet Wright
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∴ A Exeter depuis : Depuis bien des années. C'est son petit coin de pays. Elle l'aime autant qu'elle le déteste.
∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
∴ Géolocalisation : Se promène entre le manoir Wright et l'hôpital pour tenir la main de son époux.
∴ Vice : L'alcool, les narcotiques, la lingerie (elle dépense de ouf dans la dentelle)
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MessageSujet: Re: tw- (QG) closer ± lorna tw- (QG) closer ± lorna  EmptyVen 26 Fév - 18:55



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Elle est dérangeante. Et tu n’aimes pas ce qui est dérangeant. Tu grognes, tu la détailles. Non pas comme un vulgaire morceau de viande, mais plus comme un œuvre d’art. Ton regard, si sombre est-il, n’a rien de mauvais pour une fois. Oh, tu n’as pas apprécié son accueil, c’est vrai, mais encore. La clope au bec, tu laisses la demoiselle reprendre ses esprits alors que tu réquisitionnes de l’alcool. Tout ce sang autour de toi te donne la gerbe, alors vaut mieux faire passer le goût. Pourquoi, le bedonnant derrière le bar ne semble pas très enclin à répondre à tes attentes. Tu fronces le nez avant de te rapprocher, brisant la distance entre la rousse et toi. «Tout ton personnel ont des problèmes auditifs? Dois-je parler russe pour me faire comprendre?» Tu la détailles de nouveau de la tête aux pieds avant de n’avoir aucune marge de manœuvre. Elle se retrouve sur ton dos, le bras autour de ton cou, une seringue proche de ta jugulaire. Tes bras qui se retrouvent plaquer contre le bois abimé du bar. Tu grogne tel un chien enragé. Cette salope va payer, c’est officiel. Pourquoi acceptais-tu de dealer avec ce genre de gonzesses? Tu la laisses prendre son pied, admiré tes veines. Tu serres la mâchoire, alors qu’elle te parle de tes doigts. Tu souris. «Encore, j’en aurais de besoin pour te faire plaisir… À moins que tu préfères la langue.» Même langue que tu fais claque à ton palet. Tu lâches un léger rire, alors qu’elle attrape ta tignasse. Étrangement, elle réussit à attiser un certain désir dans ton pantalon. Tu le sens, ce feu qui commence à bruler dans ton bas ventre. C’que ça peut être sexy une femme qui domine. Elle te demande d’approuver, d’hocher la tête pour que tu montres l’exemple. «Sinon quoi, ma belle?» Ton regard se pose sur le vieux. T’aurais presque envie de lui cracher au visage, mais tu devais te montrer… Docile? Tu finis par sourire, jeter un regard oblique à la rousse. «Ok, je te laisse gagner… Tuez mes hommes, ne te rapporterait rien de toute façon ma chérie…»

Tu finis par te libérer de la poigne du vieux, qui t’as sûrement libéré après un accord visuel de sa patronne. Tu la sens qui glisse contre ton dos, qui retombe sur le sol. Le cœur qui palpite encore, t’as envie de baiser là. Tu viens tirer sur ta chemise, époussetant les quelques poussières qui se retrouvent sur ton veston avant de voir l’homme te ramener un verre, que tu prends, le vidant d’un seul trait. Tant pis si tu as à crever. Tu reposes ton regard vers la belle. «Je dois dire que je suis impressionné. C’est vrai. Malgré votre dégaine de merde et le sang sur le bord de votre gueule. Vous semblez en contrôle… Y’a moyen de discuter dans un lieu plus… privé?» Tu lui souris avant qu’elle ne te jauge. Avec raison. Elle pourrait prendre peur. Ou être méfiante. Tu attends qu’elle ne tourne les talons avant de la suivre. Vos chiens de gardes respectifs sur les talons. Ton regard glisse tout de même sur son corps. Filiforme, mais musclé. Ça te fait sourire, alors que tu balances ta clope sur le plancher, l’écrasant du bout du pied avant de pénétrer dans son bureau. Ton regard fait le tour, laissant une distance raisonnable entre vous avant que tu n’oses retirer ton veston, dévoilant ton arme qui pendouille sous ton bras. Tu poses le veston sur le dossier d’une chaise puis tu claques des doigts. Juan s’approche, venant te tendre un dossier. Le putain de contrat. Celui qui allait vous liez pour… Toujours? Possible. Tu racles ta gorge avant de venir le poser doucement sur le bureau de la belle rousse.

«Je crois qu’un peu d’intimité ne nous fera pas de tort, je me trompe?» Ton regard sombre se pose sur tes chiens. « Stai vicino, ma esci.» Tu fixes Juan qui serre les poings. Tous avaient vu la petite scène, rien qui ne donnait envie de vous laisser seul. Pourtant, tu ne bouges pas. Tu tiens à ce qu’ils quittent, que tu sois seul avec elle. Tu ne lui ferais pas de mal. Ce n’était pas dans ton intérêt de toute façon, mais c’était mieux pour tous. Ça vous permettrait de discuter de façon plus courtoise, sans vous donnez en spectacle. Tu hoches la tête. «Dai.» Il sort les crocs le Juan avant de tourner les talons et de sortir de la pièce. Tout comme les deux autres. Tu restes dos à elle, avant de venir sortir une autre clope et la caller entre tes charnues. «Y va falloir mettre de l’eau dans votre vodka, Signorina Houna, si vous tenez à ce que l’on parle de ce contrat.» Mention claire pour que les hommes quittent eux aussi. Tu retira doucement ton arme de son étui, le tendant à son acolyte. «Je peux vous laissez ça, je n’en aurai pas de besoin.» T’es arrogant, c’est mal. Tu souris avant de tirer sur ta clope, suivant les mouvements des troupes. Enfin seul avec elle. Tu peux mieux discerner le soutien-gorge qui couvre sa poitrine. «on vous a dit déjà dit que vous étiez baisable?» Qualificatif dégradant, mais oh combien vrai.


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MessageSujet: Re: tw- (QG) closer ± lorna tw- (QG) closer ± lorna  EmptySam 27 Fév - 1:23



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You can have my everything


t'étais persuadée que tout ça était une mauvaise idée. t'as déjà entendu parlé du jardin et ses filles y reposent pour l'éternité. des plaisirs malsains hantant le mécène venu te visiter. tu détestes que l'on te prenne de haut juste car tu es une femme, le sexe faible qu'ils disaient. tu les prend tous, tous sans hésiter. sans en laisser un de côté. t'es pas du genre à faire les choses à moitié. alors lorsque vincci te manques de respect tu bondis sur ta proie tel un fauve affamé. pour asseoir ta dominance, lui rappeler chez qui il vient de pénétrer. tu es le loup, celle des deux dont les crocs sont plus acérés. tes canines reluisent alors que tu appuies ta dominance non sans cacher le plaisir commençant à monter. t'aimes voir les hommes souffrir à tes pieds. les entendre geindre d'inconvenance alors que tu les forces à plier à ta volonté. les femmes ne sont pas faibles, vous êtes redoutables et sans peur. tu as du respect pour tes sœurs. celle d'armes et d'infortunes que tu refuses d'abîmer. ça te fait chier de devoir lever la main sur une femme, de la dévisager. t'aimes ces créatures perfides aux courbes assumées. t'aimes lorsque leurs épines s'avèrent vénéneuses. dangereuses. tu ne violes pas les femmes, tu prends toujours soin des les payer. de faire en sorte qu'elles en aient eu pour leurs temps et que leur bord initial ait changé. tu dessines sur leurs dermes de douces arabesques invisibles que toi seule arrive à visualiser. sinuant sur leur corps et ses contrées. t'es pas poète houna. loin de là. mais pour décrire tout l'amour que tu portes à la gente féminine c'est que tu pourrais presque t'y essayer.

tu savoures chaque paroles que tu extorques au rital acculé. il est vrai qu'il pourrait tenter de se dégager. te mettre un coup dans la caboche pour te forcer à lâcher. mais dans ce cas là tu sais que sloth prendrait le relais. son arme pas loin il ne mettrait pas de temps avant d'appuyer sur la gâchette avec l'italien dans sa visée. bang. la cervelle éclatée. ses hommes par les tiens décimés. un tas de veuves éplorées. t'es pas là pour ôter ces soldats à leurs foyers. très clairement, t'as d'autres putes à fouetter. tes yeux roulent lorsqu'il évoque sa langue pouvant te satisfaire, un rire s'échappe de tes lèvres pincées. "t'es bien présomptueux connard. fermes ta gueule si tu veux la préserver." tu finis par relâcher l'étreinte autour des mèches sombres que tu avais capturées. son crâne manque de claquer contre le comptoir. une dent en moins n'aurait pas été un drame, t'es sûre que la paresse aurait prit soin de la conserver derrière son bar. tu te détaches de sa carcasse et te mets à reculer. le regard de ses gars à ton égard son mauvais. au patriarcat bien trop attachés. c'est dur de voir une femme dominer? ton invité se redresse, ajuste son costume hors de prix et semble s'être calmé. avoir retrouvé ses esprits, prêt à passer à la suite et embrayer. vincci, faussement impressionné réquisitionne une audience un peu plus... privée. "tes hommes se tiendront tranquilles où bien devons-nous les ligoter?" simple précaution que t'es prête à prendre, capuchon sur la tête et dans tes geôles personnelles menés. tu finis par abdiquer sans plus de provocations. tu dois rester sur tes gardes, faire attention. tes atouts ne sont pas à tes côtés. si les choses tournent au vinaigre pendant ton absence tu devras compter sur deux de tes péchés. pas tes plus fines lames tu dois l'avouer. ils manquent d'élégances, ceux dont les talents ressemblent plus à ceux des bouchers. t'emboîtes le pas silencieusement, t'engouffrant dans les longs couloirs de votre qg. l'humidité proéminente dégorge les murs d'aciers. le clapotis des gouttes, irrégulier, tinte et résonne sur plusieurs mètres dans vos quartiers. la pénombre vous avale tout entier alors que vous progressez dans les tréfonds de l'usine abandonnée.

vous finissez par pénétrer à l'intérieur d'une vaste pièce mal éclairée. remplie de cartons aux dossiers éventrés. de fringues éparpillés et de bouteilles de vodka vidées. ta garçonnière attitrée. loin, très loin du confort de ton appartement puant le luxe à plein nez. vos gars se cherchent silencieusement alors que l'italien s'installe comme si l'endroit lui appartenait. la veste hors de ses épaules, tes yeux se concentrent sur le holster et l'arme brillante qui sait l'accompagner. heureusement qu'ils étaient sensés avoir étés fouillés à l'entrée. tu grinces des dents devant cet élan de stupidité. ils sauront être puni. lorsque t'en auras fini ici. avec ce contrat à sceller. cette alliance à discuter. pourquoi tu devais tomber sur un mec aussi détestable que lui déjà? non okay t'es pas un enfant de chœur houna. mais t'as un minima de respect. un truc que tu dois à l'armée. un dossier vole contre le bois de ton bureau et les âmes s'échauffent un peu plus prêtes à dégainer. votre petite démonstration de puissance aura su faire son effet. chaque camp prêt à bondir à la gorge de l'autre, jusqu'à la mort s'il le fallait. le rital prend l'initiative de demander toujours plus d'intimité. à contre coeur ses hommes finissent par quitter la pièce, les tiens attendant toujours ton feu vert pour quitter tes côtés. "barrez vous. offrez à boire à ces messieurs pour patienter." l'ordre claque dans ta bouche comme un fouet. les russes foutent le camp, disparaissent le plancher comme demandé. la porte claque et vincci reprend. tu peux au moins reconnaître que ce mec ne perd pas son temps. mais il sait faire grincer tes dents. mettre de l'eau dans ta vodka? pour qui il te prend houna? "la vodka, rital, c'est givrée qu'tu la bois." les glaçons, c'est dans son cul qu'ils iront. mais une nouvelle phrase t'arrache un rire forcé. baisable? baisable? t'as bien entendu ou est-ce que t'as rêvé? tu feules, excédée. "tu viens chez moi. tu parades tel un roi. sais-tu au moins à qui t'as affaires ou tu ignores tout de ma mafia? de mon domaine, de mes exploits?" la morana. déesse de la mort et du froid. le soldat qui effraie la russie. celle qui pourrait bien mettre en échec sa patrie. t'as toutes les cartes en main pour le faire tri. tes motardes traînent contre le béton froid et abîmé. la pointe de ta langue passe contre le sang coagulé de ta lèvre enflée. tu t'installes à ton bureau, débouchonne la bouteille d'alcool translucide que tu portes à ta bouche pour une longue, très longue gorgée. "j'aime pas les connards, ça m'donne envie de les buter." tu l'informes, l'opale folle et à la fois amusée. "glutony m'a informée que tu cherchais des poulettes pour ton jardin, à ce qu'il paraît les tiennes te servent d'engrais." métaphore affûtée. vous savez tout les deux de quoi il en retourne pas vrai? tu peux bien te séparer d'une poignée de prostituées. lui en ramener de plus fraîches lors de vos arrivées. "pour les avoir moi même testées, elles sont fiables et savent baiser." ton petit examen d'entrée. hommes comme femmes elles se doivent d'accepter. clientèle variés. tous besoins et désirs nécessitants d'êtres soulagés. "quant à toi j'doutes que t'aies c'qu'il faut pour les sauter." tout en toi te pousses à le rendre fou, à voir jusqu'où tout ça peut aller. qui succombera à le premier? qui ploiera le genou pour jurer fidélité? le pied relevé contre la poitrine, c'est une première botte qui vient à tomber. suivie par la deuxième pour un confort assuré. le résultat est clair, les dés sont pipés. tu régneras. c'est écrit houna.

  
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Janet Wright
while she waltzes with ghosts
i can feel what went wrong
Janet Wright
∴ Pseudo : May
∴ Faceclaim : Hathaway
∴ Merci à : AV; Walden Gif; prettygirlgif SIGN; Anaelle
∴ Âge : 39 ans, la quarantaine qui approche, les rides qui se forment au coin des yeux.
∴ Mood : tw- (QG) closer ± lorna  5482d2e35b19a1591c922a097b394081e56de6ec
∴ Pronom inrp : She/Her
∴ Occupation : Joaillière. Elle connaît chaque pierre précieuse, chaque particularité. Elle a des collections qui ont été vendues à la famille royale.
∴ A Exeter depuis : Depuis bien des années. C'est son petit coin de pays. Elle l'aime autant qu'elle le déteste.
∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
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MessageSujet: Re: tw- (QG) closer ± lorna tw- (QG) closer ± lorna  EmptySam 27 Fév - 3:43



@Lorenzo Vincci & @Houna Tchernychev
I wanna feel you from the inside
I wanna fuck you like an animal
My whole existence is flawed
You get me closer to God
You can have my isolation
You can have the hate that it brings
You can have my absence of faith
You can have my everything


T’aimes pas. T’es pas le genre de petit chien qui aboie et obéit quand on le lui demande. Non. Tu étais un meneur, toujours maître de ta vie, de ta destinée et là, devant cette russe… Tu te retrouvais classer à une étape de sous merde. T’as les crocs Lorenzo. Et ça, t’aimes pas ça. T’essaie de te montrer docile, doux et conciliant. Acte de bonne foi. Tu avais même retiré ton arme, la laissant à l’homme de main. Sourire carnassier, prêt à user de tes poings si nécessaire. Tu n’avais pas fait l’armée, mais la mafia et le trafic d’humains t’avaient souvent ramené sur la terre ferme, te rappelant où était ta place et non ce que tu devais faire pour la mériter. Tu attends que la Reine ordonne, grogne et aboie ses ordres. Ton regard coule sur le dernier homme qui a quitté la pièce. «Bien éducqué.» Tu tires sur ta clope, laissant un nuage blanc s’échapper d’entre tes lèvres avant que tu ne laisses échapper cette phrase. Baisable. C’était le mot que tu avais utilisé. Sa chevelure rousse, ses lèvres pulpeuses, son nez fin, sa plastie complète pourrait rendre fou n’importe quel homme. Tu pouvais facilement imaginer le bassin de cette femme entrain de valser, rebondit contre ta queue… Pire encore, l’imaginer entrain de baiser un homme, ou même une femme avec un quelconque jouet sexuel. Cette simple idée te rend euphorique et si ce n’était pas du fait que tu venais de t’asseoir en face d’elle, sûrement qu’elle aurait remarqué ton érection naissante. Tu laisses échapper un rire fin quand elle te parle du fait que tu débarques chez elle, tel un roi, alors que tu n’es rien et que tu devrais te rappeler tes provenances. Tu fermes les yeux, avant de venir masser tes cervicales. «Vous parlez de respect alors que depuis mon arrivée, vous ne faites que me regarder de haut et me tutoyer, Houna. Je vous rappelle que les règles de la bienséance auraient été que je sois reçu comme un réel invité et non comme un investissement, un vulgaire petit pion à placer sur votre grand échiquier.» Tu reviens tirer sur ta clope avant de sourire.

Elle parle, pour ne rien dire. Les femmes. Elle est possible bien supérieure à toi en termes de puissance, c’est vrai, mais était-ce une raison pour qu’elle te traite comme un chien? Un vulgaire cabot? Un léger sourire qui se dessine sur tes charnues, tu reviens prendre ta clope en bouche, posant ta cheville sur ton genou. Tu n’aimes pas les paroles qui suivent. Ce n'est un secret pour personne dans votre monde, que ton jardin fleurit si bien grâce aux demoiselles importées qui nourrissent le sol. «Et moi, les pétasses, je les tue et je les enterre dans mon jardin. Ne serait-il pas dommage que votre magnifique tignasse de feu s’y retrouve aussi? Je crois que le respect se fera dans les deux sens, Houna.» Tu te redresses dans ton siège, venant poser ta gitane dans le cendrier qui traînait là, admirant chaque geste de la femme. Elle est gracieuse malgré tout. On dirait que chaque geste est calculé. Chaque petit mot aussi. Et ça te rend fou. Presque vulnérable. Jamais tu n’Avais rencontré de femme qui te faisait vibrer autant. Jamais. Mais vibrais-tu de désir ou de dégoût? Pour une femme qui était plus forte, plus puissante. Tu l’écoutes parler avant de sourire. Amusé. Elle confirme tes doutes, tes idées d’elle. Bien entendu qu’elle avait testé la marchandise. Ce qu’elle ignorait, ça ne faisait pas d’elle une femme plus puissante. Non, ça la rendait encore plus vulnérable. Sa chatte devait avoir été visitée aussi souvent qu’un aéroport. Ça te fait sourire et tu oses te demander combien de fois elle avait réellement jouit. Cet orgasme si puissant qui pouvait faire jouir n’importe quelle femme. Un orgasme qui ferait trembler son corps pendant les minutes qui suivraient.

Tu attendis qu’elle pose ses bottes sur le sol avant de venir vers elle, t’appuyant contre le bureau, les bras qui se posèrent de part et d’autres sur le dossier de sa chaise, l’emprisonnant. «Je ne doute point de vos capacités à tester votre marchandise, ni même à les baiser pour mieux les trier au volet. Ma question… Et vous, avez vous déjà été testé? Oh grande Houna, douce Reine de la prostitution… Avez-vous déjà été testée? Ou même goûter, pas dévorer pour vous faire atteindre, ce qui semblerait être un orgasme. Dégustée, comme une Reine doit l’être?» Tu ne souhaitais pas nécessairement la baiser, mais tu avais envie de goûter, de sentir les plies de sa chatte contre ta langue. Sentir la moiteur de cet endroit qui avait subi plusieurs assauts par le passé. Ta main droite quitta le dossier de la chaise pour descendre vers sa joue. Ton pouce passa sur sa lèvre abîmée, avant que tu ne viennes lécher son pouce pour sucer le sang qui venait de s'imprégner sur ton épiderme. Elle ne bouge pas. Fixant ton regard. «Baissez votre garde Houna, je n’ai aucunement envie de vous descendre… Ça sera moi qui se mettra à genou ce soir.» Qu'avais-tu besoin de lui prouver? Rien. Tu plantes ton regard sombre dans le sien avant de venir glisser ta main le long de son ventre, puis de sa gorge. Gorge que tu empoignes, serrant sans aucune pitié. Pitié qu’elle ne semblait pas avoir non plus. Ton visage qui se rapproche du sien, ton souffle qui bute contre le sien. Ça te donne chaud tout ça. Tu aurais facilement pu l’envoyer valser contre son bureau, mais tu avais vu à quel point elle pouvait être rapide.

Sans attendre, ta main lâcha le dossier, venant prendre la bouteille de Vodka qui trainait maintenant sur le bureau. Geste vif et rapidement, le verre de la bouteille heurta le visage de la demoiselle avec une violence qui te fit frémir. Tu sentis son souffle trésauter. Tu souris, amusé. Tu portas le goulot à ta bouche pour en boire une bonne rasade. Ta main serre encore plus sa gorge, ne calculant pas les risques. Et si elle réussissait encore à te soumettre? «Pardonnez-moi, votre visage était dans ma trajectoire.» Sourire, amusé, avant que tu ne refasses la même action, heurtant son temporal gauche. «Alors… Dois-je passer aussi le test de passage pour avoir le droit à cette alliance. Reine Houna… Parce que si oui… Il me fera plaisir d’accéder à vos plus… Sombres désirs.» Tu te voyais déjà la faire chavirer contre le bureau, manger sa chatte et la détruire à grand coup de butoir s’il le fallait. Fallait avant tout, la soumettre un peu plus, la rendre plus docile.

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