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kiki, do you love me ?


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MessageSujet: kiki, do you love me ? kiki, do you love me ? EmptyMar 23 Fév - 15:03

killian "pan" Ó Donndubháin

Yeah, why do you think I'm so messed up? ☾


nom prénom(s). un killian de propulsé à la gueule, une claque, son revers et un direct dans le nez. nommé comme on nomme un chien. le nom d'un padre bien gravé sur toi à la force de sa main. les accents sur l'o et le a en cicatrices pour former l'horrible ó donndubháin que seuls les boeufs se plaisent à articuler. elle t'as nommé peter pan, parce que peut-être que tu lui donnais des ailles. peter on a essayé de le tuer, mais pan est toujours, toujours resté. pan l'infatigable, l'intouchable, la légende, même quand toi, tu ne crois plus en rien. âge, origine. londonien de vingt-six ans, même si londres, tu l'as connu comme un terrain de jeu, un échappatoire dans des ciels moins pluvieux, puis une prison, puis une passion, puis une sentence. t'en as profité peut-être un peu moins qu'une grosse année, sans parents, sans retenue, sans rien, avant votre déambulatoire dans le pays où personne veut vraiment sauver la reine.   occupations, métier. arnaqueur, bohémien, musicien, anarchiste. de ceux qui on décidé de vivre de peu, de petits shows punk à gueuler au micros, de gros tours de passe-passe sur internet à voler les gens plus riches. pallier, of course, par leurs banques. comme ça que vous faites mal au capitalisme, ça et en brûlant les voitures des vermines politiciennes. vous faites du mal, c'est encouragé, non ? vous le faites juste aux bonnes personnes. dans l'ombre à lutter à défaut d'avoir jamais eut le droit, ou que ce soit, de briller. situation sociale et financière. célibataire, môme abandonné, arraché, sans famille qui veut se nommer, sinon celle rapiécée qui même elle, s'est fait écarteler. paumés, vagabonds, des sous quand il en faut. on se débrouille, c'est pas un problème ça.   orientation sexuelle. fièrement queer. à défaut d'être pan-sexuel. tu laisses ça au autres, être aux pan, parce que toi, t'es déjà pan. (capiche ? non ? ) groupe. SMELLS LIKE TEEN SPIRIT

histoire. ☾

ta vie, c'est une bataille constante avec ta tignasse, qui semble toujours être en désaccord avec toi, à se foutre devant tes yeux ou se coller à ton front quand tu t'énerves trop. échevelé et entêté, tu te bats constamment contre eux, même si tu les aimes bien, refuse de les couper, même si ça t'es arrivé. souvent, sur un coup de tête, de les colorés. manie de toujours trop sourire, toujours trop sauter, crier, déconner, blaguer, jouer des tours. éternel enfant qui cherche le jeu constamment. hyperactif overmédicamenté, le coeur toujours sur le point d'exploser pour des petits et grands riens. tu fais tourner la tête, parce que tout vas trop vite ou trop lentement avec toi. parce que parfois tu te perds la tête en chemin pressant, à caresser les pétales d'une fleur poussée là où personne la voulait, dans une crevasse de bitume. l'impression d'être comme elle.  de pousser là, bien arrogant, où personne t'as jamais voulu. près à te déraciner pour n'importe quelle main trop douce voulant t'y arracher. clown à tes heures, toujours la blague, la farce ou la taquinerie au bout de la langue, enroulée aux doigts, même les jours où tu sens que tu préférerais peut-être mourir. instable. parfois tu te bats, à coups de dents et de pieds, pour pas te laisser crever et d'autres fois, tu te fais mal, l'envie de te coucher au sol et laisser les gens au pouvoir juste, te marcher dessus, sacrifice épuisé, furie enragée le jour d'avant. please father, forgive me for some days i am weak. le rebellion acquise de naissance, le nez levé à faire exactement le contraire de ce qu'on t'ordonne de faire. sauf pour les potes, loyauté morbide, maladive, l'attente de la même chose. parce que tu serais pas ami, avec leurs ennemis, toi. et pourtant t'es sociable, trop bavard, mais une fois que c'est classé, une connerie, aurevoir. tu pardonnes, mais pas quand on blesse la famille, faut faire gaffe. y a que vous, hein, qui pouvez vous écorchez ensembles ? t'as tendance à prendre des trucs et oublier de les rendre, des briquets, des jolies bagues, des cartes de crédits que tu retrouves plus tard dans tes poches avec un ''oh merde...'' t'es un gars intense, qui vit intensément, aime intensément et fête tout aussi intensément. pas de limites à tout ce que tu bois, tu ce que tu baises, tout ce avec quoi tu t'empoisonnes les veines. trop souvent même défoncé quand y a absolument rien à célébrer, juste pour supporter l'inutile et le difficile. jusqu'au bout de toi-même, jusqu'à te vider et en avoir mal d'être trop, moments où tu te fais couler le trop plein du bout des poignets. parfois, tu comprends pas pourquoi les gens qui t'aiment, t'aiment. peut-être parce que t'es tendre, que tu sais être sensible, peut-être même trop, ça aussi et loyal à en crever pour eux. mais ils doivent en avoir marre de ton instabilité, tes vomissures sur les règles, tes pulsions qui foutent le bordel, ta violence contre la société. est-ce qu'ils ont pas peur, parfois, que tu puisses être aussi violent avec eux ? tu ferais jamais ça, tu ne pourrais pas. tu ne pourrais plus vivre avec toi. c'est en caresses et en baisers que tu jettes des cocktails tout molotov dans leurs vies.

(tw ; child abuse, drug uses, violence)
t'aurais jamais dû naître.
c'est pas pour être méchant ou quoi, c'est juste vrai. les capotes c'est cher, la pilule ou  la vasectomie, encore pire. dix-sept piges chaques, des mômes qui ont un môme. mais avant, maman à bien tenté de te tuer. à coup de toutes les merdes qu'elle a su prendre pendant la grossesse. mais t'es resté, tu t'es accroché et t'es né. première bouffée d'air avalée et déjà une étiquette en plein front qui lit : sevrage néonatal. scorant une trentaine de points sur l'échelle de finnigean. tes parents étaient pas sensés du tout te garder. condamné à être un bébé de foyer d'accueils, c'était sans compter sur ton adolescente de mère, qui, après une semaine sans bébé et avec la rumeur de se voir l'enfant retiré, était également menacé par son amoureux, ton ''père'', de se faire laisser. parce que s'il n'y avait pas de bébé, il n'avait aucune raisons de rester. ta mère à donc eut la merveilleuse idée d'aller retrouver ton landeau, alors que tu commençais à aller franchement mieux, pour te prendre avec elle sous le bras et t'emmener chez ce qui deviendrait ta maison. grandis au travers des jurons, des claques, des pleurs et des cris, des céréales trop sucrées pour déjeuner et des burgers en guise de dîner. plus nourris à la fumée de cigarette et aux insultes qu'à quoi que ce soit d'autres. un semblant de grand-mère qui s'enkilose à la table de la cuisine, qui te regardes mal. trop de souvenirs traumatiques bien enfoncés, de bébé pleurant, qui dans un tiroir était enfermé pour ne plus l'entendre gueuler. une claustrophobie infantile qui est restée jusqu'à l'adolescence. personne qui ne te voulais là et ça tombait bien, tu ne te voulais pas là non plus. pour ça que t'étais jamais là. toujours dans les ruelles à te trouver des amis, t'inventer un monde, t'inventer une autre vie. une petite plume de rencontrée en premier, qui avec ses conneries t'as fait rêver d'un monde meilleur, où on ne grandirait jamais, mais où il n'y avait pas d'adultes non plus. t'en rêvais. t'en rêvais encore plus quand à cause de tes conneries ou parce que t'avais décidé de respirer de travers ton semblant de père se décidait à te taper et taper, et taper. et t'avais beau hurler et pleurer, il arrêtait quand ça lui plaisait. ta tête pouvait tourner, ta bouche pouvait saigner, tant pis pour toi, t'avais qu'à te tenir tranquille ou disparaître sous terre.


tu t'es accroché aux autres enfants perdus pour survivre à ce qui se passait à la maison, à ce qui traînait à l'école. petit leader de ta propre bande, les traînants avec toi dans vos aventures, mais il manquait un truc. parfois des grands petits vides, des jours sans envies de ni jouer, ni continuer, mais c'est exactement là qu'elle est arrivée. celle que vous avez renommé wendy. l'impression de jamais avoir vraiment vu de fille avant. clochette était trop petite, ça comptait pas. t'étais pas certain d'aimer ça les filles, ça donnait un peu mal au ventre, mais en même temps, tu pouvais pas vraiment la lâcher. toujours à la taquiner, à lui faire des petites peurs, la chatouiller, marcher sur les mains, faire n'importe quoi pour la faire rigoler pendant que clochette tappait du pied parce que tu faisais l'idiot et elle, la rabat-joie. tu comprenais pas trop, c'était quoi son problème. clochette elle aimait bien être la plus petite, la plus chouchoutée et elle ne supportait pas que t'ailles faire tournoyer dans tes doigts les couettes d'une autre. leadeur naturel, prônant la liberté si fort que la sienne lui fût arrachée.

parce qu'une bonne fois t'as passé la nuit sans rentré. c'était l'anniversaire de wendy et vous l'aviez dérobée, pas le choix de passer la nuit, une guitare volée à gratée, la tête sur ses genoux, à chantôner, à fumer des cigarettes dérobées. plus envie de rentrer, ses cuisses et ses collants troués par votre soirée de conneries trop mouvementés, dont tu ferais ton domicile fixe. les doigts tirés vers le ciel pour admirer ta meilleure idée. une aiguille enfoncée dans un crayon de plomb, stick and poke maison que t'as demandé à vendu de dessiner sur tes doigts. un coeur sur la majeur gauche, un sourire d'idiot aux lèvres. "okay, et sur le droit, j'veux un coeur noir brisé !" un sourire au bout de son nez froncé quand elle demande pourquoi tu le veux brisé et tu réponds "parce que quand t'es pas là, mon coeur, il l'est." et t'as pas idée d'à quel point, encore. parce que vénère que t'ai fait le mur et que tu te sois tatoué, le géniteur te bats, le géniteur voit rouge et toi, tu le deviens. assomé, inconscient, tu réponds plus, tu bouges plus, t'es bien dans ta petite marre de sang, tu souffres plus. tu te réveilles à l'hopital et de nouveau tout fait mal et on te dit que ta soeur est venue te voit. brillante ta wendy. les autres essayeront de l'imiter, mais y a un moment où les infirmiers se rendent comptent que t'as pas vraiment une grande famille comme ça, même si, oui. les parents viennent pas te voir, ils ont pas le droit. ils ont plus le droit. et tu rentres pas chez-eux. c'est dans un foyer d'acceuil que t'es envoyé, avec ton bras cassé. et si on s'occupe bien de toi, c'est putain de trop sévère, tu comprends pas. jamais eut de règles, toi, que des règlement de comptes aléatoire quand tu dépassait des limites floues. t'es pas content, du haut de tes douzes ans, qu'on te dise quoi, quand, comment manger. tiens-toi droit, fait tes devoirs, pas le droit de traîner, tiens des pantalons sans trous, mais tu les aimes, toi, tes trous, c'est devenu ton style, un peu. le pire c'est que tu peux pas les voirs, tu peux pas la voir, elle, parce qu'elle est dans son bordel de petite école privée. sauf qu'ils te connaissent pas, t'as fait le mur, pour aller la kidnapper sur un vélo volé, à la sortie de ses cours, pour aller passer la fin de la journée dans les fonds d'un parc, le couché du soleil se couchant dans ses iris où le vert brillait mieux. et tu l'as refait encore, pour dormir sous les étoiles avec tout le monde, parce que clochette râlait quand vous faisiez des trucs que tous les deux. pas ta faute, les autres tu les voyaient à l'école, pas elle. c'était pire. après ta nuit sans rentrée, tes valises et une voiture des services d'acceuil t'attendaient le lendemain. et l'autre maison était plus sévère encore, ça t'as rendu plus arrogant, plus violent. première offense, t'étais dehors. une autre maison, pire, de pire en pire. à cracher à la gueule de l'homme qui s'occupait de toi, il t'a foutu une giffle et t'es partis au quart de tour, planté ta fourchette dans sa main dans une réaction virulente face à la violence reçue, le traumatisme. ils ont dit que t'étais passé dans la case des enfants ''dangereux'' qu'ils ont cherchés, mais qu'aucune maison voulait plus te prendre. direction, centre de redressement pour jeunes ''délinquants''. crime de t'être défendu ''voie de faits'' et vols divers.

un an dedans. un an tout seul. tes amis qui venaient te voir au travers de la grille de la cours. parce que plus rien n'allait bien chez les enfants, sans toi. les conflits étaient plus présents. tellement que les visites ne se faisaient plus en même temps. clochette ne voulait plus voir wendy, qu'elle traîtait de pétasse et ça te faisait grincer des dents. le frisé et plume s'étaient pris la tête parce que plumette enchaînait les conneries au dehors. la guigne avait peur. et il a fallut que tu sois derrière une grille pour comprendre ton mal de ventre, enlaçant des index des siens au travers la grille, tu demandais à wendy de venir te voir plus souvent, de venir te voir seul aussi. parce que t'étais timide, assumait pas, de lui demander tout bas, de pencher sa joue près de ton index, que tu puisses caresser sa peau, de s'approcher, pour que dans un petit trou, le bout de son nez frotte le tiens. puis il y a le baiser qui souriait au coin de ses lèvres. celui que tu lui a demandé, comme s'il avait toujours été tien. sur la pointe des pieds, parce que t'avais pas le droit. tu l'as embrassé, juste une fois, une longue fois. ils ont mentis dans les livres, les films, tout ça, c'est bien pire que ce qu'ils ont jamais décrit avant. embrasser wendy, ça donne envie de vivre et mourir en même temps. et t'en veux encore. un an après, plume venait te rejoindre en centre, plus aussi seul, mais ensemble vous avez quand même fait le mur quatre fois, une fois par année, puis une dernière fois à vos dix-sept ans, pour la fête de wendy, toujours, toute près de la tienne aussi.

cette ultime fuge est pour ne pas y revenir, plume et toi ne savez pas où vous habiterez, mais ça compte pas. vous retrouvez votre bande de bras cassés et encore caché des autres, mais quand même tête première dedans, tu passes trop de temps avec ta wendy. toujours collé à elle, l'encerclant de tes bras pour pas qu'elle ait froid, dans une voiture volée par les soins de la plumette. fumant de la beuh, merde, ça fait du bien. et wendy qui te regarde comme ça, les autres qui vous cherchent. et si tu lui demandes si elle a froid, c'est que t'aimerais bien avoir une raison pour la serrer contre toi. pas certain de si vos bisous de grille étaient juste une permission passagère pour te faire garder le moral. et juste là, elle t'attrape et t'as le droit à ton vrai, premier baiser. celui avec la langue, celui qui fait perdre pied pour de bon. et tu le sais pas encore, parce que t'en a pas encore pris, mais embrasser wendy, c'est aussi thrillant que de l'héroine. un peu moins addictif, surement. parce que tu ne peux plus la lâcher, que devant le reste des enfants, ça devient insoutenable. que sans ses règles idiotes, vous seriez ses deux adolescents qui se lâchent jamais. trop d'années à rattraper. tu te précipites, à l'aimer, parce qu'en plus d'avoir la pression d'être wendy et peter, vous avez celle d'être roméo et juliette. parce que c'est dans cette même voiture que vous venez faire l'amour pour la première fois. les fenêtres tellement embuées que vous êtes seuls au monde. mais c'est pas assez bien, même si t'y va tendrement, que tu lui demandes un bon milion de fois, si tu fais ça bien, si elle aime ça, si elle a pas mal. parce que vous êtes tous les deux inexpérimentés, parce que vous êtes tous deux maladroits. que c'est pas grave, vous découvrez ça ensemble. et tu vois quand même des étoiles putain de voyage astral quand vous avalez mutuellement vos orgasmes à même la bouche de l'autre. le début de la faim. d'elle, de son corps, son âme, ses petites caresses, ses grands sourire. tu l'as pas dit, mais t'étais amoureux, ça faisait un bon moment déjà. non même amoureux, ça fait naze, t'étais bien pire que ça. bientôt t'escalades jusqu'à sa chambre. nouveau jeu que de lui faire l'amour dans son lit, sans le moindre bruit. de la serrer un peu, puis de filer comme un voleur en ne laissant que des traces de ton amour, toujours enfuies entre ses cuisses. pas de capote quand on fait l'amour. et puis toi, t'aimes la sentir trembler et elle aussi, elle aime quand tu te perds et te mélange à elle. vous vivez probablement ça trop rapidement, mais tant pis. vous prenez des risques, mais tu peux pas t'en empêcher et elle non plus. comme cette nuit et t'es resté ''encore un peu''. trop biens, trop à votre place dans les bras de l'autre, au grand risque de faire de l'ombre aux autres enfants, parce qu'à trop vous aimez, vous avez secrètement accumulez des années dont tu tentes encore de te nettoyer, mais elle vaut le prix des pêchés. c'est sans doutes la meilleure heure de sommeil de toute ta vie et le pire réveil. un père enragé et par réflexe tu recules et elle s'interpose quand il menace de te détruire, c'est elle qui bouffe le coup et quand tu fais un mouvement vers elle, elle se remet entre son père et toi, t'hurles de t'enfuir. et tu veux pas, tu te sens putaing de deg de la délaissée, t'as peur qu'à cause de toi, elle se fasse encore frapper. bordel, tu vas le tuer son père. et t'es chassé hors du terrain, cette nuit là tu reviens quand même, dormir dans le boisé et de sa chambre, t'as l'impression de l'entendre pleurer et c'est là que tu meurs de l'intérieur. parce que le lendemain il y a des camions de déménagement qui se remplissent dans leur cours. tu prends ton courage et tu vas affronter son père, qui pointe un gun dans ton front et qui "if you touch my daughter again, i'm gonna shoot you dead" t'as pas bougé, il a tiré dans les airs et wendy a hurlé, a hurlé de t'en aller. alors t'es partis, t'as même pas pu rester de l'autre côté de la rue, parce que la bâtard à appeler les flics, donc t'as dû te planquer.

et depuis ce temps là, tu vagabondes, avec plume. tu cherches les problèmes, cherche les injustices, pour refaire le monde à coup d'anarachies. de villes en villes, changeant quand vous avez trop de problèmes ou pas assez d'argent pour payer votre drogue. fucking capitalisme. c'est en suivant la trace d'un contact militant pour blm uk, que vous vous êtes retrouvés à exeter. ça et aussi parce qu'un chance sur un milion, t'es tombé sur le vidéo de celle que tu crois être ta wendy. bordel, ses yeux, ses lèvres, ça fait presque 10 ans, mais tu peux quand même pas te tromper. plumette à accepter, raccrochant le voyage à votre adhésion à un groupe anarcho-terroriste, juste pour pas que tu sois trop déçu, si tu la trouves pas, ou si tu réalises que c'est pas elle. parce que c'est arrivé, des filles dans des bars, bourrés, une silouhette de dos, un rire fantôme ressemblant trop au sien. c'était jamais elle. valises posées, on vous a voté in (what the fuck ?) au cénacle, où la plume se plaint que t'es pas encore assez impliqué à râler avec lui sur toutes les attrocités de ce officieuse hierarchie au milieu de l'anarchie. oui, oui, tu vas râler après. avant tu veux juste retrouver l'amour de ta vie. puis quand tu l'auras, tu pourras détruire le pourris du monde en lui serrant la main, en sifflant pour rappeler les enfants perdus et enfin bâtir ce monde que vous vous étiez contruits dans vos têtes, l'amour en plus. parce que fuck que dans les bras d'hazel, même si t'as souvent fait le bébé, bordel que t'es grand.



ton pseudo sur la toile. a écrit:
A tes méchantes blessures. oi oi oi ! ici kalina, qui ne rajeunit pas, 28 ans en 2021. aoutch. c'est de la faute de ma babe et ses teases si j'suis là, back to where it all began. plz love me again. beau boulot de transfert ohlala, ça dû être chiant, je vous aimes.  kiki, do you love me ? 259630574  kiki, do you love me ? 316955750

kezako, ton perso. je me joindrais encore au pré-lien de  @Hyacinthe Sterling  si on veut bien de moi  kiki, do you love me ? 9116864

Code:
[u]dominic harrison[/u]. ∴ killian ó donndubháin
[b]Killian Ó Donndubháin[/b] : Hackeur & Musicien
[b]Quartier d'habitation :[/b] ST SIDWELLS (NORD)
[size=10][u]7575[/u] [b][i]Killian Ó Donndubháin[/i][/b] Squat[/size]

crédit icons strangehell.
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MessageSujet: Re: kiki, do you love me ? kiki, do you love me ? EmptyMar 23 Fév - 15:04

IF HEAVEN
AND HELL DECIDES
THAT THEY BOTH ARE SATISFIEEEED
ILLUMINATES THE "NO'S" ON THEIR VACANCY SIIIIIIGN
IF THERE'S NO ONE BESIDES YOUUUU
WHEN YOUR SOUUUUUUUUUL
EMBAAAAAAAAAAAAAARKS

then i follow you into the dark

kiki, do you love me ? Tenor

i l o v e y o u
badly

i missed you
t'es si beau
t'es si perf
mon peter pan à moi de mon coeur
je t'aime jusqu'à l'infini de neverland kiki, do you love me ? 4094401142

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MessageSujet: Re: kiki, do you love me ? kiki, do you love me ? EmptyMar 23 Fév - 15:06

@Hazel Darling ma femme kiki, do you love me ? 3697835142 kiki, do you love me ? 3814471339 kiki, do you love me ? 1543204327 kiki, do you love me ? 2560946160 kiki, do you love me ? 2569083655
*emoji du p'tit lit pcq tu sais bien où on senva bb*
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MessageSujet: Re: kiki, do you love me ? kiki, do you love me ? EmptyMar 23 Fév - 15:48

bon retour parmi nous amour,
viens vite me faire des bbs
kiki, do you love me ? 3848593156
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Marlowe Ziegfeld
Adminax
Marlowe Ziegfeld
∴ Pseudo : balzolaire (nastasia).
∴ Faceclaim : tom hiddleston.
∴ Merci à : bertolt. ♡
∴ Dédoublement(s) : hyacinthe, l'androgyne décadent.
∴ Âge : quarante coups d'éclat. le fil que tissent les parques devient de plus en plus fin. il sait, il sent que le ciseau d'atropos s'en approche chaque jour un peu plus. qu'importe. il continue de la regarder dans les yeux, insolent, supérieur.
∴ Pronom inrp : il/lui, he/him.
∴ Occupation : il distribue l'opium du peuple d'une main, tire les ficelles de l'autre. [magnat des médias], tout-puissant, l'oeil qui surplombe tout. les journaux pour trancher la gorge de lucifer, la radio pour amollir l'ire de dieu, la télé pour crever les yeux des hommes.
∴ A Exeter depuis : son enfance.
∴ Statut : la poupée de papier qu'il a ramassée dans les abimes de la noblesse anglaise vous répondra qu'il est [marié]. marionette désarticulée et éventrée dont il a lui même percé les poignets, pour y passer ses fils d'or et d'argent.
∴ Géolocalisation : ubiquité absolue.
∴ Vice : narcisse des temps modernes. la fêlure nécrosée du miroir déformant qui lui ankylose le coeur et l'âme.
∴ Triggers, refuse de jouer : violence animale.
∴ Triggers Warnings : manipulation, toxicité, trouble de la personnalité narcissique, violences domestiques, évocation de pédophilie.
∴ Posts : 61
∴Arrivé le : 17/02/2021
MessageSujet: Re: kiki, do you love me ? kiki, do you love me ? EmptyMar 23 Fév - 16:10

t'es toujours aussi beau toi, ça change pas. kiki, do you love me ? 2192946835 kiki, do you love me ? 236745472
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MessageSujet: Re: kiki, do you love me ? kiki, do you love me ? EmptyMar 23 Fév - 17:45

@Hazel Darling OUI MAMAN, J'ARRIVE kiki, do you love me ? 662267122  CET EDIT, CETTE SIGNA ODJFJDFE kiki, do you love me ? 4100662668 kiki, do you love me ? 872405909 kiki, do you love me ? 2065529595 kiki, do you love me ? 1971671738 kiki, do you love me ? 3814471339

@Marlowe Ziegfeld Wesh toi-même kiki, do you love me ? 1595929244 kiki, do you love me ? 1633775857 kiki, do you love me ? 2453064100 kiki, do you love me ? 2453064100
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