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Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo)


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyDim 7 Mar - 4:59


Doucement le rideau de la noirceur se pose devant moi. Cachant la vision brumeuse s'apparaissant peu à peu devant la folie, qui se déroulèrent. Le fil de la nuit me serre sous les étoiles scintillantes. Dissimuler sous mes paupières. Mon dos contre le mur, le plateau contre mes genoux, mes lèvres s'entrouvrent. L'air me manque. L'oxygène délaisse mes poumons tel un vieil ami voulant nous détruire. Les jambes cherchent à fuir cet environnement. Abandonner un navire sans avoir accompli son voyage. Ma poitrine crie sous la douleur qui s'empresse en elle. Mon corps se laisse valser par l'état de panique l'accaparant. Je détestais ce travail. Je ne pouvais supporter le regard de dégoût qui vient si facilement se déposer sur moi. Une sensation déplaisante me rappelant la réalité de la vie. Je ne suis rien. Qu'une molécule survivant dans un univers misogyne, narcissique et avare. Ma tête chute vers l'arrière alors que ma poitrine se soulève et s'abaisse dans un rythme continu. Chaque syllabe déchirant les lippes colorées des participants de la soirée me poignarde. Un commentaire, un regard, rien ne me va. Je cherche à me calmer. Laisser la tension me narguant disparaitre sous la brise émouvante d'un nouveau venu. Je sais que je ne devrais pas me sentir ainsi. La liberté m'a été offerte. Le pouvoir n'est pas entre les paumes de ma main, mais le bonheur oui. Le plateau se soulève pour venir toquer mon front. La voix du patron vient à m'avertir. Je dois revenir vers les clients en affichant ce sourire cupide. Les babines bien soulevées vers le haut tout en gardant un respect irréprochable. Une petite pousser et un soupire de mécontentement, je retourne à mon poste. Ma main attrape un second plateau dont les coupes de champagne se dressent. Les bulles montent vers le plafond. L'odeur vient saluer mes narines. La lourdeur vient se presser sur mon épaule. Ma main touche la porte me séparent des snobs et des riches à deux balles. Je grogne avant de pousser la porte. Les lumières m'éclairent et la musique trop dynamique me brise les tympans. Un lourdement reste présent en me torturant intérieurement.

Les femmes discutent ensemble, parlant de leurs relations, de leurs voyages et autres sujets barbants. Elles ne cessent de murmurer les avantages de leurs vies prisés en nous pointant du bout du nez. Certaines comparent leurs maris à des célibataires convoités qui pavane le nez bien en l'air. J'entends encore le même prénom sortir. Je roule les yeux en proposant une coupe. J'aimerais bien, leur faire comprend, que leurs maris ne soient pas loin. Combien d'entre-elles ont des amants ou combien de maîtresses leurs conjoints possèdent. Dans cet univers tout ce qui a un trou vient facilement se faire remplir. La source de chaleur entre les cuisses des femmes ne vient pas seulement d'un écoulement. Elles n'ont jamais assez. Je m'avance vers une d'entre elles qui rient en disant qu'elle a surpris son époux avec la femme de ménage. Qu'il lui avait payé un voyage en Italie et un sac pour s'excuser. Comment pouvait-elle approuver ? Je lui aurais coupé son petit ami entre les deux jambes. Ce membre pendouillant à l'odeur aigre puis salée. Je tousse en faisant mine de ne pas avoir compris avant de m'approcher d'un homme. "Monsieur...Voulez-vous un verre ?" Dis-je en le questionnant. Je lui montre le plateau lui offrant peut-être encore un autre verre. Je tourne la tête brièvement pour regarder comment mes collègues se débrouillent. Une d'entre elles vient à mimer qu'elle s'enroule une corde autour du cou. Je laisse un rire sortir d'entre mes lèvres. Je m'arrête sur-le-champ en réalisant qu'il avait un invité près de moi. Je tourne la tête vers lui pour m'excuser d'un signe de tête. Je m'avance pour aller plus loin.

En marchant, un homme me bouscule et les verres se renversent presque. Je rattrape mon mouvement maladroit mine de rien. Je retourne en cuisine et demande de prendre ma pause. J'attrape mon portable et regarde les messages. Quelques amis et lui. Mon coeur se serre et un long frisson de peur parcourt ma colonne vertébrale. Seigneur ! Il ne va jamais me foutre la paix. Je passe ma main dans ma chevelure en quittant la pièce. Je marche sans regarder derrière moi. Traversant les couloirs de marbres en faisant claquer mes talons hauts noirs, contre le sol. Je pousse l'une des portes de sortie en laissant la fraicheur de la nuit caresser ma peau. La lumière orange clignote au-dessus de ma tête. La poste se referme et claque derrière moi. M'approchant de la rampe d'escalier, je m'accote les bras croisés sur le fer forgé. Fermant les yeux pour prendre un moment de détente. Le silence de la nuit me réconforte. Ce brouhaha disparait de ma tête. Dieu merci !

Le vent caresse la nudité de mes jambes. Le froid de la nuit picote chair en laissant un long frisson remonter. Ma tête bouge dans le vide formant des cercles. Je détache quelques boutons de ma chemise qui serre ma poitrine. Étouffant au passage ma respiration et enfermant sous ma poitrine mon battement de coeur. Ma jambe droite recule vers l'arrière remontant la couture de ma jupe vers le haut de ma cuisse. Criant une fine liberté d'imagination. Ma tête se fige et observe l'horizon. Une ruelle vaste et vide. Sauf quelques rats se promenant derrière les bines ou pataugent dans une flaque d'eau. Ma migraine qui toquait à ma porte disparait peu à peu.
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Janet Wright
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Janet Wright
∴ Pseudo : May
∴ Faceclaim : Hathaway
∴ Merci à : AV; Walden Gif; prettygirlgif SIGN; Anaelle
∴ Âge : 39 ans, la quarantaine qui approche, les rides qui se forment au coin des yeux.
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∴ Pronom inrp : She/Her
∴ Occupation : Joaillière. Elle connaît chaque pierre précieuse, chaque particularité. Elle a des collections qui ont été vendues à la famille royale.
∴ A Exeter depuis : Depuis bien des années. C'est son petit coin de pays. Elle l'aime autant qu'elle le déteste.
∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
∴ Géolocalisation : Se promène entre le manoir Wright et l'hôpital pour tenir la main de son époux.
∴ Vice : L'alcool, les narcotiques, la lingerie (elle dépense de ouf dans la dentelle)
∴ Triggers, refuse de jouer : Viol, pédophilie, cruauté animale.
∴ Triggers Warnings : Cancer, dépression, addiction à l'alcool et la drogue, mort, sexualité.
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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyLun 8 Mar - 0:55

Je n’arrive pas à penser. Non. Elle me rend la vie dure avec ses larmes, ses cris. Ferme ta putain de gueule, merde! Ma main qui se glisse sur sa gorge que je serre, silencieux, je la sens qui tremble, puis sa main qui se pose sur mon poignet. «Eh merde!» Je la repousse vivement. Rien n’y fait. Je n’y arrive pas cette fois, comme si sa vie était importante tout à coup… C’était donc ça, avoir un semblant de coeur? Une conscience? Comme si son apparition dans ma vie m’avait rendu lâche… Ma large main qui empoigne sa tignasse. «La prochaine fois… Tu seras enterrée vivante, c’est clair? Ne t’avise plus jamais… De me faire ce sale coup.» Un crachat à son visage, je la repousse sans douceur, n’ayant aucun remord si son crâne rebondit tel un ballon sur le bitume. Je sors de la chambre noir, tirant sur ma cravate. Juan, associé, toujours présent. «Tu n’aurais pas oublié le gala de bienfaisance, si?» Mes doigts qui viennent pincer l'arête de mon nez, mon souffle qui devient lourd. Ce gala. Que pour récolter des fonds dans les œuvres d’arts. S’assurer que le marché de l’art continue de bien fonctionner… Bien entendu, tous savaient qu’une partie des fonds iraient dans les poches des organisateurs avant de possiblement, un jour, finir dans les arts… Mais d’ici là… L’argent aura perdu sa valeur. Ma tête qui se secoue, ayant l’impression que mon cerveau se balance d’un côté et de l’autre. «Non… Mais avant, j’ai besoin d’un verre et d’un aspirine.» Je le contourne, allant directement vers ma chambre, oubliant de passer par l’aile ouest où sont occupés les fleurs non fanées. Ces putes qui viennent de partout dans le monde, celles qui gémissent et pourraient réveiller les morts.

Le sommeil est dur, profond. Et le réveille est plus que pénible. La migraine qui martelle mon front, la sueur qui imprègne mon corps. Je finis sous la douche, tentant de me trouver une certaine… Quiétude… Mais non, j’entends encore les hurlements de cette femme que j’ai tué il y a deux nuits. Ses cris de peurs, de douleurs avant que je n’abrège ses souffrances. Mon corps se raidit, Juan qui passe la porte. «Nous serons en retard par ta faute, Lorenzo. Il serait temps que tu te bouges.» Je soupire, lui réquisitionnant encore 5 minutes. Assez de temps pour sortir de la douche et me sécher. J’en prendrais 10 autres pour me vêtir et choisir quelle putain de chemise je vais mettre. Ça manque clairement de femmes dans ce manoir. Du moins pour aider aux goûts. Je prends le temps souhaité, optant pour un costard gris acier, une chemise blanche, des chaussures noires. Parfaitement cirées. Quelques bagues, montre au poignet, rien de bien clinquant, mais quelques choses qui prouve mes origines qui en demandent un peu. De la classe, de la richesse. Rien de moins. Un faux sourire, une clope qui se glisse entre mes charnues, que le spectacle commence.

C’est bruyant. Remplis de faux sourires, de coupes de champagne à volonté. Mon regard se perd dans la foule, souvent ramené à l’ordre par Juan. Quelques hommes de mains qui se promènent entre les convives, toujours à la recherche de nouvelles proies, de nouvelles demoiselles à ramenées au jardin. Jamais trop de demoiselles pour remplir les pièces de l’aile ouest. Je soupire, apportant mon verre à mes lèvres, mais rien ne se passe. Je la vois. La carrure de cette mâchoire, ses lippes pulpeuses… L’envie de me glisser entre elles. Le cœur qui palpite, sa chevelure qui se balance au gré de ses mouvements… Ses jambes galbées. Putain, je dois taire mes envies, parce que je vais finir en érection et c’est dure à cacher quand tu portes un foutu costard. Je me fis tirer de ma rêverie alors que je remarquais qu’un homme venait de la percuter. Un de mes hommes. Je vidais mon verre rapidement avant de serpenter jusqu’à lui. Ma large main qui attrapait son bras, mon regard sombre qui se perdait dans le sien. «La prochaine fois que tu la percute, tu perds l’usage de tes mains, c’est compris? Rappelle-toi de ce corps, de cette chevelure et mets toi la bien dans le crâne.» Ma main lâcha son bras avant que je ne me remette à la chercher. Nymphe de mes plus sombres désirs.

L’air frais buta mon visage. Je me posais près d’elle, mes bras prenant appuie aussi sur la barrière. «Bonsoir, Amaya.» Je sortis une clope, la pinçant entre mes charnues avant de la regarder. Elle est belle. Trop belle. J’ai l’habitude de la voir m’éviter, mais là, elle n’a aucune issue de secours. Il n’y avait que la lune, sa magnifique personne et moi. Je ne pouvais m’empêcher de lorgner sur son décolleté. Cette chemise blanche entrouverte, laissant présager mes pires idées. Je souris doucement avant de voir les marques sur son poignet. Je me raidis. Moi qui la voulait si fort, qui la désirait à un point que je ne pouvais pas imaginer… Doucement, ma main descendis de son épaule à son poignet que je relevais tendrement, posant mon regard noir sur ces blessures. «Je veux un nom. Et ne me dites pas que ce sont des blessures que vous vous êtes infligées vous même. Je ne vous croirai pas, Amaya.» Clairement, je ne pourrais pas la croire. Mon corps bouillait, de rage, d’amertume. Je n’avais pas été assez efficace pour la protéger… De qui, de quoi? Je soupire, ne voulant pas lui faire peur. Mon petit doigt qui vient longer la naissance de ta tignasse pour repousser une mèche qui bloquait sa vue. Ce soir, j’allais en faire la mienne.

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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyLun 8 Mar - 4:08

/!\ Je me corrige demain et je me relis aussi. (Jsuis dead sorry) /!\

Depuis plusieurs nuits, je n'arrivais pas à dormir. J'avais cette étrange impression qu'il me serait impossible de retrouver un sommeil paisible. Dormir pour oublier. Si seulement, la bonté de Dieu me permettait de sentir cette sérénité paisible dans mon for intérieur. J'aimerais pouvoir fermer mes paupières pour trouver un état second. Laisser mon corps s'apaiser sous les ondes positives de douceur jusqu'à ce qu'il trouve sa paix. Qu'il se réveille par lui-même sans appeler à l'aide. Je devrais couper cette chaine invisible me retenant par la cheville. Pourtant, se départir d'un passé n'a pas son pareil. Il est plus facile de tourner une page du bout de ses doigts que d'entreprendre une libération. Ma hantise ne s'éloigne pas. Elle répète ses gestes continuels pour se départir de toutes fautes. Elle aime réapparaitre pour jouer de ses mots, jouer de ses gestes en me brisant de nouveau. Je ne sais pas si elle me quittera un jour. En finir ! Je le croyais au début ! J'espérais que claquer la porte à son nez me libéra de ce nuage noir au-dessus de ma tête, mais non. La nuit où je pouvais respirer calmement sans sentir ma poitrine s'écraser est devenus une rêverie funeste. J'ai vaincu le mal une fois. Dont j'ai survécu, d'une manière quelconque. Mais pour survivre à une telle déchéance, il faut parfois laisser nos ailes pour revêtir la parure de chiffon d'un visage inconnu. Je pris Santa muerte pour qu'elle visite notre monde enfin de capturer ce mal qui me torture.

J'adore vivre en ville, mais les territoires sont marqués par la richesse d'un peuple. Il n'y a pas de limite entre l'incrédule et la profiteuse. Je suis peut-être naïve et je suis la reine de la maladresse, mais la réalité de la vie n'a pu cacher ses couleurs morbides devant mes iris curieux. Encore ce soir, la preuve est présente. Une rapace, une sans nom, une voleuse, une bonne à tout faire... Une image typique américaine voyageant vers la terre britannique. Colorant la langue des idiots. Le pouvoir n'est rien sans pilier sous leurs pieds. La peur a une odeur bien distincte, un parfum unique qu'on ne peut camoufler sous les diamants. Je soupire alors que la brise vient de nouveau percuter ma peau exposée à l'air. Apportant avec elle, une fine pluie tombant sous le néon. Dans cette foulée grotesque, je jouais. Je portais sur mon visage, un masque pouvant dissimuler toutes mes pensées. Un raz-de-marée de bêtise roulant contre ma langue pour freiner l'hypocrisie dominant ce genre d'évènement. Est-ce que la beauté de la vie est vraiment une œuvre d'art et non l'entraide ? Il n'y a que là, cet instant que je peux l'abaisser. Retirer l'apparence mensongère que j'exposais. Ça me plaisait. C'était comme une bouffée d'air frais !  Je commençais déjà à en avoir légèrement marre. Mes mains viennent serrer la barre de métal alors que j'avance vers écrasant ma poitrine contre. Mes lèvres s'entrouvrent, pour laisser quelques insultes sortirent. Une prononciation latine roulant mes r e la sensualité alors que les vulgarités font vibrer mes lippes par leurs saletés. Avez-vous déjà serré quelques choses tellement fort que vous n'imaginez pas ne pas l'obtenir ? Cette certitude, je l'ai toujours éprouvée. Parfois, j'aimerais recevoir de la poussière d'or sur mes épaules pour m'élever dans le ciel pour rejoindre Peter Pan. Partir à l'aventure sans sentir les regards désireux de vieux loups. M'éloigner de l'imbécilité qui m'entoure. Je sais, l'enfance évolue et l'âge adulte est terrifiant, mais j'aimerais partir au pays imaginaire. En fait, je voudrais me sentir comme Wendy tout comme Peter. Un brin de folie et de responsabilité. Je me redresse en soupirant sous cette image mentale. Connerie !

Le désire envieux traverses lors d'un instant mes pensées. Laissant aux crues de mon ventre, un espoir, dont la source, restera sans nom. Ce mélange n'est qu'un passage vers ma chute. Je suis jalouse ou non. Je ne rêve pas de belles robes, ni de souliers. Je veux vivre ! Sentir mes lèvres s'étirer sous un réel bonheur, et non la crainte. Je n'apprécie pas qu'on joue avec moi. Je sursaute alors porte lourde s'ouvrent sous ce bruit strident. Elle se referme alors que sa voix brise ma tranquillité. Le silence d'une faible pluie tombante venait de partir. Sa silhouette se dessina plus loin. Il faisait froid, mais, portant l'adrénaline, fit bondir mon coeur dans ma cage. La chaleur gravit mon coeur et le rouge caresse ma peau de couleur miel. Je me mords les lèvres. Je dois m'éloigner. Bouger de quelques pas. Mes yeux glissent dans ses iris. Ils cherchent une nuance d'âme. Une pureté dont ses traits me repoussent. La crainte. L'énergie du mal alpha. Je bouge vers ma droite. Me séparant de lui. Mon corps prêt à prendre la fuite. Puis, il glisse. Mon regard descend vers ses pommettes. L'observant. Le détaillant telle une femme examinant sa proie. Puis ses lèvres qui avaient prononcé mon prénom. Je reste concentrer sur babines avant de détourner le regard. Les marches pour rejoindre la ruelle sont de son côté, et la porte aussi. Merde !

Je ne me faisais aucune illusion en la matière. Je ne suis pas folle ! Un homme de son pouvoir s'amuse avec le gibier. Je suis la lapine voulant s'échapper et lui le loup désireux d’insérer ses crocs dans ma nuque. Putain. Mon cerveau crie ! Est-ce un homme honorable ? Surement pas ! Les hommes fortunés veulent tout avoir. Ils sont orgueilleux. Ils rirent de l'honneur de la femme. Je regarde vers lui. Je viens soutenir son regard. Ma voix brise le silence laissant les mots devenir fantasme. Une caresse vibrant dans l'air sous la tonalité de ma voix. "Je ne croyais pas vous apercevoir ici...Bonsoir, monsieur Vincci..." Un petit soupire bruyant vient terminer ma phrase. Pourquoi ai-je victime de mon propre sort. Je le croise partout.

Je me redresse alors que je me sens observer. Je déglutis en clignant des yeux. J'avale ma salive. Pourquoi ne pouvais-je pas rester avec la compagnie de la lune ? Je frissonne sous son simple toucher. Sa main qui descendant de mon épaule à mon poignet. Je jure poliment alors que son regard se transforme. La lueur n'est pas celle qui avait parcouru ma personne plus tôt. Je ne dis rien. Je ne veux pas parler. Mais, voilà qu'il recommence. Sa main s'approche de moi. Par réflexe, j'essaie de reculer, mais je m'arrête. Le laissant faire. Repoussant une mèche bloquant ma vue. "Je...Je ne vous donnerais pas de nom." Un nom ? Il est sur l'écran de mon portable. Il est l'harceleur que j'essaie d'éloigner de moi. J'approche mon poignet contre ma poitrine tandis que mon autre main vient le recouvrir. "Ce n'est rien, un accident...Vous n'avez pas à vous inquiéter de quelques choses qui ne vous concernent pas.'' Je serre mon poignet en maudissant ce con. J'avance pour tenter de passer devant lui et m'arrête. "Vous..." Je secoue la tête. '' Merci..." Merci de quoi ? De son inquiétude ? Suis-je rendue à ce point ? Je suis ce petit oiseau bien curieux. J'abaisse mon regard vers ses pieds. Honteuse de cette marque. Je retrouve son regard souriant timidement. Honteuse d'être une femme faible.
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Janet Wright
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∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
∴ Géolocalisation : Se promène entre le manoir Wright et l'hôpital pour tenir la main de son époux.
∴ Vice : L'alcool, les narcotiques, la lingerie (elle dépense de ouf dans la dentelle)
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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyMar 9 Mar - 2:24

Je dors mal. Je rêve d’elle, de sa plastie. Celle que j’aimerais toucher, caresser sous la pulpe de mes doigts. Elle va me rendre fou à force. Étrangement, je n’ai pas été capable de me caresser en pensant à elle. Ni même baiser en imaginant son visage. Elle est unique. Ça me perturbe. J’ai beau chercher, rien n’est comparable. Elle me rend vulnérable, insatiable… Pourtant, elle m’ignore. Chaque fois que je vais au putain de restau où elle bosse. Chaque fois que j’ai envie de prendre son numéro ou que je me présente. Elle fuit. Telle une putain de vipère. Elle est fourbe, condamnée à fuir les hommes? Elle pourrait être la femme qui me ferait cesser le trafic d’humain. Cesser mes conneries et pourtant, elle s’évapore comme un putain de rêve. Elle me hante, m’obsède. Je ne cesse de venir au restau, que pour voir si elle est là, à la limite du harceleur. J’ai même fait envoyer des fleurs, alors que j’Avais prit l’habitude d’en mettre dans mon putain de jardin pour cacher les trous causés par les tombes. Elle me donnait chaud, froid, me faisait perdre mon but. Chaque fois que j’y allais avec des hommes d’Affaire, je perdais le fil, me perdant dans son regard, sur ses lèvres, sur la rondeur de sa poitrine ou même de celle de ses fesses. Je me perdais. Elle était mon putain de néant.

Mon sourcil s’hausse. Ne pas me voir ici? Elle connaissait pourtant une partie de mes finances. Costumes hors de prix, jolie voiture, montre et bijoux luxueux. Tout chez moi puent la luxure, le désir, le pouvoir et pourtant… Je ne désirais rien de plus qu’elle. À cet instant précis. J'espérais qu’elle ne se dérobe pas. Qu’elle reste là, à me tenir compagnie. Mon veston quitterait mes épaules pour se poser sagement sur les siennes afin d’éviter qu’elle ne prenne froid. Derrière mon masque de monstre, je savais me montrer gentleman, doux et agréable… Tout pour que les femmes, ces douces créatures perfides, profitent du bien que je pouvais leur offrir. Loin de me compter comme étant l’un des meilleurs, je connaissais mes compétences et l’envie de prendre cette femme, ici et maintenant, faisait battre le tambour dans ma cage thoracique. L’envie de soulever cette jupe, de caresser ce magnifique fessier et d’en prendre une mordée. Elle est belle, même dans l’ombre, même quand on remarque le désespoir sur son visage… Même avec cette blessure au poignet… Je n’aime pas ça. Pire, quand je sais que ces marques, elles ne viennent pas de moi. Je prends une profonde inspiration, exigeant un nom… Mais rien. Elle refuse. Se refuse à moi. Encore.

J’aime pas savoir qu’on a posé la main sur elle. Encore moins qu’elle tente de s’échapper de ma poigne. Pourtant douce… Peut-être féroce, je n’en sais rien. Je prends une profonde inspiration, prêt à la retenir, mais elle s’arrête. Mon tambour augmente. La veine saillante de mon cou ressort. Je déteste quand elles n’obéissent pas. Quand elles me contrarient. Les femmes. Diablesses, divines créatures. Eh merde. Je serre le poing, glissant mon autre main dans ma poche de pantalon avant de la pointer du doigt. «Vous savez, c’est ça votre problème, à vous les femmes. Quand vous avez un problème et que l’on vous tend la main. Vous refusez. Après vous dites que les hommes sont tous… Idiots.» Elle me fait rager. Après, je la comprends… Possiblement que je serais terrorisé aussi, mais putain, j’ai besoin d’elle dans ma vie. Besoin de sentir son souffle contre ma bite. Ouais, voilà. Je soupire avant de passer une main sur mon visage. Elle a le don de me faire rager. «Si! ÇA, ça me concerne! Je ne peux accepter que l’on marque ma… Que l’on vous marque!» Mon ton était sec, raide. Sans équivoque. Elle me rendait fou, impitoyable, tant pis si je devais tuer un homme. Parce que c'est mon problème; la possessivité.

Je reviens vers elle, posant mes deux mains sur ses joues. Mon pouce qui caresse sa lèvre inférieure. Tout ce dont je rêve depuis des mois, tout ce qui m’est interdit. Je gronde. Prenant une profonde inspiration, je souris. Je dois être plus doux, plus tendre… Enfin, me montrer ainsi, gagner sa confiance, tel un loup qui entre dans la bergerie. «Je… Vous me plaisez. Je sais, ce n’est peut-être pas votre cas… Mais en aucun cas, je laisserai qui que ce soit poser la main sur vous… Sauf moi… Laissez-moi… Vous montrez...» Elle est hypnotisante. Si belle, si agréable. Je dois me faire une contenance pour ne pas la soulever et la prendre immédiatement, sans aucun préavis. Mon regard sombre dans le sien. «Donnez moi le nom de la personne qui vous a marquez. Maintenant.» Hors de question de supplier. Elle allait me donner ce que je voulais. Ma main droite quittait sa joue pour glisser le long de son bras, puis de sa hanche pour venir se glisser sur le bas de son dos. Elle était à moi. Maintenant et à jamais. Et personne, ni même elle, pourrait en choisir autrement.


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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyMer 10 Mar - 0:16

Un souffle chaud se libère d'entre mes lèvres un nuage blanc. Une brume se dessinant dans l'air disparaissant. Il n'y plus personnes. Plus aucun bruitage entre nous. Un univers se coupant du reste de l'existence. Mon coeur s'arrête alors qu'il me regarde. Ce regard brûlant m'observant telle une pièce de collection. Je sans ma poitrine se presser de l'intérieur. Une douleur qui rebondit dans la cage le protégeant de toute humanité. Ma respiration se fait plus dense. Le corps crie sous sa présence. Il est encore là ! Sa carrure me dominant par sa grandeur. Je l'observe. Je l'examine. Mes iris qui se déposent sur sa personne. La nervosité saisit ma gorge. Retirant la salive rendant ma bouche, sèche. J'essaie d'avaler, mais rien. Il est beau, je ne pourrais dire le contraire. Il est impressionnant, ses sourcils épais, son regard rempli de dureté, ce nez arlequin, cette barbe et sa fine lèvre supérieure cacher par celle du bas. Je me demande quel goût pourrais-je y trouver. Je balaye cette idée alors que mes yeux descendent le long de sa nuque. La musculature se dessine. Est-ce qu'il si musclé que certaines cherchent à dire au restaurant ? Mes paupières se réfèrent et s'ouvrent sous un clignement. Mon coeur bat de nouveau. Un petit coup alors qu'il s'approche pour poser sa veste sur mes épaules. Mon arche sourcilière droite se soulève pour le questionner. Trop de questions me parviennent en cette nuit. Je le croyais cruel. Un homme sans fondement tel, son apparence le laisse croire. Une pourriture de riche profitant de la faiblesse des femmes. Est-ce qu'il est ainsi ? Je reprend mes pensées. J'ai l'habitude d'être prise au dépourvu par la moindre noirceur. Un sac pouvant libérer la colère d'une journée ennuyante.

Ma main vient serrai son veston. Cachant la nudité que ma chemise dévoile. J'ouvre la bouche et la ferme. Un rire s'échappe d'entre mes lèvres alors qu'il critique les femmes. Pouvons-nous parler des hommes et leurs problèmes de masculinité ? Le contrôle, la positivité, l'orgueil, la fierté, l'idiotie et je passe. Ils se pensent supérieurs à la femme depuis des siècles. Il est misogyne comme bien de ses confrères. Ma tête se penche vers mon épaule. Observant ses traits, se plier alors que le mot vous est répété. Je suis alors mise dans le dossier des communes. Une arnaque venait d'être brisée sous ses paroles contradictoires. Un commentaire qui n'aurait pas dû être prononcé. Je ris encore. Mon index s'étire vers lui. Le pointant du toi copiant son geste puéril. Affichant fièrement un large sourire moqueur. "Nous ? C'est peut-être justement avec ce comportement d'homme mal baisé qu'on refuse votre aide ! Puis justement ! Vous êtes idiots ! Mettre toutes les femmes dans le même panier ! Vous n'êtes pas mieux...'' Dis-je sèchement en mordillant ma lèvre. Mes paroles et mes gestes ont été plus loin que ma pensée initiale. Je me voyais créer cette scène, et non dans ma réalité. J'avale afin ma salive. Je regarde vers la gauche voulant de nouveau fuir plus loin de lui. Défaire ce lien qui me rattache à lui. Nouant mes mains aux siennes. La froideur qui glisse le long de ses syllabes. Sa voix grave venant dur. La fermeté est présente. J'ai l'impression d'entendre un loup grognant à sa meute d'obéir. Je cherche à le fuir du regard par craindre. Reculant vers l'arrière. N'appréciant pas sa présence.  J'ai envie de fuir. Mes jambes veulent partir loin. Courir pour m'éloigner de lui pourtant mes pieds reste figés au sol. Je soupire par l'incompréhension me dominant. Ce fichu cerveau refusant de réagir normalement. La cupidité me tuera. "Qu'on me marque ? Ce n'est rien ! Je suis simplement Amaya la petite serveuse. Ne vous inquiéter donc pas pour ma vie personnelle...merci.'' Mon sourire disparu. Mon visage n'exprime plus rien. J'essaie de me montrer forte. Sauf que je tremble. Mes jambes veulent céder sous mon poids. L'état de panique vient faire sonner mon alarme.  Mon coeur bat de nouveau. Un battement irrégulier. Ma poitrine monte et descend sous ma respiration.

Je recule d'un autre pas puis plus rien.Mon corps se fige alors que les paumes de ses mains capturent mon visage. Je plonge mes pupilles brunes dans les siennes. Son doigt venant doucement caresser les lippes qu'il n'a jamais goûtées. Ceux le gênant depuis quelques secondes. Celles voulant le rabaisser pour partir loin de lui. Pour ne pas devenir captive de nouveau.  Mes traits changent. La peur vient se glisser sur eux. Le visage apeuré de recevoir un coup, une gifle, un poing. Je respire plus lentement sous l'arrêt cardiaque qui se produisait en moi. Qu'est-ce qu'il me fait celui-là ? Mes yeux s'élargissent. La stupeur se dessine sur visage. Ses paroles tournent en boucle dans ma tête. J'ai l'impression d'entendre un vieux disque marqué par un défaut. Des mots répétitifs sans sens. Je cligne des yeux. J'ai froid. J'ai chaud. Mon Dieu ! La sueur glisse le long de mon dos. J'entrouvre les lèvres de nouveau pour les refermer. Sa main qui me parcours me rapprochant de lui. Ma poitrine appuyant contre son torse. Une main se dépose sur son épaule. Je me laisse guider vers lui. Sa veste tombant peu à peu de mes épaules. Mes lèvres sont si proches des siennes que je pourrais m'approcher de lui pour les capturer. J'ai envie d'y goûter. Presser les miennes contre ce bout de peau. Ma main quitte son épaule pour rejoindre sa poitrine et me pousse un peu. Faiblement comme si je n'ai pas envie de m'éloigner de lui. '' Lisandro Rojas..." Finis-je par murmurer. Mon souffle se pose sur ses lippes. La menthe poivrée sort d'entre les miennes se mélanger au beurre de fraise de ce baume. Merde ! Qu'est-ce que je viens de faire. Qu'est-ce qu'il pouvait y faire d'ailleurs. Lui donner de l'argent pour qu'il ne m'approche plus ?
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Janet Wright
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∴ Occupation : Joaillière. Elle connaît chaque pierre précieuse, chaque particularité. Elle a des collections qui ont été vendues à la famille royale.
∴ A Exeter depuis : Depuis bien des années. C'est son petit coin de pays. Elle l'aime autant qu'elle le déteste.
∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
∴ Géolocalisation : Se promène entre le manoir Wright et l'hôpital pour tenir la main de son époux.
∴ Vice : L'alcool, les narcotiques, la lingerie (elle dépense de ouf dans la dentelle)
∴ Triggers, refuse de jouer : Viol, pédophilie, cruauté animale.
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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyMer 10 Mar - 2:05

Elle ne semble pas comprendre l’importance qu’elle a pour moi. Même si nous ne sommes rien. Que deux inconnus qui n’ont jamais réellement pris le temps de se connaître. Pourtant, elle m’obsède. C’est viscéral. Vital même. Et ça me rend totalement fou de rage de savoir qu'elle a pu être malmenée par quiconque. Un truand, un enfant de pute si je ne m’abuse. Quel monstre pouvait lever la main sur une femme? Bon, je généralise, c’est vrai. Je fais moi-même partie de la classe trou de cul, abuseur et créateur de féminicide. Mais la question n’est pas là. Quelqu’un a osé lui faire du mal et elle refuse de façon assez catégorique de me donner un putain de nom. Je sens mon sang qui bouille, qui ne fait qu’un tour. Je pourrais tuer tout les mecs qui osent la regarder parce que je pourrais croire qu’ils sont l’auteur de cette petite marque. Oh, une marque de rien du tout, un poignet serré trop brusquement. Marque que moi-même, je risque de lui laisser un jour ou l’autre. Un jour où elle sera totalement soumise, le jour où elle comprendra que ma présence dans sa vie est… Utile et nécessaire. Putain, elle me fait perdre la carte. Totalement. Elle me pique, à mal. «Mal baisé… Vous saurez que… Non, mais merde! Toutes dans le même panier! Oui, oui! Parce que les femmes ne sont que des créatures perfides et d’une faiblesse à faire peur!» Ma main qui se passe sur mon visage, tentant de cacher ma fatigue. Parce que les femmes et leurs grandes gueules, sont épuisantes.

Elle est rien. C’est ce qu’elle dit. Elle s’emporte. Elle est mignonne. Son accent espagnol qui roule sur sa langue. Langue que j’aimerais goûter, ne m’en déplaise. Elle est adorable, ce petit nez, ses lèvres charnues qui m'appellent. Je dois me battre intérieurement pour ne pas la plaquer au mur, soulever cette jupe trop courte et marquer mon territoire à grand coup de butoir. Elle me rend fou. De désir, de possessivité, de soumission, de sadisme. Je la vois déjà, couverte de dentelle, les mains liées, soumise et éprise, la lèvre tremblante, réclamant un autre orgasme. À la limite de la douleur, du désir et plaisir si pur que l’on en souffre. Sa peau couverte d’une fine couche de sueur, qui me ferait plaisir de lécher afin de ne jamais oublier son goût. Je secoue la tête, chassant toute idée perverse de mon crâne avant de venir frotter mon front. Elle est épuisante. Cesse de te battre Amaya et soumet toi au nom de Dieu. «Rien? Non. Vous êtes une personne. Une personne salement séduisante.» Et canon et sexy et baisable et tous les autres qualificatifs pour exprimer mon désir d’obsédé. Merde de merde, elle va bien finir par me tuer si elle continue à rouspéter… Ou ça sera par violence qu’elle sera soumise. Mes larges mains sur ses joues, je finis par lui faire comprendre que je suis celui qu’elle a de besoin. Tel un héros, mais sans capte et plus pervers.

Sa main sur mon épaule, le frisson qui me parcourt. Elle pourrait sûrement sentir mon érection naissante. Suis-je faible? Oui. Est-ce qu’elle signera mon chemin de croix? Fort possible. L’envie de lui kidnapper ses lèvres, de la faire fondre sous mon doigter me brûle. Ma main qui se pose sur la sienne, alors qu’elle tente de se sauver, mon visage qui se penche vers le sien. Son souffle qui bute contre le mien. Menthe poivrée. Je souris. Elle laisse échapper le nom. Nom qui restera gravé dans ma mémoire temps et aussi longtemps que cet homme pouvait encore respirer. J'hoche la tête, repoussant de nouveau une mèche de ses cheveux, avant de prendre son menton entre mon index et mon pouce. «Plus jamais, cet homme ne vous touchera. J’en fais ma quête, d’accord.» Mes lèvres qui effleurent les siennes. Elle sent bon. Agréablement bon. Je viens remonter mon veston sur ses épaules, puis je la garde contre moi, reprenant le chemin du gala.

À peine avons- nous posé un pied à l’intérieur que je remarque mes hommes de mains qui reviennent. Un regard silencieux, je replace la veste sur ses frêles épaules. «Ne bougez pas. C’est un ordre Amaya.» Je relevais son visage, capturant ses lèvres, arrachant un baiser qui ne m’était peut-être pas dédié. Un de mes hommes reste avec elle, la détaillant de haut en bas. Elle se doit de rester. Possiblement que je lâcherai mes chiens sur elle si elle quittait. «Lisandro Rojas. Je le veux vivant. Et fait tout pour qu’il suive.» Regard entendu, Juan qui fait signe à deux des hommes de le suivre, alors que je reviens vers cette douceur. Cette femme, si belle… Si sauvage. Mon bras qui se remet autour de ses épaules, je me rends à l’ascenseur. Silence radio durant le trajet, jusqu’à la chambre. Lumière tamisée, je verrouille derrière moi. Mes mains qui viennent retirer le veston, je soupire contre sa nuque. Elle sent bon. Mes pattes, sales pattes qui se posent sur ses hanches, les serrant légèrement. Mon bassin qui se colle à ce fessier qui me faisait rêver. «Amaya… Que désirez-vous...» Je veux qu’elle se détend, qu’elle se laisse aller. Qu’elle s’offre à moi et que je m’offre à elle, lui exauçant ses pires péchés.
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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyMer 10 Mar - 11:47

Sa voix suggestive, suave comme la soie, ondoie près de moi. Mon coeur toque de nouveau dans le centre de ma poitrine. Bougeant sous son mouvement. Mon corps chute dans la folie qui le consume depuis son apparition. Son parfum me parvenant aux narines. Son regard dont la froideur laissait entrevoir une faible lueur dansante dans sa pupille d'un noir des bas-fonds. La lourdeur de ses gestes vient à moi telle une vague saluant la plage peuplée de touriste. Alors que l'eau recule peu à peu vers la plateforme droite de la terre. Pour venir percuter la voie terrestre d'un seul coup. Volant dans l'emprise d'une tempête tropicale. Détruisant tout sur son passage. Apportant dans sa sauvagerie, ce qu'elle désire: des vies. Je suis prête à encaisser les railleries de Dieu, mais suis-je consciente seulement du bouleversement émotion qui me titille de l'intérieur. La vibration qui me saisit de ses bras. Glissant ses longs doigts aux ongles affuter contre ma nuque. Laissant ses bouts insérer pénétré ma peau afin de me retirer ce dernier souffle de pureté que je possède. Il n'y a aucune conscience. Aucun jugement pouvant aborder la conception de ce lien. Ce dé ayant roulé contre le bois de la table, nos deux visages comme remplaçant le point noir. Je ris alors que sa tonalité brise ce silence que je croyais créer. Je sursaute sous les mots sortant de sa bouche. Mon corps chute dans l'impression de déjà vu. Un effet fait monter la nervosité en moi. Cet état second qui apparait lorsqu'un doute ou un sujet sensible est apporté. À mes yeux, une crainte venait de naître. Mes sourcils se plissent un vers l'autre. Mes joues se gonflent et ma main me chauffe. J'ai envie de lui coller une droite, mais je ne fis rien. Je restais droite comme une idiote de première. Mes ongles rentrant dans les paumes de mes mains. Je me mords la lèvre cherchant à créer un mal pour me punir. Un léger glousse, accompagnant son commentaire. Son jugement sans fondement juste. Je l'injure intérieurement. Lui souhaitant de tombé bas. Je déteste la richesse ! Cet univers superficiel qui brouille leurs capacités facultatives. En redressant la tête. Je lui lance un regard noir. ''Perfide ? Si je suis une créature si dégoutante...alors, laisser ma faiblesse en paix.'' Je suis directe. Ma langue plaque contre le palais roulant les mots. L'accent gravit ma vibrance. Tristesse ou énervement, tout n'est qu'un mélange sentimental. Un cocktail bien arrosé qui aimerait être dégusté. J'avais pris l'habitude comme serveuse des hommes ivres en costume. Ils abordent si facilement leurs fiertés et orgueils que je suis dégoutée. Pourtant, je le laisse me parler ainsi. Moi qui serais normalement rapidement partie. Pourquoi son visage étirer par la fatigue, sa brutalité et son franc parlé ne me repousse pas encore. Comme j'ai l'habitude de faire ? Il classe les femmes tel un bout de carton. Ignorant les avantages de certaines pour les désavantages des autres. Cet homme dont je connais que son nom de famille pouvait avoir tous les monstres des marais comme compagnes. Il y a un groupe de femme à l'intérieur bien pompette vêtue de tenues si moulantes qu'elles devraient être prohibées. Sauf qu'il est là. Parlant avec la pauvre enfant piteuse que je suis. Est-ce qu'il se cherche une Cendrillon pour faire chaussure à son pied ? Je ne serais pas celle lui laissant cette chance. C'est certain que malgré mes dires son choix est ensorceleur. Je mens sans cesse.Disant à mes collègues qu'il est deux sur dix. Je me mens, car, physiquement, il décroche un quinze sur dix. Comment ne pas sentir faible devant son un mètre quatre-vingt-dix en présence de mon un mètre cinquante-cinq. Il est un géant et moi, une naine. La bête devant la belle apeurer qui veut retourner sous la jupe à sa mère. Je hausse les épaules alors que je lui explique qu'il faut me laisser libérée. Une paix bien méritée. Je devrais déporter mon attention sur un autre que lui. Nous évaluons la situation si facilement. Je suis loin d'être de la structure grandiose d'un immeuble de New York. En autre, je suis la petite fleur poussant dans une ruelle dont le seul ami est un bout de papier plier rapidement. J'aurais préféré ne pas sortir pour qu'il tombe sur moi. La frustration vient contredire ce faible sourire naissant aux fissures de mes lèvres. Dois-je rire ? Ce petit pli au centre de son front le rend ... charmant comme effrayant.

J'ai temporairement honte de l'implication de mes paroles sèche. Mes problèmes rationnels ne doivent jamais venir se glisser entre moi et mes clients. Le travail reste le travail. Peu importe la situation. Mes poignets n'auraient jamais dû être perçus par son oeil. J'ai mal au coeur. J'ai envie de vomir. Je me sens mal intérieurement. Je préfère le cacher. J'aurais pu seulement dire que je suis fan des jeux de rôles ou m'inventer un compagnon de jeu. Pourtant, je ne mérite pas cela. J'essaie de me calmer, un peu. Je soupire en tentant d'emprunter une route d'explication différente. Trouver une solution pour me départir de la gêne qui s'empare de moi. Je n'aime pas ce lieu. Comme la plupart des lieux dont l'apparence devient une règle d'or. En fait, je n'ai jamais apprécié les gens de la grande ville. D'une certaine manière, je suis aussi effrayée par sa personne que par la colère qui se renferme en moi. Les invitées se trouvant à l'intérieur du grand hall d'hôtel me dégoûtent, mais, lui. Je ne pourrais mettre le mot dessus. Il est jeune. Célibataire d'après mes collègues. Certaines le surnomment le prince charmant. Hélasse, on n'obtient pas un le succès sans être impitoyable. Surtout à un si jeune âge. Ce Vincci m'impressionne, m'effraie et me rend perplexe. ''Pardon ?'' Dis-je aussi rapidement que possible. C'est un dans un cauchemar que je devrais entendre ce genre de parole. J'ai toujours été persuadée qu'il ne voyait que les hommes. '' Tu fais erreur.'' Adieu la politesse. Sur le balcon de sortie de la ruelle, je suis frappée de plein fouet par un compliment. J'incline la tête pour signifier que je le prends pour un idiot. Je n'ai pas besoin de plus pour établir que je dois parier d'ici ! Trouver une façon de m'éloigner ou lui donner ce qu'il désire pour ne plus jamais le revoir. Il faut une distance entre nous. Un espace sécuritaire.

La fraicheur de la nuit vient se joindre à la fine brise. Le vent caresse de sa douceur ma main qui quitte l'épaule carrée de l'homme près de moi. Celui m'ayant approchée de son corps musclé. Cette carrure de Dieu grecque. Les bouts de mes doigts chutent délicatement sous le tissu de cette chemise. Laissant se dessiner sous la curiosité le muscle du bras de cet homme. Je redresse le regard à la recherche du sien. Je n'ai pas l'intention de me justifier. Se justifier, c'est plaider coupable. Or, je ne suis pas coupable. Celui devant, moi, par contre, si. J'embarque dans son jeu volontairement ou je suis hypnotisée par sa personne. Mon bassin se rapproche. Mon ventre contre son bas ventre. Ce gonflement préparatif prenant forme dans ce pantalon trop ajuster à ses hanches. Ma main finie entre nous. Je m'approche de ses lèvres qui m'attirent. J'ai envie de poser les miennes. Je cris de résister de ne pas descendre aussi bas ! L'idée de m'échapper est disparue. Ma succube endormie vient de se réveiller d'un long sommeil. Elle est prête et désire tout. Un coup d'un soir. Une non-reprise. Elle se voit déjà quittée alors qu'il dormira dans les bras de Morphée. Je recule d'un bras. Poussant, contre son torse. Voulant me départir de cet agacement. Une main se pose son la mienne. Serrant ce membre. Je m'approche plus. La chaleur de son corps vient contre la mienne. Traversant le textile de son haut et du mien. Deux corps bouillants d'une volonté. Un moment qui pourrait disparaitre sous le levé d'un soleil. Apportant les souvenirs d'une nuit mouvementée avec moi sous le claquement de la porte de chambre. Ma voix murmure le prénom d'un amour lointain. Une ancienne flamme ayant pris mes ailes pour m'en départir à jamais. Ce prénom n'avait plus le même sens. Plus la même signification. Le mépris est dissimulé dans la noirceur d'une vie. Il est là quelques parts à nous observer. Il est surement sous ce lampadaire au loin. Les yeux rivés sur l'homme dont mon corps se presse de plus en plus contre le sien. Je sans sa colère. Je sans qu'il n'aime pas que je sois abordée. Je me souviens encore du jour où son premier coup est venu sur moi. Le second fut moins douloureux, et ceux qui ont suivi aussi. Je ne pourrais pas dire le contraire de ses paroles. Elles m'ont marquée à jamais. Elles sont gravées en moi. Elles me détruisent alors qu'il n'est pas là. Il peut être au lit avec une autre ou assis au bar du quartier que ses mots me poignardent encore. Je ne veux plus de cela. Je ne veux plus d'un homme me brutalisant. Je m'approche de nouveau de ses lèvres alors qu'il cite une promesse. Un dire que je ne crois pas. Je les sens bouger contre les miennes. J'ai envie qu'il force un cillement. Un baiser passionner et brutal. Qu'il montre cette gêne prisonnière de son vêtement.

La normalité fait partie de moi. Elle est bien présente sauf que je reste humaine. Un animal dont la sexualité grimpe facilement. Je secoue la tête et lève les yeux au ciel avec une moue incertaine. Devrais-je le suivre. Lui qui vient de me rapprocher de lui sans rien demander. Du coin de l'oeil, je cherche un chien de garde. Une personne qui me disait de ne pas continuer ma route. Ignoré ce que mon corps me dicte. Il doit se cacher dans un coin. C'était une mauvaise idée de rentrer avec cet homme me guidant vers l'intérieur. Une mauvaise idée de quitter mon poste sans revenir. Et la pire idée du siècle est de ne pas me départir de ce sacrifice qui ne me déplait pas. Comment ai-je pu devenir si faible en quelques secondes en embarquant dans son jeu ? Je suis exaspérée de ma naïveté. Une faiblesse qui devrait être mise au placard. Tout cela n'a plus d'importance dans un sens. Je me suis mise en danger. Je vais finir comme les rêveuses dragueuse dans la salle de réception. Au bras d'un inconnu. Une image d'une fille facile. Voilà ! J'ai l'impression d'être une croqueuse de diamants présentement.Je l'observe et déglutis. Je n'ai jamais le temps du regard sincèrement. Je ne sais pas pourquoi. Mon corps réagissait toujours à sa présence lorsqu'il s'assoit à l'une de mes tables. J'ai voulu fuir pour me départir de ce sentiment. Qu'il est beau. Je me redresse légèrement alors que nous franchissons la porte. La lumière agresse ma vue. Je ferme un oeil continuant à avancer dans le couloir. Un long soupir s'extirpe de la barrière de mes lèvres. Tout ça pue. Pour la sixième fois en moins de trente minutes, je me maudissais. Quelle sottise vais-je commettre ? Belle erreur...

Un claquement métallique me fait sursauter alors que la porte lourde ferme derrière nous. J'abaisse la tête pour regarder devant moi. Des hommes s'approchent. Je me mords la lèvre sans rien dire. Sans rien commettre. C'est étrange. Je sais qu'il possède une certaine fortune, mais au poids d'avoir une sécurité ? Il se tourne vers moi. Replaçant sa verste sur mes épaules. Ma main vient attraper le col pour le serrer. Cachant le peu de poitrine, qui n'était pas couvert. Seigneur ! Je baisse le regard et je comprends enfin. J'avais oublié que j'avais défait plusieurs boutons de mon haut. Je rougis à l'idée. Merde ! Idiote ! Je fis oui de la tête alors qu'il relève ma tête. Ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Un simple baiser fuyant. Un toucher si banal, mais j'en veux plus. Je cligne des yeux. Mon corps reste droit. Immobile comme il avait ordonné. Je me mens. Depuis le début ! Je remarque rapidement l'homme à mes côtés. Je lui souris gêner pour regarder le sol aussitôt. La situation me rend mal à l'aise. C'est l'incompréhensible. J'ai l'impression d'être un roman de pacotille. Un personnage principal qui connaîtra un virement crucial. Une route qu'elle n'aurait pas dû prendre. Je me mords la lèvre. Mon regard posé sur lui. Son large dos.

Un bras contournant mes épaules pour me guider vers l'ascenseur. Je regarde derrière moi. Qu'est-ce qu'il avait dit aux hommes. Certains sont là derrière nous. Je reviens vers les portes qui s'ouvrent devant nous. Un petit bruit me surprenant. Je rentre sans rien dire. Sans parler. Ni même le questionnaire. Il est trop tard maintenant pour tout abandonné. Je suis la lapine prise dans la cage d'or. J'aurais du retrousser le chemin et non rentré dans sa chambre. Je me laisse faire. Je le laisse me toucher. Retirer ce veston gênant. Sa bouche contre ma nuque. La chaleur de son soupire, caressant ma peau. Je frissonne de nouveau. Ses mains se déposent contre moi. M'attirant vers lui. Mes fesses touchant le bas de ses jambes. Je suis si petite et lui si grand. Ma tête va vers l'arrière pour affronter sa personne. Je souris gêner. Ce que je désire ? Ce que je veux ? Partir ! Non, je veux faire une belle connerie ! Avoir un remord de plus dans mon libre. Mes mains se posent sur les siennes. Les repoussants. Mon pivote sur moi-même avec une lenteur. Mes yeux viennent alors plongés dans les siens. Je souris faiblement. Apeuré ou nerveuse ? Mes doigts viennent sur mes boutons. Détachant le premier, le second. Je détache un à un. Retirant ma chemise de cette jupe pour la laisser, tomber derrière moi. Laissant à sa vue ce soutif blanc à dentelle. Je m'approche de lui. Posant une main tremblante, contre son torse en ne le quittant pas.

Je ne suis pas vierge ! Seigneur non. Sauf que la pratique d'un coup d'un soir n'est pas pour moi. Normalement, je me serais refusé un tel acte. Je ne comprenais pas les femmes pouvant s'adonner à ce genre de pratique. Pour moi, je me donne seulement à l'être que j'aime. Hélasse pas cette fois-ci. J'ai envie de comprendre ceux qui ne veulent que baiser. Ceux qui s'échappent sous ce plaisir charnel. Je me redresse sous le bout de mes pieds, une main attrape sa chemise. La serrant, entrent ses doigts. Le forçant à s'incliner. Venant presser mes lèvres, contre les siennes.. Lui arrachant un baisé. Pour la honte que je ressentais, je vais l'oublier. Je vais simplement profiter du moment. Lui volant un baisé. Le contact est fugace. Sa bouche me semble brûlante ou est-ce la mienne ? L'idée de le repousser ne me vient plus à l'idée. Ce qui me vient à l'esprit: ce que je veux, c'est plus ! Ma langue cherche un passage. Elle veut goûter la sienne. Goûter la saveur qu'elle renferme. Mais j'ai à peine réalisé ce que je suis en train de faire que l'une de mes mains est venue se glisser derrière sa nuque. Elles sont si douces. Plus que leurs aspects ne laisseraient supposer. Je reste réalise ce que je fais. Je me pose sur mes pieds. Oubliant la recherche de son muscle, enfermer. Je recule et le rouge colore mes lèvres. ''Pardon...'' Pardon de quoi ? Que j'aurais pas du. Un silence gêné suit. Je m'efforce d'ignorer le fait que j'ai froid depuis que je ne suis plus contre lui. Je reste là gêner.Puis je me plie pour ramasser mon haut. Seigneur ! ''Pardon... Je me suis précipitée et...'' J'en veux plus. J'ai besoin de plus. Je serre ma chemise contre ma poitrine. Nerveuse, je le regarde. Qu'est-ce que j'ai fait... S'il te plait ! Brise la situation. Embrasse-moi !
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∴ Statut : Mariée. Depuis bientôt 17 ans. Elle s'est mariée à son amour de jeunesse, qui est en phase terminale.
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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyVen 12 Mar - 19:48

Nos mouvements nous mènent à la chambre. Celle que je me plaisais à réserver à chaque fois que je venais dans cet hôtel. J’aime la luxure, les parures riches de l’endroit. Place qui me rend encore plus précieux. La porte fermée à double tour, je sais que l’un des hommes y restera devant, pour la nuit, pour le temps que je suis encore dans cette pièce. Il frappera au petit matin, exigeant que j’ouvre à des fins de sécurité. C’est ainsi, depuis des années. Depuis que je suis qu’un gamin. Depuis que la vie des Vincci est compromise par notre témérité, par notre besoin viscéral de posséder des femmes pour mieux les revendre. J'ai eu de la chance. Aucune femme de ma famille n’avait été vendues, ou c’était elles qui avaient de la chance… Peu importe. Ce qui m’importe actuellement, c’est la créature qui se montrait devant moi. Son parfum m’enivrait. Me rendait un peu plus faible, minutes après minutes. Je pouvais déjà sentir mon sexe qui se gonflait, qui réclamait la moiteur de sa féminité. Intimité qui me tardait de déguster, de découvrir. Tel un festin. Elle n’avait pas encore conscience de la chance qu’elle avait. Oh Amaya. Loin d’être une des fleurs que je désirais revendre. Je la garderais précieusement dans mes filets, je la garderais à ma mercie, à ma guise… Soumise. Magnifique succube. Je dois résister à ne pas la mettre cul par-dessus tête et la prendre sans qu’elle ne le désire et pourtant… Je ne désire que ça, l’appel de la chair est si féroce, violent même. Je soupire un instant, posant mes mains sur ses hanches, respirant son doux parfum. Que désire-t-elle? C’est ce que je veux savoir. À quel point elle est désireuse, fiévreuse? À quel point elle peut devenir une poupée de chiffon, facilement manipulable sous mes doigts agiles, tâchés de sang?

Elle ne me répond pas. Je déteste rester dans le néant. Elle ne dit rien avant de tout simplement se tourner vers moi. Elle me fixe, sourit timidement et entreprend de retirer son chemisier. «Amaya… Je...» Mes mains se reposent sur sa taille. Je ne veux pas la stopper, mais une partie de moi me dit que je devrais le faire? Passer pour le bon sauveur? Mes doigts serrent ses hanches alors qu’elle s’approche de moi, qu’elle me touche. Le torse. Ça brûle, eh merde… Elle vient d’allumer un feu, féroce, sauvage. Ma queue qui frémit dans ce pantalon trop étroit, qui crie, non qui hurle de la laisser sortir et pourtant, je n’y arrive pas. Ma main quitte sa hanche, pressant son corps contre le miens. Sa jupe se froisse contre la pulpe de mes mains. Je ne désire rien de plus que de déchirer chaque vêtement qu’elle porte pour mieux découvrir son épiderme. Ma langue glisse contre la sienne. J’ai chaud, la sueur commence à s'imprégner sur mon derme. Elle va bien avoir ma peau. Diablesse. À peine ai-je le temps de profiter de cette proximité qu’elle fuit. Se dérobe. Je grogne. Elle ne sait donc pas que c’est dangereux de laisser un homme en plein désir sexuel, là, comme une vieille chaussette? Un rire franc s’échappe d’entre mes lèvres. Il soulève mon torse avant que je ne pince l’arête de mon nez, essayant de ne pas exploser dans une sauvagerie qui lui faisait peur. «Amaya… Vous êtes naïve. Si naïve.» Ma large main qui vient récupérer sa nuque pour forcer un baiser brûlant, féroce et dominant. Elle ne fuira pas une autre fois. Non, c’est hors de question. Je l’enlace, serrant peut-être un peu trop fort, comme si j’espérais ne faire qu’un avec elle. J’attrape son chemisier qui se fait balancer plus loin, hors de portée, question qu’elle ne puisse fuir.

Mes mains glissent de ses hanches à ses fesses. Je viens les agripper, la soulevant avec une facilité déconcertante. Elle était si petite, si légère dans mes bras. Mon cœur bat la chamade, je viens reprendre ses lèvres. Son corps bascule contre le lit alors que je viens de défaire ma chemise. Je l’admire, sa jupe remontant sur ses cuisses, dévoilant son sous-vêtement assorti à son soutien-gorge. Rien de plus séduisant… Blanc, si blanc qui contraste avec sa peau de miel. Ma chemise qui se pose sur le bureau, je la fixe, venant retirer doucement ma montre. «Je vous propose… Un contrat. Il pourrait vous semblez… Présomptueux, d’oser demander ça. Mais avant...» Mon corps qui se penche par-dessus le sien, mes lèvres qui glissent sur son ventre, ma langue qui ose s’échapper de sa cavité pour venir se perdre entre ses seins avant que je ne vienne récupérer ses lèvres. Ce goût de menthe poivrée, son goût, il me rend fou déjà. Fou d’elle, fou de sa luxure, fou de sa peau, de son épiderme. Elle m’a eu, capturer, je pourrais être son soumis, mais je ne m’abaisserai jamais à ce niveau, non. Ce sont les femmes qui se soumettent. Et elle sera ma prochaine soumise. Qu’elle le désire ou non.


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MessageSujet: Re: Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) Melodías que relatan lo perfecto. (Lorenzo) EmptyLun 22 Mar - 1:31

Voilà quelques mois que je vis seule. Oubliant ce désir naissant dans mon ventre. Compensant la haine des hommes ou l'inconfort pour le désir personnel. Une chambre entourer par la noirceur, mes draps me recouvrant, ma main qui glisse le long de mon ventre pour frôler mes lèvres du bas en s'infiltrant en eux... Je ne peux plus compter comment de fois, je me suis occupée de ma personne en abandonnant l'idée d'un coup d'un soir. Il s'agit d'un choix réfléchi, voulu. Je regrette un peu que ce salaud m’a déstabilisée à ce point. Que je repousse toutes masculinités de ma vie afin de protéger l'inévitable. Des actes barbares d'un inconnu sortant de l'ombre. Je déteste cet homme ! Je l'ai pourtant aimé comme je n’ai jamais aimé un homme.Peut-être parce qu'il était mon premier amour. Le premier à qui j'ai fait totalement confiance, mais je me suis retrouvée dans les bas-fonds d'un monde dont l'inégalité et le doute m'ont brisée en pièce. Arrachant un petit bout de moi lorsque ses paroles me traversaient. Détruisant une coquille solide que je croyais avoir, contriste et solidifié. C'est très agaçant de faire le pour et le contre tout en sachant qu'on plonge dans le négatif. L'idée d'avoir une aventure ou une relation me dégoutait tout en me rendrait nerveuse sous l'état de panique. Je suis peut-être une idiote qui voit du noir.

Lui, cette carrure auprès de moi a été placée rapidement dans la catégorie du jamais. Plonger dans le vice en le laissant effleurer ma peau...me dégoutait. En fait, il me perturbait plus qu'autre chose. J'ai l'impression que mon corps désire lui tendre le poignet pour qu'il me manipule, qu'il me domine en me troublant psychologiquement. Je ne veux pas réinitialiser l'idée. Le soir où Lorenzo a poussé la porte du restaurant pour venir s'assoir à ma table, j'ai tout de suite que je dois me tenir loin de lui. Depuis la fréquentation partielle de ses congénères de la haute société - les clients- mon idéologie du caractère de ces primates n'a qu’augmenter. Ils ont peut-être une éducation préviligée, mais la vraie connaissance de la vie n'en fait pas partie. En autre, ils sont stupides. Je ne compte plus le nombre de clients qui affirmaient que ma faiblesse est transparence ou qu'il serait bien que j'approuve quelques billets en échange d'une partie de jambe en l'air. Je n'ai pas envie de m'aventurer dans cette folie. Du reste, monsieur Vincci a été catégorifier dans ma liste noire. Ceux que je ne veux jamais fréquenter ni même adresser. Je détestais qu'il vienne à mes tables et toujours la même...Le problème, c'est que je ne sors pas beaucoup. Pas du tout en fait. Sauf que voilà, je suis faible. J'ai l'impression d'être une chienne sauvage transformer ne lapin sans défense. Entourer d'une meute de loups la dévorant des yeux alors que l'alpha avance devant la faible proie.

La première fois qu'il était venu au restaurant, j'avais - très impoliment, je lui avais retourné son pourboire exagérer. À l'écouté, le refus n'est pas acceptable. Même inappropriée ! Je sais,ce sont des choses qui ne se font pas. Normalement, il faudrait remercier le client pour cette bonté complimentant notre service aux tables. Sauf que j'ai l'impression qu'il se moquait de moi. Qu'il tentait d'avoir plus que le nécessaire. Une option que certaines serveuses offrent. Prenons Amélie par exemple, cette meuf est canon ! Une blonde typique qui s'affiche au bras de son sugar daddy sauf que je ne voulais pas cela et lui...

Sauf que je suis là. Debout auprès de lui. Mes yeux glissant sur son corps. La poitrine battant dans ma poitrine. Je suis comme tout le monde, il m'arrive parfois de céder à la tentation. Bien que, en général, je bloque sur les pensées. Sur la petite voix intérieure qui me dit de ne pas commettre de folie. J'ai l'impression qu'il veut sortir de moi pour bondir au loin pour éviter de sentir cette douleur de nouveau. Celle d'être un simple jouet. Un putain de défouloir. C'est comme ça. J'ai pris l'habitude d'être une poupée au bout d'une ficelle et je ne veux plus l'être. J'ai pour principe de ne jamais me rapprocher de mes clients. Même de ne pas connaitre leurs prénoms ou leurs métiers. Devenir plus proche d'eux n'est pas bon pour le travail. Bien que présentement, je suis près. Je me suis laissé attirer entre ses mains comme débutante.

Mes lèvres s'entrouvrent, laissant un souffle chaud caresser mes lippes humides. Ma poitrine se soulève et s'abaisse. Mon corps qui ne m'appartient. Merde ! Putain, j'adore la manière dont il prononce mon prénom. J'ai l'impression qu'il le rend sensuel. Presque érotique sous sa vibrance hésitante ou timide. Lorenzo doit avoir un ou deux ans plus que moi, mais on ne dirait pas. À mon avis, il faut plus vieux. Ses traits sont étirés. Plus épuisée. J'ai envie de lui demander de le redire. Qu'il le cite encore et encore jusqu'au moment que je suis étonnée.

Ses mains se déposent sur ma taille. Venant me procurer un haussement de chaleur. Une vague d'énergie venant me frapper telle une vague. J'envisage un instant avec lui. Mes mains qui déboutonnent mes boutons avant de m'approcher de lui. Plaquant mes lèvres, contrent les siennes. Qu'importe la gentillesse générale, je n'arrive pas à me débarrasser de ce désir. Ce sentiment qui pourrait devenir une humiliation. Ma main attrape le pan de sa veste pour l'attirer plus près. Ce baiser, je ne l'ai pas imaginé. Je n'aurais cru qu'il aurait ce goût. Celui d'une future addiction. Un mélange d'oxygène. Non ! Une éternité. Ses lèvres sensuelles flottent au-dessus des miennes. Souffle un air dans ma bouche partageant le goût de l'alcool qui percute mes papilles. Il m'explore. Il me possède d'un simple échange. Sa langue me caresse férocement. Non, elle me baise ! Mon corps s'échauffe. Il brûle de désir. Je sens sa queue durcir contre mon ventre. Ce membre qui me fait grogner contre ses lippes pulpeuses. Sa moustache, sa barbe me grattant. Seigneur ! Je me rapproche encore plus. Sentant l'humidité apparaitre, contre ma culotte. Merde ! Je dois arrêter. Je m'éloigne, brisant par crainte ce baiser. J'ai mal réagi. Il va jouer de moi ! Il va me prendre une comme fille banale. Une demoiselle qui fréquente souvent...

Je m'éloigne de lui pour trouver mes vêtements sans trouver mon haut. La sueur glisse le long de mon dos. Le rouge colorant mes joues. J'ouvre et ferme la bouche sans trouver quoi dire. Il brise notre silence alors que je cherche encore l'air. Cette source qui a été rejoindre ses poumons. Je recule d'un pas alors qu'il s'approche. Prête à fuir sans me retourner. Mais, sa main vient rapidement retrouver le derrière de ma nuque. M'attirant vers lui. Forçant un baisé violent sous une brûlure. Mes bras tombent le long de mon corps. Je le laisse faire. Ma poitrine s'écrase contre son torse. Mon corps frémit alors qu'il prend le contrôle. Je titille sur place. Comment pouvons-nous faire l'amour par un simple baiser ? S'appeler Lorenzo.

Ses larges mains descendent de mes hanches à mes fesses. M'agrippant. Je glousse contre ses lèvres en sentant mes pieds se soulèvent. Je glisse une main derrière sa nuque. Ma seconde se pose sur son épaule laissant mes ongles rentrer dans sa peau. Nos lèvres qui se séparent. ''Lorenzo...'' Je suis essouffler. Je perds la conscience du temps. Je sens mon dos chuter sur le matelas. Je recule sur le lit en me soulevant avec mes coudes. Ma poitrine qui se soulève et s'abaisse. Je le regarde défaire sa chemise. Mordillant ma lèvre du bas. Je souris devant le spectacle qui se présente à moi.

Je l'écoute parler sans comprendre le sujet qu'il aborde. Je le questionne du regard en riant faiblement. "Vous avez trop écouté les cinquante nuances de grey..." Je m'écrase contre le lit alors qu'il se penche au-dessus de moi. Ses lèvres qui se posent sur ventre. Sa langue qui glisse le long de mon corps vers ma poitrine. Je frémis sous le contact rugueux de ce muscle rose. Je soulève mon dos alors que mes mamelons pointent vers le ciel. Durcissant enrouleur. Sans prévenir alors que je m'imagine qu'il va taquiner mes pointes douloureuses ses lèvres reviennent vers moi. Capturant ce qu'il lui appartenait ce soir.

La main qui rejoins son cou, je tends la langue pour toucher la sienne. Je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine excitation à l'idée qui m'enfourche comme une putain de moto. Il fait carrément de la magie avec sa langue. J'écarte les jambes pour lui laisser plus d'espace entre elles. Lui affichant ce bout d'intimité cacher. Je cherche approfondir le baiser le laissant devenir plus érotique. Mes joues se colorent sous la rugosité de sa barbe. Je veux plus. Je ne l'empêcherai pas. Je pose ma main contre son torse brisant ce contact que nous avons créé. Je recherche ma respiration. J'ai mal. Mon ventre cris de passion. Mon corps à faim ! Faim pour lui ! Ma main glisse entre nous deux pour venir se toucher sa queue durcie. Je le palpe en affichant ce large sourire apparaitre. Je m'approche de nouveau de lui en frôlant nos babines une que l'autre. Mon ventre se serre. Mon corps brûle. Je respire contre les deux bouts de peau humide pour lui voler un baiser rapide. Je retombe sur le lit. Le dos coller au lit. "Lorenzo..." Dis-je en échappant son prénom dans une tonalité sensuel. "Je suis à vous..." Dis-je en mordillant ma lèvre du bas.
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