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nihilist blues ± triby


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: nihilist blues ± triby nihilist blues ± triby EmptyVen 26 Fév - 21:51



@Ruby Blake & @Houna Tchernychev
I've been climbing up the walls to escape the sinking feeling
But I can't hide from the nihilist at my door
Buried in the basement floor, didn't know what I had planted
It blossomed with all the heart of a Cold War
I'm a spirit in a tomb
Won't somebody raise the roof
I'm going white, I'm going black, I'm going blue
Do you mind if I'm exhumed?


encore un contrat de signé. l'alliance avec les irlandais semble fructueuse et les profits se font déjà remarquer. greed est ravi, ça lui fait toujours plus de billets à compter. vous êtes quatre des votre pour toute leur armée. wrath, pride, lust, greed. tes hommes de mains ne te quittent pas, restent fièrement collés à ton arrière train. comme si t'en avais besoin. vous concluez que la séance est levée. O'Reilly vous paye un bourbon, dieu que tu détestes ça. le whisky c'est pas de l'alcool, la prochaine fois tu devras quoi? ramener ta propre bouteille de vodka? t'avales le liquide ambré. d'une traite histoire d'en oublier le goût abject entre tes lippes pincée. toujours confortablement installée dans une des salles à l'abri des regard, tu te traces une ligne à même la main que tu fourres à ton nez. votre partenariat avec les irlandais c'est... un échange de bons procédés. après tout c'est bien de vouloir faire la guerre mais le jeu à plusieurs est toujours plus intéressant. passionné et passionnant. vos hommes se mettent à parler ensemble, seul clarence lui semble rester sur ses gardes dans ton dos. "restes tranquille, y'a pas ta blonde dans le coin qu'tu peux secouer?" que tu lui demandes, c'est qu'il arriverait presque à te stresser l'enfoiré. à zieuter partout avec ses grands yeux de camé. "fermes ta grande gueule enfarinée wrath. parles pas d'elle." tes yeux roulent à l'intérieur de tes orbites. si lust arrive à rester aussi décontracté, c'est que tout va bien. dans la salle, les discussions vont bon train. t'es spectatrice silencieuse, appréciant la balle de coke entrain de te monter. t'arrives pas à t'en passer. t'as jamais réussi à le faire ou alors tu n'as jamais essayé. tu t'en branles, t'as pas besoin d'arrêter. pride se lève, décide se barrer. pour une fois qu'il écoutes ce que t'as à lui dire, tu lui emboîtes le pas. t'as besoin d'te mêler aux gens et de t'immerger pleinement dans cette nuitée. de trouver deux trois gonzesses à peloter. qui sait, tu les ramèneras peut être avec toi. attendant le lendemain pour les congédier houna. après tout, l'irlandais sait que tu prend soin des jolies choses tu le lui as déjà démontré. tu rejoins l'enceinte du devil's den. les corps se pressent, se cherchent. se serrent, se mélangent. ta rétine apprécie le spectacle, ta pupille bouffe quasiment ton iris tant t'es défoncée. les stroboscopes balancent des jets de lumières pourpres, violets. tes mains se baladent bien contre un corps ou deux, caressent les épidermes qui te sont offerts. tu te délectes de leur douceur il est clair. tu pourrais toutes les réquisitionner. à tes soldats les faire tourner. elles sont jolies les russes mais elles manquent de volonté. tu te marres rien que d'y penser. bordel vincci commencerait-il à déteindre sur toi? foutu rital se prenant pour un roi. tu finis par t'échouer au comptoir. tu commandes une vodka qu'on te serre givrée, pour une fois. enfin, t'auras bien fait tous les bars de la ville houna. tu portes le verre à tes lippes et te l'envoie en une gorgée. tu grognes un encore pas franchement aimable, t'es pas là pour te faire apprécier mais respecter. dans le coin de la pièce, une danseuse attire ton regard. une créature divine, haut perchée sur de beaux talons. sirène dans sa robe moulée couleur saumon. pour aller avec son joli teint doré. "c'est quoi son nom à la poupée?" que tu demandes la gueule intéressée? le barman se retourne légèrement estomaqué. il hésite et finit par céder. c'était ça ou sa dentition il fallait faire le bon choix et il l'a fait. il te souffle à l'oreille une douceur qui ne peut qu'aller avec tant de perfection. t'en aurais la mâchoire décrochée si t'avais pas fait attention. ruby. ruby. ruby. doux joyaux brillant dans la nuit. t'envoies un billet de cinq cent livres sur le comptoir pour le remercier. le brave a bien travaillé. tu te déplaces comme un fauve dans la pénombre, jusqu'à son estrade où la belle se tient fièrement dressée. t'observes, canines reluisantes et lèvres tout juste humectées. tu crèves de ses courbes qu'elle ose à peine dévoiler mais que tu devines si bien sous le tissu qui ose encore venir la parer. tu poses ton cul contre un dossier, la motarde s'essuyant sur le velours feutré. tu mattes allègrement, emmenée dans un autre monde où seule la belle dicte les règles qu'elle a édifiées. à nouveau la blanche recouvre ta main en une ligne rondement menée. un coup d'œil sur la scène pendant que la trace trouve ton nez. sur ton visage vient s'étirer un sourire malsain, carnassier. tu la désires houna. elle est celle que tu emmèneras avec toi.
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MessageSujet: Re: nihilist blues ± triby nihilist blues ± triby EmptyLun 15 Mar - 14:36

Un endroit, deux ambiances, le Devil’s Den n’est pas ce qu’il paraît vu de l’extérieur, vu par des yeux innocents ou presque. Les âmes ignorantes s’contentent du bar, d’l’ambiance pub à l’irlandaise, du parquet qui colle et du violon qui résonne, des pintes qui s’enchaînent et puis c’est tout. C’est qu’un bar comme les autres pour ceux qui y boivent, c’est un lieu de débauche ultime pour ceux qui savent c’qui s’trame passée la porte menant à la zone privée.

La musique résonne, les corps se trémoussent, se frottent, s’embrassent, à l’étage ça s’emboîte sans retenue contre quelques liasses de billet qui tombent directement dans les mains des irlandais qui gèrent c’petit commerce. Dehors, il fait froid, dedans, il fait une chaleur à crever, de quoi inciter les clients à débourser pour picoler et pour s’laisser déshabiller par les nymphes qui peuplent les lieux. C’est c’que fait Ruby, comme toutes les autres, elle pousse à la consommation, elle s’donne l’air intéressé, elle l’est parfois, mais ils finissent tous par monter avec une autre parce qu’on lui a dit qu’elle s’contente pas des plus p’tits maintenant. Ruby, elle ferre plus qu’le gros poisson, celui qui paie argent comptant, celui qui peut s’le permettre et qui s’fait pas prier, qui débarque en rolex à bord d’son cabriolet. Et ils courent pas l’Devil’s Den ce soir, ils s’font prier, comme si on leur avait demandé d’pas s’pointer, comme si une grosse pointure avait réservé la soirée.

Y’a un des gorilles qui lui dit d’aller danser à défaut d’pouvoir monter, Ruby obéit, Ruby grimpe sur l’estrade au bout d’la salle et attrape la barre d’une main. Elle est loin d’savoir y grimper, a certainement pas la carrure pour ça, mais sait très bien s’en servir tout en gardant ses deux pieds au sol. Elle s’trémousse, elle s’déhanche, ferme les yeux et sourit, s’laisse aller sous cette musique qui rythme ses gestes, son bassin, sait faire que dans l’langoureux et l’imagé. Alors ses mains glissent, son dos s’cambre, sa silhouette s’presse contre la barre en métal en attendant qu’un client s’décide à la remplacer. Et Ruby ouvre enfin les yeux, trouve un semblant d’public avec quelques fauchés qu’ont aucune chance et, là, aux premières loges, une femme au regard si brûlant qu’ça fait sourire la galloise. Les femmes sont rares ici, en tant qu’clientes tout du moins, ça intrigue toujours Ruby d’en croiser une, ça l’amuse d’les voir aussi assurées qu’ces gars qui débarquent ici en s’prenant pour les rois du Monde. Et celle-là, elle l’a, cette assurance démesurée, cet air d’régner sur tout c’qu’elle touche, tout c’qu’elle regarde. Elle doit pas avoir peur des cauchemars, elle. Et ça, c’est fascinant.

Ruby la fixe mais hésite encore, lève les yeux vers un gorille un peu plus loin qui lui fait signe de la tête. Alors c’est elle, la grosse pointure. C’est pour elle qu’on a évité qu’d’autres gros bonnets débarquent ce soir. P’t’être une histoire de concurrence, ou d’exclusivité, Ruby sait pas, Ruby s’en fout, c’est loin d’être son affaire et elle est loin d’se soucier de tout c’qui s’trame tout là haut, là où Cin règne en maître, là d’où il la protège.
La galloise sourit au gorille, baisse les yeux, sourit à l’invitée d’honneur, la fascinante à qui elle dédie maintenant chacun d’ses gestes, chacun d’ses regards alors qu’elle continue d’suivre le rythme. S’mord la lèvre vers elle, tend sa croupe vers elle, penche ses seins vers elle, oublie qu’les autres sont là parce-qu’ele s’sent être la seule dans l’fond du regard d’cette femme qui la dévore sans la toucher. Elle laisse place à l’imagination, à la spéculation, jusqu’à c’qu’elle descende enfin d’son piédestal et s’pointe face à son reflet démoniaque, jolie rousse à l’air loin d’être innocent vers qui elle s’penche, prenant appui sur les deux accoudoirs pour lui offrir une vue prenante sur ses yeux, ses lèvres et son décolleté.

- T’es jolie, toi, mais j’t’ai pas encore vue ici, c’est sûr j’m’en souviendrais. C’ta première fois, j’me trompe ?
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