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ship to wreck ± darling manor


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des rp.
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MessageSujet: ship to wreck ± darling manor ship to wreck ± darling manor EmptyLun 22 Fév - 13:56



Don't touch the sleeping pills, they mess with my head
Dredging of great white sharks, swimming in the bed.

What's with the long face? Do you want more? Thousands of red-eyed mice, scratching at the door. And don't let the curtain catch you, cause you've been here before. The chair is an island, darling, you can't touch the floor.

◊ ◊ ◊

ça ne te fait pas plaisir, à toi. non dans le genre franchement pas. cela fait un moment maintenant que tu as déménagé, pris ton appartement et accédé à ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à la liberté. tu détestes le manoir des darling. cage dorée dans laquelle tu n'as été que trop enfermée. princesse de neverland retenue contre son gré. à quoi aurait ressemblé ton existence si tu n'avais pas été la fille de crochet? si toi aussi tu n'avais été qu'une enfant perdue, sans parents auxquels se raccrocher. sans tous ces "fais pas ci, fais pas ça". sans tous ces "ce n'est pas digne d'une darling. le dos! bien droit!" la vérité est qu'hazel, ce n'est plus vraiment toi. mais tu n'es plus vraiment wendy non plus. t'es juste perdue. oscillant entre deux réalités. médecin en devenir ou princesse déchue. ça t'en as filé des insomnies, incapable de trouver le sommeil si t'es pas imbibée de whisky. l'alcool pour oublier. que ça fait mal, que t'es peut-être passée à côté de tes plus belles années. huit ans que tu n'as rien fait pour les contrarier. huit ans que tu rattrapes ton erreur de ce jour où peter aurait pu se faire tuer. bang! la balle hors du barillet. au lieu de ça, t'as abdiqué. combien même tu voulais te battre, ne pas céder. t'as juste eu peur, ne sachant pas où le corsaire serait capable de s'arrêter. redoutable, sans frontières morales pour l'accaparer. tu le hais. tu le hais. tu le hais. ça brûle dans tes entrailles, dans tes veines menaçant d'exploser. t'ignores comment un homme comme lui a pu réussir à engendrer qui que ce soit.   

comment un monstre comme lui a pu donner vie à une fille comme toi.

tu franchis les marches unes à unes sans le moindre bruit, le granit défile sous tes pas. c'est viscéral t'as horreur de cet endroit. londres et neverland au moins, ça avait le mérite d'être chez toi. ton refuge en cas de tracas. dehors, aucune voiture n'est garée. darling doit sûrement entrain d'opérer, reste à savoir ce que ta mère est entrain de tramer. m'enfin, si tu peux l'éviter... sous tes doigts, la lourde porte d'entrée. déverrouillée. la vieille doit sûrement être dans son atelier à bosser. enfin t'espères ne pas avoir à la croiser. la gouvernante, toujours la même depuis votre arrivée, se hâte de te rejoindre dans ce long couloir vous servant d'entrée. "mademoiselle, vous n'aviez pas prévenu de votre venue!" qu'elle s'empresse d'ajouter. dans tes orbites il y a tes yeux qui se mettent à rouler. un soupir entre tes lippes serrées. "pas besoin de faire de chichis, j'ai besoin d'accéder aux archives de mon père. je ne serais pas là bien longtemps." tu te détournes, contourne la femme et ses longs cheveux argentés. encore un escalier. de marbre blanc cette fois, pour la classe et le standing. après tout c'est ce qu'inspire le nom des darling. un père neurochirurgien et une mère dans la mode. foutu cliché. les riches avec les riches pour mieux se conserver. le genre de truc qui te donne très clairement la nausée. le silence s'installe à nouveau. c'est vraiment un cas compliqué, celui sur lequel t'es entrain de travailler. un gliome de haut grade, invasif, presque impossible à traiter. une tumeur magnifique, maligne à souhaits. le genre d'art que tous le monde devrait apprendre à savourer. t'arrives au troisième étage, emprunte une aile totalement désertée. personne ne vient jamais ici sauf vous deux. pour dire vrai, l'endroit n'est pas des plus jolis et c'est même un peu poussiéreux.  

t'es rentrée dans le bureau de crochet. véritable musée des horreurs si l'on te demande ton avis avec tous ces clichés pendouillant un peu partout. des tumeurs, des anévrismes. de la matière grise partout où tes yeux peuvent se poser. t'es venue pour l'un de ces carnets à la couverture de cuire abimée par le temps. pages jaunies, la reliure craquelée. t'es persuadée de savoir où il est rangé. tout est si chirurgical, maniaquement ordonné. ton géniteur est prévisible, il ne change jamais. tu sais que c'est foutu pour lui, qu'il est damné. qu'il finiras en enfer, à brûler. il sauve des vies mais derrière le rideau c'est une toute autre réalité. un mari violent, un père abusif. manipulateur, violent. tes mains effleurent une bibliothèque pleine à craquer, menaçant de s'effondrer. à l'intérieur, de nombreux ouvrages sur la médecine y sont rangés. atlas, dossiers d'anciens patients, revues. mais tout en haut, sur la dernière étagère repose ce que tu es venue chercher. pas très grande, tu te hisses sur la pointe des pieds. 1998, 1999, 2000, 2001. voilà. t'attrapes l'année convoitée. t'as entendu et réentendu parler de tous ces cas sans exception, sans en oublier. le narcissisme et l'orgueil de crochet. son côté "moi-je" que t'as jamais pu supporter. tu le laisses doucement tomber au sol, les jambes en tailleur bien croisées. tu te plonges dans la lecture sans même attendre, tu sais que les réponses à tes questions y sont cachées. de longues minutes passent sans même que tu ne t'en rendes compte, dehors le crépuscule commence à tomber. la luminosité s'affaisse au fur et à mesure que tu creuses et creuses encore. déballes des cartons à la recherche de dossiers mentionnés. retrace les radios, scans et rendus post-op. ce cas va te rendre folle, t'en es persuadée. "fais chier!" que tu jures exaspérée. les cent pas dans la pièce, tu te repasses chaque traitement en tête. chaque opération, le moindre coup de bistouri. ton ventre se met à grogner. t'as besoin de manger un truc si tu veux pouvoir te concentrer. alors tu descend de ton perchoir et regagne le rez de chaussée. "abernathy." que tu lances à ta mère sans la moindre douceur en te tenant dans l'encadrement de porte menant au living-room feutré.

vu l'heure, il était impossible pour toi de ne pas la croiser.

(c) oxymort



@Isla Darling ship to wreck ± darling manor 236745472
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Isla Abernethy
the ghost queen, dancing on flower beds
Isla Abernethy
∴ Pseudo : tea&honey
∴ Faceclaim : tilda swinton
∴ Merci à : adèle la plus belle
∴ Âge : 50
∴ Pronom inrp : elle
∴ Occupation : créatrice de mode + directrice de sa propre maison de haute couture
∴ A Exeter depuis : 8 ans
∴ Statut : mariée et adultère
∴ Géolocalisation : dans l'atelier de sa maison
∴ Vice : alcool, médicaments, beaux garçons, cigarette, tout ce qui lui permet d'oublier, et de remplir le vide intersidéral
∴ Triggers, refuse de jouer : viol explicite, inceste, pédophilie
∴ Triggers Warnings : famille dysfontcionnelle, abus de substances, abus physiques et verbaux, relations malsaines avec un grand écart d'âge, autodestruction
∴ Posts : 68
∴Arrivé le : 16/02/2021
MessageSujet: Re: ship to wreck ± darling manor ship to wreck ± darling manor EmptyLun 22 Fév - 21:33


-- Hold my head under the bath and breathe away



la douleur est perçante. les mains qui tremblent. la langue râpeuse. un grand bleu qui s’étale sur sa pommette. l’atelier valse sous les yeux mal adaptés d’isla. le sang réclame le poison, tourne et retourne dans ses veines, tandis que le paysage tangue et s’effondre presque sous son regard. la main hésitante et parcourue de tressaillements qui cherche, dans tous les recoins, la moindre pilule. elle ne peut pas appeler la gouvernante. sous les ordres darling, elle lui rapporterait ce qu’elle a vu, trop effrayée qu’elle est du monstre qui lui sert de mari. les hurlements qui la secouent encore. elle se souvient brusquement, pourquoi elle est dans cet état là. presque fiévreuse.

cw prochain paragraphe : mention de suicide et d'overdose
il l’a frappée hier. l’a retrouvée dans un état impossible, lui a confisqué, ses bouteilles, ses pilules, et tout ce qui lui permet encore de tenir debout sans s’écrouler. alors elle s’est réfugiée, furet blessé, dans sa tanière de blaireau, dernier bastion de la décadence, et a avalé presque trop de ces pilules. le goût de la bile lui brûle la gorge, mais le sol parfaitemnt intact lui laisse penser que leur femme de ménage a tout nettoyé, sans dire un mot. c’est sûrement elle aussi, qui a lancé une couverture sur ses épaules et lui a laissé ce grand verre d’eau. une dernière pilule se glisse sous la langue d’isla, une pour faire passer les spasmes. une idée ridicule qui lui est passée par la tête la nuit dernière, une impulsion. mourir pour le faire chier, partir comme marilyn et défrayer la chronique, révéler enfin les crochets qu’il a planté dans son corps, la laissant se vider de son sang et de son âme année après année. il lui a tout pris, tout volé, il l’a écrasée et l’a transformée en rien, tandis qu’il continuait à s’élever. elle devrait lui faire payer ses crimes. faire croire à un meurtre.

mais elle a encore trop à faire. il est hors de question qu’elle parte sans refaire la couverture de tous les vogues, encore une ultime fois. elle a encore trop à donner au monde, elle le sait elle doit juste le trouver au fond d’elle. alors, elle range tout, décide de s’y mettre, sérieusement cette fois. met les croquis pour tessa de côté, pas assez conséquents pour donner lieu à une collection entière. puise à l’intérieur de ce paysage intérieur, se projette dans le champ de ruines.

le gel a fondu sur les champs d’asphodèle, et la pelouse brûlée est parsemée de fleurs jaunes, comme un chemin de briques vers un monde enchanteur. quelque chose de nouveau, tandis que les étoiles, jadis tombées en pluie de météorites, brillent de nouveau dans le ciel. là où seule une rage sourde l’envahissait face au tableau désastreux, quelque chose de nouveau se saisit d’elle. une joie presque guillerette, et une centaine d’images qui défilent sous ses paupières. des fougères, des anémones, des méduses, et tant de choses auxquelles elle n’avait jusqu’alors jamais prêtée attention, trop préoccupée à tout donner vers l’architecture complexe des églises de son enfance.

crayon en main, elle griffonne ses idées, fiévreusement, avant qu’elles disparaissent. elle ne doit rien laisser au hasard, et surtout ne pas laisser ces images prophétiques se volatiliser en poussière de fée. elle sait exactement quelle mannequin serait parfaite pour incarner ces mouvances naturelles. sans aucun doute. elle ne doit pas s’arrêter.

seulement, elle s’interrompt, la main tremblante, mûe par un instinct dont elle n’a jamais voulu. hazel est là. elle ne passe pas près de l’atelier, elle ne fait même pas de bruit, voulant certainement l’éviter. isla préfère que ça reste ainsi. au moins elle n’aura pas à voir à quel point elle est une darling, et une des plus lâches de toute cette foutue famille. du genre qui ne comprend pas les sacrifies qu’une femme doit faire. du genre qui courbe l’échine, qui ne sacrifie, ni qui ne se bat. elle est alors incapable de dessiner, complètement brisée de nouveau. les images ont disparu, et isla a beau tenter de revenir aux plaines silencieuses et calmes de l’asphodèle, son royaume s’évapore avant même d’apparaître.

l’heure tourne.

elle quitte son atelier, dans son habituel kimono, celui qu’elle ne sort que lorsqu’elle est prise dans une fièvre créatrice, et se dirige vers la cuisine. observe les plats que la gouvernante a préparé. sent une vague de nausée remonter, et repose le couvercle, décidant tout simplement de prendre un verre. le vin a retrouvé sa place dans la cave réfrigérée, juste à côté du frigo. se sert un verre avant d’entendre la voix du décevant rejeton. le nom-fierté prononcé du bout des lèvres, comme on tiendrait un mouchoir sale, une insulte pour celle qui a fait de ce titre le logo même de son existence et de son ambition.

”hazel.

le regard qui parcourt la tenue de la gamine presqu’adulte, de haut en bas, avec dégoût. les vêtements, la posture, le visage pas maquillé. rien d’acceptable aux yeux de la reine de la mode. et surtot le refus d’utiliser le nom qu’elle avait un jour demandé d’employer, rupture ultime du lien inexistant entre la mère et la fille.



icons (c) dionysass

@Hazel Darling
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MessageSujet: Re: ship to wreck ± darling manor ship to wreck ± darling manor EmptyJeu 11 Mar - 16:10



Don't touch the sleeping pills, they mess with my head
Dredging of great white sharks, swimming in the bed.

What's with the long face? Do you want more? Thousands of red-eyed mice, scratching at the door. And don't let the curtain catch you, cause you've been here before. The chair is an island, darling, you can't touch the floor.

◊ ◊ ◊

wendy darling n'a pas de parents, elle n'en a jamais eu. ses géniteurs sont le capitaine crochet et mouche, son accolyte féminin. deux horribles personnages qui ont par ne sait-on quel moyen réussi à enfanter. l'enfant vitrine. poupon dont les articulations ont été reliées par des fils invisibles pour mieux le manier. tu t'es demandée, hazel, si tes parents t'ont toujours détesté. si pour eux tu n'avais toujours été qu'un vulgaire pion à jouer. au moment opportun, certes, mais une pièce à jeter. la seule famille que tu as eu un jour sont les enfants perdus. peter, clochette, la plume, le frisé, la guigne, le bon zigue. voilà ta famille. ni plus, ni moins. celle que tu t'es choisie. t'étais déjà môme que tu faisais le mur pour aller jouer avec ceux que tes parents jugeaient. ses gamins orphelins, sans nul part où aller si ce n'est les rues de neverland pour se cacher. londres était votre terrain de jeu, votre maison. vous n'aviez pas besoin de grand chose d'autre. quelques flaques de boues dans lesquelles sauter. quelques pétales de rose avec un peu d'eau de pluie pour les potions anti bobo. les bâtons de réglisses que les garçons chipaient pour le goûter. ils sont tes plus beaux souvenirs mais aussi ton plus grand regret. parce qu'au final, crochet à gagné. il t'as emmené loin, loin de neverland pour te pousser à transgresser vos lois. l'acier autour du coup, t'as été forcée de devenir une adulte. dans l'isolement, dans la souffrance. la violence. enfermée dans une cage dorée dont ils ont jeté la clef. de leur empire tu seras l'héritière. que tu le veuilles ou non, tu ne pourras jamais rien y faire.

t'aimes pas traîner au manoir. t'aimes pas ces pierres tristes et la froideur de ces lieux. t'aimes encore moins voir abernathy, hantant les lieux dans sa carcasse fatiguée. la mère qui n'a jamais été. qui n'a jamais su l'être. tu te demandes si elle a déjà aimer quelqu'un ou si pour elle l'amour est un concept totalement abstrait. c'est pourtant pas compliquer d'aimer. de se laisser aller. pourtant, vous vous ressemblez sur bien des points. vous êtes l'objet de crochet. sa propriété. sans jamais pouvoir rêver de s'échapper. tu lui en veux, à ta génitrice de n'avoir jamais eu de courage. et d'amour propre. elle aurait pu vous libérer. dans la nuit t'emmener pour ne jamais se retourner. faire le nécessaire pour qu'il ne puisse jamais vous retrouver. au lieu de ça, vous voilà toutes les deux à mener une existence fade. une existence terne et sans la moindre saveur. celle qu'il vous a dessiné à la pointe de son crochet acéré. enfoiré. enfoiré. enfoiré. t'espères le voir caner, que le karma fasse un jour son oeuvre divine et vienne vous libérer. tu le sais, c'est une horrible façon de penser. mais quiconque aillant vécu ton existence n'en penserait pas moins. il n'y a que son trépas qui pourra vous assurer le salut que vous attendez patiemment. en silence, sagement. liberté. liberté. liberté. ça cogne dans ta poitrine wendy.

t'as foutu un sacré bordel dans le bureau de ton père. tout n'est que scans éparpillés, journaux empilés. cette tumeur aura ta peau. t'as trop de fierté wendy, trop pour lui demander conseil. l'oncologie c'est ton domaine, combien même le cervau humain est le sien. tu connais les tumeurs mieux que lui, tu comptes bien le battre sur son propre terrain. tu décides quand même de t'accorder une pause. ton cerveau est clairement entrain de surchauffer. tu te repasses toutes les approches possibles pour pouvoir éradiquer cette beauté. en forme de papillon implantée. les plus vicieux des mélanomes que t'aies eu la chance de croiser. tu descends les marches en marbre jusqu'à atteindre le rez de chaussée. tu te diriges vers le living room en massant tes tempes fatiguées. cependant tu t'arrêtes à l'encadrement de porte lorsque tes opales noisettes se posent contre une silhouette que tu reconnais. le nom claque entre tes lèvres comme une insulte. froide, acérée. il ne te faut pas attendre bien longtemps avant de recevoir la pareille de celle t'ayant offerte la vie. hazel. hazel. hazel. le prénom maudit, celui qui ne t'appartiens pas. hérisse les poils sur tes bras. tu grinces des dents avant de pénétrer dans la pièce à l'ambiance tamisée. "père est toujours à l'hôpital?" que tu demandes sans en avoir vraiment que faire. tu t'avances, t'affales dans un large canapé juste en face de là où ta mère est installée. les pieds sur le tissu, comme la pire des malotrues. juste pour l'agacer. la faire criser. dame abernathy, la maniaque inassumée. sur le guéridon non loin un verre, une bonne bouteille pour l'accompagner. t'émets un rictus avant de te relever. le rubis dans le verre à pied venant se loger avant de reprendre ta place, amusée. plus aucun respect. depuis bien longtemps la guerre est déclarée. "j'vais rester manger, après j'remonte bosser." que tu l'informes sur le pourquoi de ta venue entre ses murs que vous haïssez. à tes lippes tu portes le vin, avalant une longue gorgée. savourant l'agréable brûlure dans ta trachée, tes yeux jugent, observent. toisent. tu ne finiras pas comme elle, ça jamais.


 

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