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soy un perdedor, soy un predator


all monsters are human. :: 'til her daddy takes the t-bird away. :: archive des personnages.
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MessageSujet: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 20:21


Duncan (Nox) Gallagher

i'm a loser baby, so why don't you kill me ? ☾

nom prénom(s). duncan, "le guerrier brun", aux embruns de violence, bercé par des vagues de nuages noirs en opulence. l'écume de la colère aux coins des lèvres, à croire que ta génitrice savait déjà que tu serais les poings de la famille. vieille gallagher qui t'a légué ce blaze bien naze. gallagher, comme le nerf de la guerre, résistance de l'enfer de la rue. aucune renommée, juste des existences gommées. un passé trépassé mais toujours pas dépassé. poings de minuit, plus dur que le béton, âme violente tombée dans la nuit. beaucoup t'appellent nox, c'est généralement ceux qui ont goûté à tes phalanges en inox trempées de sang et de scotch. âge, origine. frais quadragénaire d'une vie calcaire, derrière des barreaux de fer. l'âge qui creuse des cratères sur ton visage, mais qui ne ravage pas ton cerveau de gamin austère. irish man, pourtant doberman éternel d'exeter. occupations, métier. âme damnée, infâme prisonnier condamné. multirécidiviste, erreur qui subsiste, marginal, juste un animal à la motivation minimale. tu trouves pas chaussure à ton pied, usure de la société, toujours en état d'ébriété. t'es fait que pour faire des conneries. t'as trop de cran pour rentrer dans le rang. finalement, t'es sûrement juste bon à éclater la tête des gens. les combats clandestins seuls décident de ton destin. situation sociale et financière. précarité qui a toujours été ta réalité. ton vrai toit, même si tu le détestes encore, c'est celui de ta voiture, héritée de ta génitrice célibat sans débat. pour toi, l'amour c'est la mort. orientation sexuelle. question dont tu donnes toujours la même réponse. officiellement tu  ne t'abandonnes qu'aux courbes de femmes fourbes qui se jouent de toi. la vérité c'est que ce vide alimenté par la rage cache un secret dont l'âge se mesure au tien. vaurien que tu es, tu as toujours aimé les femmes masculines, viriles. une langue ordurière, une face patibulaire et une attitude spectaculaire. t'as des goûts peu ordinaires, il parait. mais il y a autre chose, une névrose. tu le dissimules mais les mâles attirent beaucoup ton regard. tu l'assumes pas, mais ça te consume.  y'a une honte qui te confronte chaque fois à l'ineptie de tes envies. pourtant, ça te bouffe, ça t'étouffe. tu crois pas qu'il y ait de mot réel, mais tu es androsexuel. groupe. smells like teen spirit.

☾ eye contact.

tics, manies, caractère. ☾


tw : violence, addictions.

broken mirror. la démarche nonchalante et l'allure décadente, tu pourrais presque faire pitié si ton visage ne transpirait pas la dangerosité. le bracelet pendu à la cheville sur tes fringues touées, débraillées, tu annonces la couleur, pas besoin de t'emmerder à jouer les beaux parleur. partout où tu vas, on te regarde comme le taulard, le pochard. aucun égard pour autrui, juste des écarts. une flasque orne souvent ta main droite toujours abîmée, tandis que l'autre est occupée par une cigarette. tu détonnes, et tu étonnes quand ta seule réponse est un coup de tête. violent, irascible, rageur. il n'est pas rare de te voir dans une bagarre, même au milieu de nulle part, à croire que c'est la seule façon dont tu parles. pourtant tes lèvres insolentes et imprudentes catapultent souvent les pires insultes.

chaotic bastard. tel le feu, tu dores, tu calcines, tu dévores. quand le monde s'endort, t'es là pour le détruire, démolir chaque fondation en train de pourrir. le feu et le sang sont souvent tes complices. destructeur, partout où tu passes, les faibles trépassent. tu réagis plus que tu ne réfléchis. folie sans parcimonie, tu ris là où les autres crient. l'humour facile mais le sérieux difficile. tu es minable et instable. parfois, un mot suffit à allumer la mèche de ta colère. c'est imprévisible, même pour toi, impossible de savoir ce qui sera ton combustible. témérité inconsciente, rien ne te fait peur. tu regardes le monde te tuer d'un œil blasé. tu te dis que tu ne laisseras qu'une bonne raison t'achever, comme tout ce qui a nourri ta liaison passionnelle avec la prison : ceux qui comptent. tu es entier, intense, y'a jamais d'errance avec toi. tu dis cash ce que tes yeux céruléens cachent mal. parles plus avec les poings qu'avec tes cordes vocales, on te traite souvent d'animal voué à faire le mal, mais tu n'as aucune notion manichéenne de cette géhenne. tu ne juges personne. l'humain est purulent et désolant. tu l'acceptes et en es l'adepte. toi aussi, tu montres le pire chaque fois que tu respires, et tu t'en branles. rien ne t'ébranle, ton insensibilité a parfois de quoi déranger mais il faut avouer que l'alcool sait bien mieux t'avaler que toi tu ne le fais. névrosé, insensé, tu n'es en fait qu'une énorme masse de souffrance lasse. l'espoir a quitté ton enveloppe, tu culpabilises à chaque flop. la couleur du sang est la seule qui fait sens. tu n'arrives plus à trouver de voie, à écouter réellement les voix qui t'entourent.

lost soul. on t'a toujours traité de voleur, de drogué, de raté, avant que tu en sois un, comme si t'étais né comme ça. digne fils de sa mère ? elle volait, elle arnaquait, tout ça pour se droguer, pas vraiment pour élever ses marmots. c'est vrai tu lui ressembles. ta toujours une main qui traîne. kleptomane assumé, drogué et alcoolique déshumanisé. à peine sorti de taule, t'essayais déjà de monter ton business, mort sans délicatesse. t'as toujours plein d'idée pour niquer des pigeons, mais tes démons se chargent de fumer tes plans en construction.

only human. parfois, on oublie que t'es pas juste un salaud au sang chaud. t'as des envies, beaucoup plus d'ennuis, et des phobies. tu les caches dans la nuit, dans tes griseries. la vie dans la rue t'a appris à toujours cacher tes faiblesses qui seraient promesses de chute, mais il existe des horreurs qui parachutent ton estomac dans la terreur. achluophobe et autophobe depuis que tu as été aveugle et abandonné de tous.


histoire. ☾



    TO DO LIST :
  • péter les genoux de ce putain de flic.
  • péter les dents de ce putain de vieux.
  • péter les bras de ce merdeux.
  • payer une binouze à la clique.
  • acheter des cotons tiges.
  • retrouver les clés de la caisse.
  • voler une veste.
  • botter le cul de T.
  • faire un coming-out. NTM QUI A ECRIT ÇA ??
  • le retrouver.
  • faire de la sauce salsa.
  • oublier le passé.


ta clope s'écrase sur le papier, et l'embrase. le feu l'embrasse et le consume, et comme de coutume, tu ne réagis pas. l'alcool chauffe plus cette feuille imbibée que le débile que tu es. accoudé à ton bar préféré, le jefe, un espagnol à l'accent prononcé et au teint foncé, vient t'engueuler en éteignant le petit feu que tu viens d'allumer. tu réponds d'un doigt levé, le plus impoli qui se ramolli quand tu t'enfiles ton verre, pas le dernier . le jefe est déjà reparti, mais tu ne t'es toujours pas départi de ton sourire. sourire qui se met à pourrir quand le souvenir des derniers mots sur le papier, font remonter des maux qui viennent te parasiter. "oublier le passé"... si seulement. c'est justement quand tu dois l'oublier, qu'il revient te torturer.

tes doigts caressent le revêtement en cuir de la vieille caisse de ta mère. piètre dans son rôle mais tellement bonne pour prendre soin de son petit coin derrière le pare-brise. c'est votre maison depuis trois ans, non cinq ? tu ne sais plus. on dit que le temps est plus long en enfer, mais il y a de quoi faire ici bas. ta mère est en train de faire des affaires, ou de vous foutre dans la merde. tu l'entends à l'extérieur, et à l'intérieur, seul ta petite sœur fait entendre les échos de sa respiration hachée par la terreur. ta vieille dit toujours, "tu verras, demain sera mieux" et seul ta sœur avale ce mensonge copieux. ça fait combien de fois qu'elle vous utilise pour la promesse d'un toit ? vingt-trois fois ? passer de la drogue pour un gamin aveugle et sa cadette à tresse, c'est aisé. évidemment.

oublier le passé, la blague ! tu fais tourner ta bague autour de ton doigt, nerveux. c'est un désir creux, inutile, futile. tes peines sont ta haine et tes aspirations sont sereines. pas comme avant.

tu ouvres les yeux. du bleu, du vert, du rouge, tu les découvres, et c'est comme un louvre gigantesque. l'art n'est que du lard dont se nourrissent les bourges en buvant des bulles dégueulasses. des âmes lasses qui ne voient pas ce qu'ils ont derrière la glace. inconscients de la chance qu'ils ont de voir la magnificence de la toile naturelle qui se peint devant leurs yeux éteints. ça te saute à la gueule, toi le seul qui n'a vu que le noir durant six hivers.
mais si on t'avait dit que tu allais retrouver la vue pour voir ta mère emprisonné et ta soeur partir avec ta harpie de tante, t'aurais dit non merci. ta cadette c'est tout ce que tu avais. ta génitrice était ta seule protectrice. et te voilà esseulé. ta soeur disait que vous étiez la pire chose qui lui soit arrivé, et à cet instant tu as dérivé. liberté inespérée qui s'est tissée, c'est là que tu as tout lâché.

souvenir amer, loin de l'éphémère liberté à laquelle tu as goûté. tu te souviens encore du regard de ta sœur qui dévore encore ton cœur. un verre caresse tes lèvres et un liquide brûlant vient remplacer la douleur. douceur toxique, avec elle, plus de suppliques de ton âme en tourmente.

le tintement des menottes qui frottent ta peau et dévorent ton futur, te font marrer. tu n'arrives qu'à te parer de ce sourire indélébile, beaucoup trop débile. trublion qui offre des coups par million. tu ne regrettes pas tes actes. ta foi est intacte. c'était pour lui et tu n'as pas fui. ils voulaient sa peau, t'as eu le dernier mot, le dernier coup, tu lui as tordu le cou. le flic t'avait prévenu, il n'a pas été déçu. il faut dire qu'on a insisté pour te dire qui tu es. la petite brute du quartier, un vaurien sur lequel déteint la noirceur. t'as bien essayé de les contredire, et tu peux bien les maudire, mais tu peux pas vraiment aller contre le courant. et à quoi bon ? t'es déjà un raté, une racaille pour la volaille de la ville. autant exceller et leur en donner pour leur blé ! première descente vers un autre cercle de l'enfer.

le début des conneries qui t'a conçu, et dans ta tête, ça devient confus. y'a comme un mur de refus. celui que tu imbibes d'alcool et de drogue, celui qui forge tes jours et rend tes lendemains lourds. tu ne veux pas te souvenir mais tu ne peux oublier à quel passé tu t'es lié.

ce fut comme une pause, c'était presque tout rose. tu n'as connu ça qu'une seule fois. il était ton contraire. c'était quelqu'un de solaire. il t'a fait rencontrer le bonheur à toutes les heures du jour et de la nuit. tu l'as fui, tu l'as haï. c'était trop intense, trop immense. il est devenu possessif, incisif. il fallait qu'il t'ait. tu l'étais aussi. mais quand il a fallu choisir, c'est vers tes frères que tu t'es vu courir. tu n'as jamais cessé de l'aimer, mais il est mort de la main amer du destin. te connaître l'a conduit à sa perte. tu aurais dû savoir, prévoir. tu ne peux que pourrir les existences des autres, et non les nourrir. c'est là que tu as commencé à te faire appeler nox. comme lui. pour ne jamais oublier, pour ne plus jamais te fier à ce que chuchote ton cœur.

tu enchaînes les verres, si bien que lorsqu'un vieux pervers vient te draguer, il n'use pas ses vers sur toi, avant de se retrouver couvert de sang. phalanges écorchées et diable amorcé, tu n'arrives pas à t'arrêter, surtout pas quand on tente de le faire pour toi.

son regard n'est plus tellement hagard, et tu sais qu'il va être de nouveau plein d'égard pour ta face de connard. tu ne veux pas fuir et il te saisit. c'est quand tu le vois armer son poing, du coin de l'oeil que tu aimes de moins en moins t'éloigner. un gardien intervient et vous sépare. bientôt tu pars, et tu sais que dehors tu vas faire ce qu'il veut pour l'or qu'il a dans les yeux. la fortune de son âme de bâtard de taulard. ouais, vous vous battez sans arrêt, ouais c'est un coupe-jarret mais tu l'estimes même dans les marées de cet océan pourri qu'est la prison. mais il n'aura jamais l'occasion de savoir que tu as tout fait selon son bon vouloir et que ça t'a même renvoyé dans ces couloirs de fer.

l'histoire de ta vie. tes sentiments filent à l'abattoir. chaque personne qui passe dans ta vie partent et toi tu restes dans ton impasse, caché sous ta carapace. alors comment oublier ?



mort sûre. a écrit:
A tes méchantes blessures. animal pas très sociable, très très nocturne, pas très méchant, très très émerveillé par cet endroit et ses membres...   :bril:  
kezako, ton perso. pré-lien sublimissime (et c'est sincère, ptn) de @Rex Eden  soy un perdedor, soy un predator 3814471339

Code:
[u]boyd holbrook[/u]. ∴ nox gallagher
crédit icons strangehell.
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 20:27

t'es bo soy un perdedor, soy un predator 3942321025

(un big up au "NTM QUI A ECRIT ÇA ??" qui me termine à chaque fois)
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 20:33

tiens donc
monsieur qui se fait désirer  soy un perdedor, soy un predator 3942321025
je le ressors juste pcq c'est notre emblème maintenant

en spoiler sinon je déforme tout :

Spoiler:

soy un perdedor, soy un predator 236745472
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 20:36

Rebienvenuuuuuuuue soy un perdedor, soy un predator 3015760434
ce perso est tellement incroyable sous ta plume soy un perdedor, soy un predator 2453064100
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 20:41

soy un perdedor, soy un predator 4026769196
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 20:49

@Max Gunn t moche soy un perdedor, soy un predator 3942321025 c'est faux

(j'suis c toi qu'a écrit ça)


@Rex Eden j'me demandais si j'allais venir en fait...
maintenant, je me demande ce que je fous là  soy un perdedor, soy un predator 3942321025
TELLEMENT MAGIQUE soy un perdedor, soy un predator 3848593156

Spoiler:


@Cináed O'Reilly moooh, merci soy un perdedor, soy un predator 4094401142
j'ai pas du tout l'impression mais c'est trop chou soy un perdedor, soy un predator 2990452 soy un perdedor, soy un predator 2990452


@Azraël Yildiz LA PLUS BELLE
come me faire un câlin, sister soy un perdedor, soy un predator 771456609
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 21:15

@Nox Gallagher valait mieux pour toi ramener tes miches, on a dit INTERDICTION DE QUITTER LA TEAM MÊME SI LES BROS SONT INGRATS.
soy un perdedor, soy un predator 3522758632 soy un perdedor, soy un predator 3522758632
ton aubergine je me la fais en houmous.
soy un perdedor, soy un predator 1455476486
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator EmptySam 20 Fév - 23:19

@Rex Eden j'suis fait pour braver les interdits soy un perdedor, soy un predator 3942321025
PAS EN HOUMOUS DAMN
soy un perdedor, soy un predator 3594198165
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MessageSujet: Re: soy un perdedor, soy un predator soy un perdedor, soy un predator Empty

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