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Comme une explosion [Cináed]


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MessageSujet: Comme une explosion [Cináed] Comme une explosion [Cináed] EmptyJeu 18 Fév - 20:56


Comme une explosion
Azraël & Cináed

« From blood and ash »
Note de musiques qui résonnaient dans l'air. Silhouette qui se découpait de ce paysage enflammé. Les flammes qui dévoraient tout sur leur passage. Brûlant. Léchant et dévorant tout ce en quoi elles entraient en contact. Un spectacle magnifique. Il n'y avait sans doute rien de plus purificateur que le feu. Epais nuage de fumée de qui se dégageait vers le ciel. Signal funeste. Jouant avec le feu. Aimant. Et spectacle presque apaisant alors que les flammes crépitaient. Sentiment de déjà vu. Là où j'aurai pu être pétrifié par la peur. Là où j'aurai pu revivre ce traumatisme, revivre les souvenirs douloureux du passé, je me retrouvais apaisée.

Une situation qui avait évoluée. N'étant plus cette fillette aux cheveux bruns qui était obligée de fuir les flammes. N'étant plus cet enfant qui se demandait ce qui se passait alors que l'exil était choisi, que dans la nuit obscure et laissant derrière les flammes, nous étions obligés de fuir. Fuyant la Turquie. Fuyant Istanbul. Lucifer qui avait manqué de se faire détrôné. Et de nouveau, il avait manqué d'être détrôné. Ce symbole de la révolution. Ce symbole de destruction alors que de nouveau cinq années en arrière, les flammes avaient tout dévoré sur leur passage, manquant de réduire en cendre la villa familiale, les entrepôts. Ce soir où le premier meurtre avait été commis. Ce soir où face aux flammes, le traitre était tombé. Ne se relevant pas. Ce soir où je m'étais transformée pour la première fois. Devenant l'ange de la mort. Un ange de la mort qui semblait alors à sa place. Ange de l'appocalypse qui était chez lui dans ce paysage de destruction. Immobile alors que les talons et une robe noire avait été troquée. Vêtue de noire, certes. Mais un gilet pare-balle qui avait été revêtue. Une tenue militaire. Une tenue de camouflage. Armée jusqu'aux dents. Veste de cuir. Cheveux bruns attachés. Foulard noué autour de mon cou, dissimilant partie de mon visage et éloignant la fumée. Armées alors que ce n'était seulement des larmes et des armes que je transportais. Arme qui n'avait eu besoin d'être sortie. Une sécurité aussi déjouée facilement que possible. Entrée dans les lieux, l'arme en main. Une faible résistance opposée alors que pris au piège, les hommes de main de la mafia irlandaise s'était à leur tour effondrés au sol. Des hommes qui ne se relèveraient pas. Et aucune compassion ni pitié qui n'était accordée. La guerre qui n'avait le temps pour les sentiments. La guerre qui se vivait. Et l'adrénaline qui courrait dans mes veines alors que j'assistais au spectacle. Derrière-moi, Ramo était là. Ils étaient là. N'ayant pas besoin d'une armée. Ayant simplement besoin d'eux. Ils étaient là. Ayant répondu sans hésiter à mon appel. Armes au poing qu'ils s'étaient dirigés vers leurs voitures et armes au poing que nous avions inversé la donne.

Le feu qui gagnait du terrain. Explosion retentissante. Toit de l'entrepôt qui s'embrassait et qui était d'ores et déjà en train de s'effondrer. A l'intérieur tout qui brûlait. Les containers. Les marchandises. Tout ce qui n'avait pas été récupéré. Tout ce qui n'avait pas été dévié de sa trajectoire partait en flammes. Les feux de l'enfer délivrés. Et comme marcher en enfer, alors qu'un nuage de cendres se déposait sur le sol.  Azraël venue. Semant la destruction. Les collecteurs qui étaient passés. S'éparpillant en ville comme des oiseaux. Pirates qui partaient à l'abordage récupérer leur butin et revenir avec des lingots d'or.

Le plan qui s'était déroulé à la perfection, sans accroc. Car ce soir, ce n'était pas le premier feu qui brûlait, qu'il était possible de voir de loin dans la ville d'Exeter. Ce soir, les entrepôts de la mafia irlandaise brûlaient. Les stocks de meth dérobés. L'argent envolé. Fruits de la contrebande et du trafic auquels ils pouvaient dire adieu. Les voitures stoppées nettes. Armes en poing. Ceux qui étaient dedans qui avaient perdus la vie ou qui avaient été gravement touchés. Les convois détournés. Les coffres ouverts. L'argent récupéré. Ne s'arrêtant pas. Frappant au même moment partout. Une troupe d'hommes mais à mes yeux une armée. Une légion qui s'était levée. Une légion qui s'était mise en marche. Et n'ayant pu que me joindre à eux. Rejoignant les miens. N'étant restée sur mon trône à attendre. Trône que je ne possédais pas. Trône qui ne m'intéressait pas. La mort qui n'avait le temps pour les futilités. Retrouvant le terrain. Armée. Digne ange de l'appocalypse. Semant la destruction et le chaos alors que les lieux d'échange étaient frappés avec précision. Des frappes efficaces et rapides. Stratégiques. Des informations jusqu'alors collectées avec soin. Ayant attendu. Ayant patienté jusqu'à le glas sonne. Jusqu'à ce que la mort ne vienne à me chuchoter à l'oreille qu'il était temps de collecter les âmes égarées et perdues en route. Temps  de collecter. Le goût de la vengeance en bouche. Le goût du sang. Surgissant de l'ombre pour frapper. Détruire. Dérober. Nettoyage amorcé dans les ruelles d'Exeter pour éliminer la mafia irlandaise, frapper avec rapidité leur trafic. Pensant que la trêve régnait. Mais la vengeance qui restait. L'appel du sang. Ordre désobéi ou plutôt Lucifer qui n'avait pas été informé. Ce qui n'avait pas d'importance. Ce soir, la mafia turque régnerait. Ce soir, la mafia irlandaise serait affaiblie. Alors il resterait à retrouver l'héritier et le tuer. Et pour le moment, l'heure de danser avec les ombres et les flammes. Ville mise à feu et à sang. Time for payback.


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MessageSujet: Re: Comme une explosion [Cináed] Comme une explosion [Cináed] EmptyJeu 11 Mar - 17:18

Lorsqu’il arrive sur place, les yeux de Cináed s’écarquillent sous l’effet de la surprise n’en croyant pas du spectacle qu’il voit, de cette incendie qui prend lieu et embrase le bâtiment. Là où se trouve une partie de la drogue créée par Raven, celle qui se doit d’être vendue et qui se destine à les enrichir. A rendre justice à la branche anglaise de l’Irish Mob.
Il est aussi surpris que dépité, le temps de digérer ce qu’il vient de voir alors qu’il sort de la voiture avec ses gars. Ils ont eu l’alerte assez rapidement, donné par ceux qui surveillent les lieux h24, qu’il paye pour faire en sorte que le pire n’arrive pas : celui-là même qu’il observe en sachant très bien qu’il ne peut appeler les secours. Pourquoi d’ailleurs ? Pour qu’ils voient alors la cargaison de drogues qui s’envole et part en fumée. Tout est à refaire même si tout n’a pas été stocké ici. Cinaed n’est pas un idiot de la première heure. Tout stocker au même endroit est une erreur de débutant et pourtant, à Exeter, il n’a pas mesuré la puissance de ses ennemis et combien ils sont motivés à le faire chier jusqu’au bout.
Ce n’est que lorsqu’il entendu le toit s’effondrer du bâtiment qu’il ressent enfin cette colère. Divine, impérieuse, de celle qui inspire à la vengeance et dont il prend sur lui pour ne pas sauter à la gorge de celui qui osera dire le moindre mot, irlandais ou pas.
« Trouvez-moi… Ce putain… De pyromane. » La voix est hachée par la colère. Et Cinaed dégaine son arme, invitant par le silence à en faire de même. Au diable ce que Manus lui a toujours dit : analyser avant d’agir. Là, il a ce gout de sang dans sa bouche, remarquant qu’il se mord l’intérieur de sa bouche un peu trop fort et qu’il est prêt à tout pour trouver le coupable.
« Et faites gaffe à vos miches, ok ? » Il s’élance Cináed, n’a pas peur de se prendre une buche enflammée dans la gueule, ni même d’être intoxiqué par la fumée, il avance en espérant trouver un indice, un gars qu’il passera à tabac. Heureusement, l’endroit est grand en extérieur autant qu’à l’intérieur, aussi ils peuvent être partout autant que les irlandais.
Il avance, son arme au poing d’un pas décidé, même si la fumée finit, assez vite, par lui piquer les yeux. Cináed ne recule pas quand la fureur l’habite, quand il sent chaque muscle se tendre sous l’effet de la colère divine. Et puis tout se passe vite.
Le gars lui saute dessus, par derrière, essaye de lui faire une clé de bras en lui tordant le cou. Cependant, il y a ce vieux dicton qui dit qu’on apprend pas à un vieux singe à faire des grimaces. Et en l’occurrence, Cináed a trop connu des situations de ce genre. Des situations qui nécessitent du sang froid pour ne pas céder à la panique.
Sang-froid. Action. Réaction.
Il lui en faut peu pour que le gars se retrouve au sol, immobilisé par l’irlandais, le bras tordu dans un angle qui lui arrache des cris de douleur. C’est sa spécialité, tordre les bras et empêcher l’autre de bouger sous peine de trop grande souffrance.
« Qui est ton boss ? » Demande Cináed d’une voix grondante, serrant un peu plus fort sa prise, prêt à lui péter les bras, la tête et les dents. « Je veux un nom. » Peu importe, le nombre d’adversaire. Peu importe que le bâtiment à côté flambe et que la fumée apporte un nuage opaque permettant de ne plus vraiment voir.
Il veut le nom du coupable parce qu’après, il n’aura d’autres choix que de lui livrer une lutte sans pitié. Une lutte à mort.


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MessageSujet: Re: Comme une explosion [Cináed] Comme une explosion [Cináed] EmptyJeu 11 Mar - 17:18

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MessageSujet: Re: Comme une explosion [Cináed] Comme une explosion [Cináed] EmptyVen 12 Mar - 8:59


Comme une explosion
Azraël & Cináed

« From blood and ash »
C'était comment prier pour qu'il en vienne à pleuvoir dans le désert. Une illusion. L'illusion du paradis. Ce rêve. Cet idéal. Le bonheur à la portée de main. Et pourtant un océan qui nous séparait du paradis. Un océan et aucune goutte d'eau qui ne venait à tomber du ciel. Nulle goutte de pluie. Danse de la pluie qui était vaine. Il n'y avait nulle flaque d'eau dans laquelle sauter à pied joint. Il n'y avait aucun caillou à ramasser pour faire des ricochets, les voir se répercuter sur l'eau. Il n'y avait aucune vague pour venir lécher le sable. Vague qui revenait puis repartait. Mais il n'y avait là aucun changement dans la météo. C'était comme se tenir dans le désert. Ce soleil aride. Cette chaleur écrasant, presque suffocante. Ces gouttes de sueur qui coulaient le long des corps qui n'étaient pas habitués à se retrouver face à des températures aussi extrêmes. L'oasis qui était bien lointain. Il n'y avait nulle source d'eau. Il n'y avait d'eau pour se désaltérer ni d'étendue bleue à contempler. Il n'y avait que cette chaleur. Cette chaleur qui semblait venue tout droit de l'enfer. Peut être que c'était justement les feux de l'enfer auquel il fallait faire face. Les flammes qui courraient de tous les côtés, qui dévoraient tout sur leur passage. Faisant des ravages. Recouvrant le sol d'un nuage de cendre au fur à mesure que l'entrepôt devenait un brasier. Un spectacle aussi terrifiant qu'attirant. Il n'y avait nulle recherche de la perfection dans ce brasier. Il y avait simplement cette flamme qui s'était allumée et ce feu qui se propageait. Libre. Hors de contrôle. Ce qu'il était.

Emportant tout sur son passage, gagnant du terrain sans pouvoir laisser une chance aux pompiers d'y mettre fin en un claquement de doigts. Et les forces de l'ordre qui ne seraient avertis de sitôt. Un entrepôt à l'écart. Un entrepôt qui brûlait. Un entrepôt qui contenait du stock de marchandise. Les irlandais qui croiraient que la drogue avait été brûlée, ravagée alors que non elle avait déjà été simplement déplacée, transportée dans un lieu sûr. Comme des oiseaux éparpillés dans le vent. Nuée d'hirondelles. Albatros qui avaient pris leur envol. Parcourant la distance. Planant dans le ciel. Volant au-dessus de la mer, de la terre. Libre. Et ce sentiment de liberté. Dans mon élément. Ce que je n'aurai jamais cru possible. Mais ce qui était le cas. Alors parfaitement dans mon élément, dans cette tenue de guérilla. Partie en guerre. Et des ennemis qui étaient aux portes de la bataille. Aux aguets. Main que je levais. Silencieux. Ecoutant la nuit. Se déployant autour. Armes déjà en main parce que la riposte des irlandais n'avaient pu qu'être anticipées, parce qu'il y avait toujours eu un risque qu'ils viennent à faire irruption avant que nous ne soyons repartis. « Tout le monde sait ce qu'il a à faire. » Regard qui croisait les leurs. Frères de combat. Frères de sang. Famille. Tout le monde avait accepté de prendre le risque. Tout le monde avait accepté de jouer avec le feu. Tout le monde avait accepté de ne faire qu'un. Coeurs qui battaient à l'unisson. Des danseurs en mouvement. Une chorégraphie déjà orchestrée. Désormais il ne restait qu'à suivre les notes de musique, se mettre en mouvement. Disparaitre dans les ombres. Disparaitre aussi rapidement que nous en étions venus, non sans faire des dommages parmi les rangs de l'ennemi. Tout qui était une question de précision. « Faites attention. » Obligation à la prudence. Des hommes qui n'étaient pas des hommes sans nom ou des numéros. Des hommes qui comptaient. Des hommes qui devaient revenir sain et sauf. Des épouses qui les attendaient. Des enfants. Frères, soeurs, cousins. Une promesse. Regard croisé mais chacun qui n'avait peur. La peur qui avait été laissée derrière il y a longtemps. Ayant confiance. Ayant appris à danser avec les ombres. Sourire échangé. La promesse de se retrouver après autour d'une table, de festoyer, d'en rire. La promesse de revenir et se retrouver.

Hochement de tête et chacun qui se dispersait. M'enfonçant dans l'entrepôt. M'enfonçant dans le brasier. Préparée. Ce visage dissimilé pour ne pas absorber la fumée. Préparée depuis des semaines, peut être des mois. A l'aise parmi le brasier alors qu'aussi silencieusement je me faufilais. Hommes qui passaient et qui ne voyaient cette ombre. Ne m'avançant pas. Ils n'étaient pas la cible que je recherchais. Louve lancée sur les traces de sa proie. Cette proie que je traquais. Lui qui n'avait jamais compris. Lui qui n'avait jamais eu idée à quel point il avait été considéré comme le fou du roi. Et ne pouvant le prendre au piège sans tenter de se mettre à sa place. L'imaginer. La colère qui s'emparait de lui. Aussi dévastratrice que ce feu qui brûlait. Cette colère qu'il avait dû ressentir en comprenant que ses biens partaient en fumée. Cet entrepôt qui s'effondrait. La rage qui brûlerait. La rage qui crépiterait en lui, qui l'inciterait peut être à se précipiter. Précipitation qui rythmait avec erreur. Alors comme tout mafieux, parce qu'il connaissait ce genre de situation, il tenterait de garder le contrôle. Mais ce contrôle je ne pouvais que me douter qu'il ne réussirait à le garder parce que bien souvent les instincts primaires prenaient le dessus, que la rage était plus forte. Cet homme provoqué. Cet homme qui ne savait pas encore jusqu'à point le piège pour bloquer cette araignée se refermait sur lui, l'empêchant de sortir. Et plus il se débattrait, plus il tenterait d'agir et plus il serait immobilisé. Sa fille déjà prisonnière de cette toile. Bientôt à ma merci. Et si la rage ne pourrait que tarder à s'emparer de lui, j'étais à côté l'image de la serenité. Comme si marcher au coeur des flammes était une promenade au soleil. Peut être que dans un sens, c'était tout comme. Apaisant. Le crépitement des flammes qui était apaisant. Destruction qui avait un effet apaisant. D'autant qu'au milieu de la destruction, du chaos, il n'y avait pas besoin de se dissimiler. Il n'y avait pas besoin de masquer la vérité. Traversée que je continuais de poursuivre. Des fantômes qui n'étaient pas croisés. Simplement le silence avant que mes pas n'en viennent à me diriger vers l'écho de voix et de douleur. Arme en main. Sahin. Cináed. Les mots qui parvenaient distinctement. Voulant le nom du boss. Boss que je n'étais pas. Priorité qui était Sahin. Appuyant sur la détente. Balle qui fusait, heurtait la caisse en bois. Crépitement. Etincelles. Maintenant son attention qui était attirée. « Qu'est-ce que tu penses du mien ? » Silhouette sombre qui se détachait parmi les flammes, la ruine et la destruction. Arme en main. Sourire de Sahin. Libéré. Presque à en rire, lui qui était toujours aussi si joyeux parce que malgré la douleur, cette scène était pour lui digne d'une comédie, parce qu'il savait ce que ne savait pas son adversaire. Sachant ce qui l'attendait. Faisant un pas de plus dans leur direction. Démarche féline. Emportant avec cette confidence qui ne pouvait être brisée. Emportant avec cette destruction et ce grain de dangerosité, de folie.Sweet but psycho. Est-ce qu'il commençait à comprendre. Est-ce qu'il avait reconnu ce visage. Obscurité qui contrastait avec le soir du défilé. Sahin qui se relevait. Combat qui n'était plus le sien. Sourire qui était apparu sur son visage et qui flottait toujours sur le mien. Complice. Proie trouvée. Rôle qui n'était plus le sien. Se dégageant de la main de son adversaire. Conscient que l'attention de ce dernier n'était que dirigée à mon encontre. Ce qu'il voulait. Voulant un nom. Et nom qu'il ne pourrait enfin que recevoir. Cette carte de visite qui n'avait pas été laissée préalablement mais que je lui remettais finalement. « Azraël... » L'ange de la mort. Rapprochement qu'il n'avait peut être pas encore fait. « Yildiz. » Appartenance à la mafia turque. Une information qu'ils ne devaient certainement pas posséder. L'héritière revenue au berceau. Princesse de glace. Couronne revendiquée. « Je crois que tu me cherchais. » Et il y avait cette note de satisfaction. Il y avait cette lueur prédactrice. Il y avait ce regard narquois. Combat qui s'annonçait épique.

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