|  Sujet: M/ ALEXANDER SKARSGARD ∴ NOS RIVIERES POURPRES. Mar 16 Fév - 18:36 | |
| tw : violence psychologique / physique / verbale,
consommation de substances psychoactives,
contenu sexuel à caractère explicite.
arsene weiss.
on dirait ton regard d'une vapeur couvert ;
ton oeil mystérieux est-il bleu, gris ou vert ?
alternativement tendre, rêveur, cruel,
réfléchit l'indolence et la pâleur du ciel.
 | nom prénom(s).arsene thaddaeus weiss ; crache volontiers sur la lettrine de son propre substantif, la faute au saint patriarche dont les sépulcrales réjouissances apaisent les maux stigmatisés. épitaphe calligraphiée d’âpretés sans une once de culpabilité.âge, origine. ciel brouillé, scénographie cendrée ; l’éphémère éclaircie éclos azurée. innocence souillée ; avortée du premier cri exhalant le dernier. une vie en échange d’une autre ; et l’échafaud pour les sots. quarante-trois années hantées par les ectoplasmes naufragés ayant succombés sur les flots abscons des eaux empoisonnées. styx répandu à travers l’induline de deux précipices cérulés —à se damner.occupations, métier. l’œil rapace se remémore le silence fracas des essences dérobées sous la lucarne usée des bâtiments bombardés. tireur d’élite reconverti, arrête l’armée pour la négligence irascible des autorités. et la corruption s’invite au bal des hallucinés, terrible dans ses funestes tonalités. tueur à gage au dam de sa volonté. flicaille pervertie à la conscience tiraillée.situation sociale et financière. héritage amianté, de poussière enveloppé ; à triple tours scellé au creux d’un coffre-fort dont il a jeté la clef. après toi : futilité. trésor chéri envolé. ses contrats toutefois rapportent assez, nourrit l’opulence des lymphes ambrées, cocaïne geôlière, engeances de la criminalité.orientation sexuelle. honneur bafoué, serment violé ; de l’hyménée ne demeure que des éclats térébrés, bulle idyllique d’un jadis écorché —impossible à recoller. or nul ne parvient à l’avouer de vive mélopée ; langues cimentées, conversations emportées, acrobates sur du verre pillé. l’estomac acidifié, se noue et se détraque navré. c’est que dear esquive le nid à la nuit tombée ; je suis sur une affaire importante, pas la peine de m’attendre pour dîner. calomnier advient coutumier, et l’homme malheureux s’égare entre les jupes des filles relevées. le myocarde inconsolé —cramé. ne pensait regoûter à un réel sentiment de piété jusqu’à ce fameux heurt où les orbes forgés d’acier se sont croisés ; et de la raison foudroyée croyez-le ou non, c’en était terminée. pulvérisée sur la scénette des opérettes, solfège des douces infidélités.indications sur son caractère. loyauté (altérée) selon l’angle scruté. obstination rancunière démesurée. bienveillance gâtée, d’espoir délesté. essence secrète en un millier d’éclats fragmentée. totale dévotion pour les êtres estimés. stupéfiante timidité nourrit par l’incroyable sensibilité, babines acérées à l’édifiante férocité : certes alambiqué. galanterie naturelle à étourdir la féminité. créature envahissante ; angoisse pétrifiée, oublie parfois (toujours) de se limiter. empathie estropiée. méfiance affûtée, l’iris stricte à transpercer les abyssines psychés. langue maladroite d’acerbité lorsque la confusion conquiert la céphalée, mais use des mots d’une sincère ténuité.indications sur son histoire. 1/ morte en couche et l’horreur à la souche. prémices assassines du chérubin en déroute. l’ascendant brille d’élégiaques firmaments, fruit frelaté d’une prodigieuse absence. politicien démérite et la queue entre les jambes des charmeuses de serpent —pour son rejeton jamais le temps ; les dimanche il y a sa dextre qui démange, un brin véhémente sous la flagrance décapée des alcools saturés. des ecchymoses plein le cœur, la phrase est sortie toute seule lorsqu’il fut en âge de se défendre. dis papa, tu m’en veux comment ? la mâchoire broyée, poings sanglants ; revers de main, effet de revanche. sacrée vengeance, le service militaire pour châtiment. l’on raconte que sur terre ne subsiste pas pire enfer, on croit le savoir ; se fourvoie avant d’avoir connu la guerre. de celle n’épargnant guère et les corps troués d’balles et l’âme gruyère par l’assaut sifflant des tueuses kyrielles ; quand rentre au bercail les regards qui se fanent n’errent dans l’âtre des chaumières que l’effervescence sépulcrale des spectres.
2/ deux mille cinq cent cinquante-cinq jours. chiffre sept. à trois de la décennie, ne serait-ce que pour la beauté de l’arrondi, pure perfectionnisme. sept chiffre maudit. s’agite au-dessus du tapis —la moitié d’homme désacclimaté au molletonné des lits, appréhende l’écho carminé des tires ; disloqués des civiles, ces copains d’infanterie sculptés par martyrs —époumonés à en flamber les villes, tocsin aux percussions sinistres. impuni pour tes crimes, eux t’applaudissent. félicité à l’acte de bravoure inouïe, glorifient l’hymne à la ruine. mais ta conscience éraillée te rappellera au fameux chiffre : ad vitam aeternam l’empyreume putride, le glas suintant des pores livides et qui s’infiltre extirpé à la vivacité cognitive ; ces tombeaux reflets de l’humanité avilie, ô barbarie : danser sur les ingénues dépouilles, ça n’avait foutrement rien d’héroïque.
3/ allégresse avortée, haine chambarde ; l’injustice s’acharne. naît de l’union infortunée le séraphisme d’une enfant adulée. disparaît à la sortie de l’école pour ne jamais rentrer. violée, strangulée. soixante-douze heures, c’est l’incompréhension muette et la tétanie quand file les aiguilles du cadran, des heures défilantes ; cadavre flottant, l’air juste endormie vous savez —neuf ans pour l’éternité. troquer le blason vert pour mieux protéger du bleu charbonné ; en un claquement de phalanges les rêves évaporés. se nourrir du suc empoisonné, rage amiantée ; la vengeance décharnée mue priorité. quitte à retrouver de vieux démons qu’on pensait depuis longtemps enterré ; au même titre que ce père ordurier —mort engloutit dans le dégueulis de ses propres ratés, ces canonnades miroirs du traumatisme infligé. cette progéniture née joyau miraculé puis morcelée ; à l’effigie du sang écoulé, ce tout abolie sous l’inflexion démesurée des hyènes affamées je lui ferai payer et par la seule force de mes maxillaires s’il me fallait le déchiqueter j’irai sans anesthésie ; et observerai avec extase toute forme d’ignition s’évanouir sur les traits contorsionnés. je forcerai le bagne à l’en défaillir, et recommencerai jusqu’à temps qu’il me supplie d’abréger le calvaire du pilori pour un aller simple à la gémonies. et n’en ferai que durer le plaisir.
4/ l’esprit vrille. se tord, retord, se distord. mariage dissolu, ça ne se supporte plus ; la folie meurtrière s’insinue et l’obsession continue. virage absolu, yildiz solution de l’âme dissolue. ils pourraient le crever, en réalité n’en a plus rien à carrer. pactise avec l’ennemi, renommé axaphat démon des écroués, abat sans pitié l’adversité après des mois de recherches effrénés. contrat scellé néanmoins, ne peut s’échapper ; la pègre s’efforce de rallonger une dette trop cher payée. pour cette arme non homologuée, aide fieffée. cerbère de ces majestés souhaitant toujours plus l’enrôler quand lui tente de renégocier sa liberté. suggestions sur l'avatar.alexander skarsgård correspond à l’image que je me fais du personnage, ainsi l’avatar n’est pas négociable.tes attentes pour le futur joueur.coucou petit loup. si tu es arrivé.e jusqu’ici je t’en remercie ; et je croise les doigts pour que mes exigences te siéent. promis, juré, ça sera rapide. histoire hormis les points évoqués et qui sont à respecter, le reste c’est à ta guise, fais-toi plaisir. compétition je trouve ça démoralisant et j’applique donc la règle du premier arrivé, premier servi. c’est plus correct, moins stressant quand écrire est censé être un amusement, sans prise de tête, juste un plaisir. par décret, je vais te demander de bien y réfléchir avant de t’inscrire. il serait dommage de débuter une fiche et de ne pas la finir ; comme repartir au bout de deux semaines sans avoir rédigé une ligne. prend le temps qu’il te faut, avise bien les possibilités ; et assure-toi qu’arsene t’inspire. n’hésite pas à me poser toutes les questions nécessaires si certaines persistent. ma messagerie reste ouverte et à tout moment, nous pouvons glisser sur discord pour que l'échange soit plus fluide. activité/rp je souhaite quelqu’un d’un minimum actif même si nous avons des priorités dans la vie. j’entends par là : se créer des liens (discuter de ceux préétablis), flooder. pour les réponses ça varie ; et je ne suis pas non plus speedy (même s’il m’arrive parfois d’être rapide parce que blblblblblblbl se noie d'euphorie). je ne requiert pas plus que ce que le règlement édicte. une syntaxe et une orthographe correctes seront de mise (rassure-toi, je ne te demande pas d’être baudelaire) ; mais j’aime qu’un récit me prenne aux tripes. le mot de la fin il me tarde de donner vie à ce lien et de découvrir l’évolution d’arsene face à toutes les difficultés qu’il a dû surmonter durant ces longues années. je promets beaucoup de drames, des récits à en chavirer le cœur, à nous en faire bouffer notre clavier. évidemment, je tiens à préciser qu’il vaut mieux pour vous d’éviter de l’interpréter dans le cas où vous ne seriez pas à l’aise avec des sujets aussi sensibles que ceux évoqués à travers ces lignes. mais si tu te sens le courage de dépasser tes limites alors je serai ravie de construire en ta compagnie une histoire qui mérite de vivre pour son caractère mature et singulier.  |
☾ au cœur de l’attentat. relationship with. ☾ @hera venable ft/ natalia vodianova. (attirance) « soleil noir dissipé que balaye d’une bise joliment carminée le zéphyr brûlant ; quémande satiété entre les salves confuses de ce que je ne puis reconnaître comme étant le préambule de l’affection immodérée. la flamme bleue coupable des cierges allumés arborent dangereuses et tout contre les parois tamisées des ombres chinoises éperdues dans un jeu de séduction voluté ; et qui se tournent autour sans jamais se toucher. or vous savez dear, il me plairait de les voir s’entremêler ; corps incendier par l’effervescence bariolée des pécheresses consommations : à ça de se consumer. »aimer, verbe atroce à conjuguer ; consonnes et voyelles emberlificotées. alphabet limité, trop et pas assez ; s’écrasent les cœurs mièvres à leurs pieds. forcément, faut être un peu con pour s’extasier —je veux dire, au premier regard jeté. ces rires éclatés embruns des liqueurs sirupées ; pupilles explosées et le talon cassé. rencontre bateau vous en conviendrez, la flammèche d’une allumette, l’exhalaison des saumâtres fumées. tourbillonnent à travers les sentiments jalonnés, spirales infernales à les lobotomiser —centre névralgique des balades romantisées. dévoreuses de chairs calcinées, supplient délivrances passionnées. et peut-être est-ce le fâcheux contre-coup de l’ironique destinée ; réponse fieffée aux injures proférées. le fléau des iniquités, comme un boomerang chimérique insoluble à travers cette putain de temporalité. ont-ils seulement l’envie d’essayer ? quand les pions joués semblent placés dans l’unique but de les éloigner. alors aimer, c’est l’injonction hormonales des aliénés ; carambolage assuré. quelques gouttes d’ocytocine et de dopamine susceptibles de vous noyer. /+ le lien serait donc à prendre du début. une rencontre percutante, un instant qui chamboulera à jamais le cours de leurs existences lamentées. j’aimerai par ailleurs qu’arsene garde le silence sur son mariage essoufflé, de crainte que cela ne fasse fuir hera. un mensonge par omission qui renforcera les craintes et les doutes de la princesse dénaturée (car nul secret dans cette ville n’est bien gardé), et c’est sans compter sur le fait qu’il est responsable de l’assassinat de jack (l’ex petit-ami d’hera) perpétré il y a trois ans de ça. contrat exécuté sous la demande discrète de gali par le biais d’yildiz. tous deux ignorent pour l’heure la vérité. à voir de quelle façon cela va tourner, mais la sincérité de leur amour pourrait du même temps les sauver ; et qui sait, leur insuffler la force suffisante pour tirer un trait sur le passé. je te laisse le lien de sa fiche personnage juste ici afin que tu te fasses une image plus précise de sa personnalité ; car ça ne sera pas de tout repos de la côtoyer. si ce n'est un vrai bourbier.@azraël yildiz ft/ demet ozdemir.à définir une fois en jeu. @gali velcoro ft/ david gandy.à définir une fois en jeu. crédits avatar
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